©2002 tout droit réservé
par Jacques Fortier, Québec, Canada G1X 2N9
Dépôt Légal
: Bibliothèque Nationale du Canada, 2002
ISBN : 2-922988-08-2
Le RÊVE CONSCIENT,
VOYAGE ASTRAL, RÊVE LUCIDE.
RÊVE-1 CALENDRIER
PERPÉTUEL
RÊVE-2 LE
TOUR DE LA TERRE
RÊVE-3 l'APRÈS
MORT
RÊVE-4 ACCÉLÉRATION,
AVION, NUAGE + VITRE
The
X-Files (Aux frontières du réel)
RÊVE-4B VITRE
VOICI
QUELQUES RÉFLEXIONS.
RÊVE-5 RÊVE
et RÉALITÉ (agression-chien)
RÊVE-6 RÊVE
et RÉALITÉ (ENFANT TORTURÉ)
RÊVE-7 RÊVE
et RÉALITÉ (DEUX
ENFANTS SÉQUESTRÉS)
RÊVE-8 MARCHER SUR L'EAU
- JÉSUS
MON PREMIER RÊVE
CONSCIENT LA TRAVERSÉE D'UNE VITRINE
RÊVE-9
RÊVE et RÉALITÉ (UNE
VOITURE TOMBE DANS UNE RIVIÈRE)
RÊVE-10 RÊVE
et RÉALITÉ (UN RESTAURANT TRÈS
LUXEUX)
RÊVE-11 RÊVE
et RÉALITÉ (Le Christ)
Avez-vous déjà
fait un voyage astral?
VOYAGE ASTRAL (SUITE)
RÊVE-12 RÊVE
et RÉALITÉ (Intervention
du Christ)
RÊVE-13RÊVE
et RÉALITÉ (RESPIRATION
ARTIFICIELLE)
RÊVE-14 DEUX
VISITEURS DANS MA CHAMBRE
RÊVE-15 LES
PETITS NAINS
RÊVE-16 LIVRE-ÉDITION-UNIVERSITÉ
LAVAL
RÊVE-17 TAPIS
ROULANT
RÊVE-18 QUÉBEC
DANS LE FUTUR
RÊVE-19 RETOUR-ALLÉE-CONSCIENT
(entrée et sortie conscientes du corps)
RÊVE-20 MILITAIRE
RÊVE-20 MILITAIRE
(SUITE)
RÊVE-21 PASSÉ
OU FUTUR? (mécanonicien)
RÊVE-22 PASSÉ
OU FUTUR? (usine de pommes - accident - téléphone)
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Place publique
Normal?
Paranormal?
RÊVES CONSCIENTS
NIL - 11:17pm Dec 12, 1998
Jacques Fortier
Le RÊVE
CONSCIENT est probablement la relève de l'ancien
concept de VOYAGE ASTRAL et est la même
chose que le RÊVE
LUCIDE. Cependant, les "gens de science" ne
s'en moquent pas et
acceptent volontier d'en discuter et de l'investiguer
dans les
laboratoires.
Ils rejettent d'emblée l'existence des
corps astraux qui servent à faire
ces expériences et tout ce qui tourne
autour.
Ils ne considèrent que les informations
que le cerveau psychique
déverse dans le cerveau physique, ou
plutôt son effet, c'est-à-dire
l'activité cérébrale
qu'ils peuvent constater avec leurs instruments ainsi
que la répercussion sur les globes
occulaires.
Parlons-donc dans cette discussion de l'aspect
métaphysique de cette
activité ainsi que des expériences
diverses que font bon nombre de
personnes.
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NIL - 13/12/1998 15h57 HNE (#1 of 1)
Jacques Fortier
CALENDRIER PERPÉTUEL
J'étais déjà conscient, de
très bonheur ce matin du 15 avril 1988, dans
un "rêve" qui a marqué ma vie. Pourquoi?
j'étais assis à une grande table
avec plusieurs personnes que je
connaissais au milieu de nombres d'autres tables
toutes occupées par
une foule considérable de personnes qui
m'étaient étrangères, comme si
nous assistions à un congrès ou
à une fête, à un anniversaire.
J'étais près d'un allée qui
menait jusqu'en avant à environ deux cent
pieds de notre table. Il y avait de nombreuses
tables derrière moi
également.
Puis, une femme s'avança vers nous (les
gens de notre table), en
provenance de l'avant. Elle tenait dans ses mains
une assiette contenant
le 3/4 restant d'un gâteau recouvert d'un
beau glaçage. Me levant, je
m'approchai vers elle comme si je représentais
notre groupe de
participants.
J'acceptais ce gâteau avec reconnaissance
tout en penssant que ce ne
serait pas pour moi puisque je ne mangeais plus
de déssert depuis
longtemps, mais que je le distribuerais aux gens
qui m'accompagnaient.
L'instant suivant, j'étais projeté
dans mon corps physique sans perdre
conscience. Ce qui fait que je passai du cerveau
psychique au cerveau
physique en une dizaine de secondes assez longues
pour percevoir la
transformation des données symboliques
en données rationnelles en
ressentant un petit frémissement dans
la tête.
Après cette transition je ressentais comme
une joie ineffable ainsi que
l'absolue certitude que je pouvais représenter
le calendrier de toutes les
dates de toutes les années sur une seule
feuille de papier (8 1/2" par
11").
Sans me lever, je commençai à imaginer
comment seraient placés les
mois, les jours et les années. Après
deux heures de visualisation, je me
rendormis.
Vers les six heures du matin, j'ébauchai
sur une feuille ce résultat en 2
heures et demi environ. Le premier essai fut
le bon. Puis je pris encore
quelques heures pour le taper ce calendrier perpétuel
au propre sur une
machine à écrire. Encore une fois,
je réussis du premier coup à trouver
le bon emplacement horizontale et verticale des
différents symboles
(chiffres, nombres, lettres et mots).
Quelques mois plus tard, je pris deux semaines
pour trouver les
équations qui correspondent à ce
calendrier dans le but de
l'informatiser.
En deux mois ce fut fait. Je mis au point un premier
calendrier à 73
chiffres significatifs pour l'année (la
2e
version en avait 248):
CAL.EXE.
Ce faisant, j'ai découvert le cycle minimale
de 28 ans pour la plage de
1901 à 2099 où le calendrier se
répète.
Voir la suite de mes réflexions dans la
section technique du BOGUE
DE L'AN 2000.
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NIL - 13/12/1998 16h59 HNE (#2 of 2)
Jacques Fortier
LE TOUR DE LA TERRE
Je vais écourter ce rêve conscient
qui fut ma plus longue période hors
corps sans réveil.
Je volais déjà depuis un certain
temps à une attitude de 20 pieds
au-dessus du sol. Je me dirigeais vers les montagnes
à l'Est que je
voulais surmonter. Je me retrouvai, après
quelque temps, à une très
haute altitude, accompagné par un Être
qui me faisaient faire une visite
guidée de la terre. C'était très
haut car je voyais l'Amérique du Nord
dans son ensemble, mais je ne sais pas à
quelle époque future ou
passée.
Les États-Unis me semblaient être
à fleur d'eau tout comme l'Afrique,
un peut plus tard dans le voyage. Dans les deux
cas j'étais étonné des
nombreux cours d'eau que j'y voyais. Je pensais
que seul le Canada
était comme ça.
Puis, vint l'Extrême Orient que je ne reconnaissais
pas: pas de Japon,
pas d'îles à la séparation
du continent et de l'océan. Je pensais que le
continent avait été tronqué
à l'Est. Je revis une deuxième fois L'Afrique
qui semblait ballotté comme un billot
dans l'eau et dont on ne voit
qu'une petite partie émerger hors de l'eau;
une partie fragile qui pourrait
facilement s'enfoncer.
Je finis par atterrir derrière la grange,
chez mes parents en Abitibi. Je
m'approchai du sol, seul à ce moment-là,
je rentrai dans la grange. Et là
une surprise m'attendait.
J'étais au sol, et je regardais au deuxième
palier (où on mettait
habituellement le foin). Je m'élevai par
la voie des airs (j'aime bien me
déplacer ainsi lors de mes rêves
conscients et volontaires) jusqu'à
l'autre niveau et m'approchai du bord de la saillie,
un peu au-dessus.
Une personne y apparut et je sentait qu'elle avait
un ou même quelques
petits cadeaux à me faire. J'avais une
certaine appréhension, car je
n'avais pas l'habitude que l'on me fasse des
cadeaux sur le plan
physique. Alors pourquoi ici.
Comme je déballais une boîte, une
pluie de pommes commença à
tomber à l'extérieur de la grange
tout comme à l'intérieur, malgré le toit
de tôle. Je trouvais cela assez inusité.
Mais ma conscience de mon état
hors corps faisais que je n'y voyais aucune opposition
de rationnalité.
Comme plusieurs pommes tombaient en bas, je m'approchai
du bord
du plancher, un peu plus loin même, et
avec mes bras je faisais dévier
quelques unes de ces pommes sur le palier. Il
en tombait vraiment
beaucoup "en provenance du ciel sans doute".
Puis je me réveilai.
Sur le plan physique, j'avais de gros problème
d'alimentation et je
n'arrivais pas à trouver ce qui pourrait
me donner de l'énergie pour mon
dur travail très mal payé.
Quelques semaines plus tard, j'essayais (Comme
ça) du jus de pomme.
Quel changement! Vous comprendrez que seule une
pluie de pommes
put combler mes besoins étallés
sur près de deux décennies maintenant,
ainsi que pour ceux qui vont suivre.
Si jamais vous voulez savoir pourquoi ce fut si
important pour moi et
dans quel contexte cela arriva, lisez la partie
B (La Survie en Ville) de
mon dernier livre "L'Univers Mental de Jacques"
sur mon site:
http://www3.sympatico.ca/vision_globale/JFORTIER.html
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NIL - 19/12/1998 16h42 HNE (#3 of 4)
Jacques Fortier
l'APRÈS MORT
Voir le numéro 15 de la section:"Récits d' expériences paranormales"
Récits d' expériences paranormales
NIL - 19/12/1998 16h04 HNE (#15 of 15)
Jacques Fortier
Pour des Histoires de Grand-père et
de Grand mère, en voici une
autre.
Je faisais un autre rêve conscient. Pour
la première partie, "J"'étais
étendu sur une table dépourvu de
tout confort et entièrement nu. Mais
"mon" corps en était un de femme. "J"'étais
immobile et un jeune
homme se déplaçait dans une pièce
vraiment vide de tout. Il se déplaça
de droite à gauche près de mes
pieds. Il avait un couteau à la main
(peut-être un scalpel)- disons une lame
tranchante - et "je" "me" sentais
vraiment mal à l'aise. Il prit le bout
de mes orteils, du pied gauche,
souleva le tout et le déplaça vers
la gauche, écartant ainsi encore plus
"mes" deux jambes. Comme si il voulait s'assurer
que "je" ne réagirais
pas. "Je" ne pouvais pas bouger, "me" sentant
mal à l'aise sans être
gêné cependant et "je m"'inquétais
de tout cela.
"J"'étais offusqué par sa présence et son agissement.
Puis, il "Me" contourna et s'approcha de "mes"
hanches. Il leva la "main
au couteau" et commença une incision un
peu sur le côté gauche du
ventre . Il coupa sur une distance d'environ
4 pouces.
Chose étrange, "je" ne ressentais aucune
douleur. Mon seul mal était de
le voir près de "mon" corps nu sans défense.
POUR LA DEUXIÈME PARTIE, je (peu
importe qui) me retrouvai
assi sur quelque chose d'assez haut de terre
dans une pièce aux murs
indicernables. Sur un "mur" à gauche et
à quelques pieds seulement, une
plaque de métal d'environ 40 cm par 40
cm semblait figée "en l'air au
milieu du mur". Cela attirait mon attention comme
si c'était très
important. Il faut dire que c'était la
seule chose dans la pièce.
PUIS MON ATTENTION fut attiré par
des voix familières qui
approchaient dans un corridor, derrière
une porte entre-ouverte.
J'entendais la voix de ma mère chuchottant
presque d'un air solonnel.
Deux de ces frères l'accompagnaient et
je reconnaissais aussi leur
"ambiance".
Je m'étonnais de les voir faire tant de
précautions (de chichi) pour venir
me voir et je d'ésaprouvais cela intérieurement.
Puis Je me réveillai.
Hé! Oui! Je suis bel et bien un gars. J'ai
su quelques semaines plus tard
que ma grand-mère était décédée
cinq ans jours pour jours après mon
grand-père C'était le jour du souvenir!
Inutile, je crois, de vous dire comment j'ai interprété ce rêve!
Disons qu'il faut avoir du respect pour les décédés
qui ne sont pas
morts!
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NIL - 19/12/1998
23h48 HNE (#4 of 4)
Jacques Fortier
ACCÉLÉRATION, AVION, NUAGE + VITRE
NUIT PROLIFIQUE. Je sortais rapidement
de mon corps cette
nuit-là, avec un petit yatus d'inconscience.
Mais passons!
Je me retrouvais dans ma chambre où certains
murs habituels avaitent
disparu. je m'introduisis donc dans la chambre
de mon frère (vide) et
allai vers les fenêtres de l'ouest. Puis
m'activant je commençai à passer
à travers. C'était agréable,
mais un peu difficile. Puis je revint à
L'intérieur. je n'avais rien décidé
de particulier. Je notais toutefois les
emplacements vides de certains murs et me demandais
pourquoi. Puis
je me réveillai.
Sans bouger, je repartis à nouveau sans
réussir à rester conscient pour
le départ (D'ailleurs j'y arrive peu souvent).
Assez vite, je retrouvais le
même décors avec quelques murs en
plus. "Bon! Ce sera plus difficile
c'est tout!". Car de passer à travers
des murs fermés ce n'est pas
comme pour une vitre: il y a une phase d'obscurité,
proche de
l'inconscience.
Cette fois-ci, je ferais des expéricences
d'accélération. Je commençai
par traverser à nouveau l'intérieur,
puis la vitre. Ensuite, à deux pieds du
toît du garage, je m'approchai du bord
et m'efforçai de ne pas ressentir
de vertige.
Heureusement, il y avait un avion à un
km plus à l'ouest et assez bas. Je
commençai à m'en approcher et très
vite je fis un effort d'accélération.
J'ai mis le paquet. Il y avait longtemps que
j'y pensais et je voulais des
résultats. Et j'ai été servi.
J'ai tellement accéléré,
qu'après 2 ou 3 secondes je me retrouvais 1/4
de mille de l'autre côté de l'avion
et un peu plus haut que lui. J'étais
ébailli!
Au loin, au sud-est, à un mille de ma position,
il y avait une couche de
nuages entre 1500 et 2000 pieds. Comme je me
sentais d'attaque et
que je ne pensais pas pouvoir aller jusqu'à
la lune (J'ai oublier de le
mentionner, mais pendant un instant, après
avoir laissé de côté l'avion,
j'ai lorgné vers la Lune), je fixai le
haut des nuages et commençai
l'ascension. Ça devenait de plus en plus
dur et je pensais ne plus avoir
d'espoir pour la Lune.
Je réussis quand même à atteindre
la cîme, mais pas plus, comme si
j'appuyais le bras dessus. Alors, comme je ne
pouvais plus monter, je
revins à la maison à moitié
satisfait. Je m'éveillai aussitôt.
Je repartis pour la troisième fois:
Voir le RÊVE-4B QUI S'ENSUIVIT plus bas
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The X-Files (Aux frontières du réel)
NIL - 18/12/1998 21h00 HNE (#375 of 375)
Jacques Fortier
Bonjour à tous!
Je puis vous écrire, car ce soir il n'y
a pas d'émission (Aux Frontières
du Réel arrête pour 2 ou 3 semaines).
Mon intention n'est pas de troubler le genre de
discussion que vous
entretenez sur cette émission...
Je veux vous parler de certains phénomènes
en relation avec l'émission
où le passage d'une forme quasi invisible
et étrange provoque de
l'interpénétration d'objets et
de personnes. Ça doit être à "X-Files" car
je ne me souviens pas tellement du contenu parlé.
Je le reverrai en
français plus tard pour les paroles.
On a vu deux pièces de un sous interpénétrées
et en forme de croix.
Deux personnes s'embrassant ont partiellement
entré l'un dans l'autre et
ont resté ainsi plusieurs minutes. Un
animal et une roche avaient une
portion commune. Un homme, qui souffrait de ses
blessures et qui avait
une main faisant dorénavant partie du
plancher, a été abattu et des
hommes ont incendié la maison où
il était. Mulder, lui, avait changé de
corps avec un autre homme!!!
J'attire votre attention là-dessus pour plusieurs raisons.
Dans la revue Facteur X, ils parlent de l'expérience
de Philadelphie où
l'armée états-unienne aurait fait
disparaître un bâteau et son équipage.
Lorsqu'une partie de l'ensemble a réapparut,
ils ont constaté que
quelques hommes avaient des problèmes
d'interpénétration avec la
matière constituante du bâteau.
La série télévisée
fait référence à de nombreux événements
réels ayant
survenu dans un passé peu éloigné,
qui ont parfois fait contreverse, et
qui surtout furent gardés le plus secret
possible.
Grâce à des découvertes de
Nikolas Tesla, ils ont envoyé suffisamment
d'énergie au bâteau pour modifier
sa visibilité et sa tangibilité au point
de pouvoir passer à travers.
C'est de cela dont j'aimerais vous entretenir ce soir.
Malheureusement, ça ne peut être court!
Faisons un peu de physico-métaphysique.
Lors de mes expériences
conscientes "Hors-corps", je me suis retrouvé
dans ma chambre,
venant à peine de sortir de mon corps
pour la troixième fois cette
nuit-là, (je raconterai les autres dans
la section "Normal-Paranormal" au
titre "Rêves Conscients" sous peu) et je
décidai de passer à travers la
fenêtre pour sortir dehors.
Je commençais à manquer d'énergie
et en plus la vitre diminua de taille
et augmenta d'épaisseur. Je doutais un
peu de pouvoir y parvenir. Mais
dans un grand effort de concentration, j'entâmai
la taraversé la tête en
premier. C'étais difficile. Le moindre
centimètre éprouvait grandement
ma force et ma ténacité. Je progressais
quand même. Je resentais
l'emplacement de la vitre vis-à-vis de
mon cerveau. Contrairement aux
sensations merveilleuses de frémissement
des particules de mon corps
traverssant habituellement la matière,
j'éprouvais un certain
désagrément inquiétant et
commençai à m'intérroger.
Avais-je mon corps physique avec moi? Si oui,
et je ne sais pas
pourquoi ni comment j'aurai réussi cela,
je me demandais ce qui se
passerait si jamais j'abaissais mon taux vibratoire?
Si je me matérialisais
dans cette position?
La vitre ferait-elle partie de mon cerveau, ou
mon cerveau de la vitre?
Ma tête serait-elle tranchée sur
le champs?
Pour deux raisons totalement différentes,
je puis vous dire que mon
cerveau frémissait. Je n'ai pas insisté
d'avantage et j'ai rebroussé
chemin. Puis je me suis "réveillé"
tout songeur!
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The X-Files (Aux frontières du réel)
NIL - 18/12/1998 22h26 HNE (#376 of 376)
Jacques Fortier
(SUITE DE 375)
Tout est vibration, tout est Lumière, exister
c'est rayonner. Pour être
vu, il faut émettre de la lumière,
car c'est par elle que l'on peut être vu
ailleurs (La vétrité est ailleurs!).
Nos yeux ne voient personnes, ils ne
perçoivent que leurs rayonnements liés
à l'émission de photons lumineux
émis par les électrons qui constituent
notre corps avec les noyaux des
atomes.
Pour émettre, ces électrons doivent
changer de couches électroniques
autour du noyau. Dépendamment des types
d'atomes impliqués dans ce
processus ainsi que des couches électroniques,
des électrons
produisent une couleurs données bien spécifique,
ou une onde
électromagnétique invisible (infra-rouge,
ultra-violet ...).
Ces varriations dépendent elles-mêmes
du type de rayonnement que
reçoit l'atome et ces électrons.
Sans rentrer plus avant dans les détails,
disons qu'un équilibre se fait entre les
entrées et les sorties.
Si on réussi à expédier tous
les électrons de tous les atomes de toutes
les particules de la matière d'un corps
donné (et toutes les cellules) sur
des couches électroniques où les
électrons ne peuvent plus émettre
dans le spectre du visible en changeant de couches,
avec un apport
suffisamment fort d'énergie, alors on
transforme ce corps en objet
invisible à l'oeil (et possiblement aussi
dans les infra-rouges et les
ultra-violets) le temps que l'ensemble des atomes
réémette cette énergie
reçue et se repositionne dans l'émission
de photons visibles.
Mais si cet apport considérable d'énergie
modifie également l'équilibre
électromagnétique des particules,
alors, les atomes peuvent se déplacer
à travers les autres particules environnantes
selon des carractéristiques
nouvelles et se recombiner différemment.
Les liens carractéristiques
entre les molécules de bois, de fer, ou
de tout atome se trouvant
chambardés car dépendantes du nombre
et du positionnement des
électrons sur les couches électronique
des atomes, alors toutes sortes
de mélanges nouveaux peuvent se produire
entre des objets à proximité
les uns des autres.
Mais allons encore plus loin dans la métaphysique cette fois-ci!
Si une telle expérience (un apport spécial
d'énergie) peut éthérialiser
des corps physiques, alors l'expérience
que j'ai probablement faite avec
mon corps éthérique aurait pu être
catastrophyque, car de nature
comparable.
Mais pensons à la transformation du corps
de Jésus dans son linceul
(Le Saint Suaire de Turin ou un autre). Ce corps
en transformation, en
étérialisation devait émettre
ses derniers rayonnements dans le spectre
du visible, puis de l'ultra-violet, puis des
rayon-X avant de devenir
complètement invisible, sans oublier la
chaleur du début du processus
(infra-rouge). C'est fort intéressant.
(Lisez le livre sur le Suaire de Turin,
c'est fort intéressant)
En faisant le chemins inverse, Il pouvait apparaître
aux humains par la
suite.
Quand je traverse la matière, je dois dépolariser
mes particules pour y
parvenir et je ressens le frémissement
de chacune d'entre elles. Elles
pétillent au contact des autres particules
que je traverse.
J'ai même fait cette expérience avec
une personne. Au niveau du
cerveau c'est extra-ordinaire. en plus des pétillements,
c'est comme si
l'addition des deux était augmentée
de quelque chose de plus. C'était un
cadeau d'aniversaire que je recevais pour cette
occasion. Était-ce la
fusion avec mon Âme qui avait pris l'allure
d'une fille que j'aimais bien?
Je ne sais pas!
Mais il faut dire que cet épisode à bien fait travailler mon cerveau!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 20/12/1998 16h04 HNE (#5 of 5)
Jacques Fortier
RÊVE et RÉALITÉ (agression-chien)
On pourrait appeler cela RÊVE et RÉALITÉ.
Conscient en dehors de mon corps, la nuit, comme j'en avais souvent l'habitude, dans mon décors habituel, c'est-à-dire Chez mes parents, je flottais à un mètre du sol entre la grange et la maison. j'entrepris de passer par-dessus une clôture de 4 pieds de hauteur en dirrection d'un enclos. Puis je revins de cette petite balade banale.
J'humais l'air calme et cilencieux à cette heure tardive et peu éclairée.
Je venais tout juste de franchir la clôture,
en direction de la maison quand j'apperçus un chien enragé
se ruer vers moi avec ses crocs menaçants. J'anticipais déjà
la
douleur de ses morsures aux jambes et de la vision
du sang qui s'en dégagerait. J'avais de la difficulté à
percevoir son intervention sur mes jambes tout en essayant de me
défendre tant bien que mal.
À ma très, très grande surprise,
je ne ressentais aucune douleur. Chose impenssable que je ne comprenais
vraiment pas et qui attirait mon attention encore plus que
l'attaque dont j'étais le récipiendaire.
Après quelque secondes, le chien s'éloigna légèrement de moi et se transforma en femme. Puis je vis la scène d'un peu plus loin et d'un autre emplacement du décors.
De là, je voyais maintenant l'homme qui s'était fait attaqué et la femme à deux mètres de lui. Mes pensées avaient complètement changé.
Je regardais tout cela sans bouger, avec désolation et croyant ne pas avoir à intervenir malgré le sérieux de la situation.
Puis je me réveillai perplexe à l'idée de ne pas avoir intervenu. Je ne comprenais pas pourquoi!
Et ce chien qui se transforma en femme, c'était bizarre! Et ses deux positions d'observation que j'avais occupées, ça correspondais à quoi?
Songeur, j'apprêtai le déjeûner en écoutant les nouvelles. Puis je mageais, plein d'interrogations dans la tête, écoutant distraitement.
L'annonceur nous fit part d'une agression qui s'était déroulée à Limoilou durant la nuit.
Au retour d'un mari qui avait été prendre un coup, sa femme l'avait acceuilli à coups de couteau de cuisine sous les yeux de leur fils.
Ainsi donc, dans le décors mental du mari, sa femme était représentée en chien enragé durant son attaque. Et l'alcool qu'il avait bu minimisait les sensations de douleur qu'il aurait du ressentir en temps normal (à jeun) La troixième personne n'était pas un lâche, mais un fils au beau milieu d'une dispute familiale un peu virile.
Le mari avait peut-être "sauté la clôture!"
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 20/12/1998 16h42 HNE (#6 of 6)
Jacques Fortier
DANS LA MÊME VEINE DE "RÊVES ET RÉALITÉS", en voici un autre:
ENFANT TORTURÉ
Je travaillais à l'étage tout en étant préoccupé par les cris d'un enfants dans la cuisine, au rez-de-chaussé. Je savais qu'une femme s'en occupait. Mais j'étais de plus en plus hérité par ce créscendo de pleurs et de cris, sachant fort bien que la femme traitait durement l'enfant. Je désapprouvais cela mentalement et ça devenait de plus en plus insupportable.
J'étais très pris par mon travaille, mais c'était allé trop loin et je bouillonnais de rage.
Alors, avec une très grande détermination et un but immuable, je descendis l'escalier, repèrai la femme qui tenait l'enfant et qui lui mettait la main sur le rond du poel, luiarrachai l'enfant des mains et la poussa avec grande force vers le contoire de la cuisine.
Elle s'écroula par terre, au pied du contoire et je réalisai que la force employée dépassait mon intention car je n'avais pas l'habitude de violenter les femmes. Pendant un instant, je le regrettai et j'eu presqu'envie de m'excuser. Mais l'état de l'enfant m'en empêchat. Mentalement, je lui disais que c'était fini tout cela ,en pensant au martyrequ'il subissait depuis trop longtemps, et que maintenant je m'occupperais de lui. Je commençai à monter l'escalier avec lui dans les bras. Puis je m'éveillai.
Ce matin-là, aux nouvelles, on nous expliquait
qu'un journaliste (je crois) de Vancouvers était intervenu auprès
d'une mère qui maltraitait son enfant depuis un certain
temps. La DÉPJ était partiellement
au courant de l'affaire mais n'intervenait pas. De plus, on précisait
que la mère avait été jusqu'à lui mettre les
fesse sur le rond rougi du poel!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 20/12/1998 17h17 HNE (#7 of 7)
Jacques Fortier
ENCORE UN DE RÊVES ET RÉALITÉS
DEUX ENFANTS SÉQUESTRÉS
Je descendais une pente de ski avec de nombreuses
personnes tout autour de moi. Je pris conscience que j'étais en
rêve. J'aime bien skier (même si je ne le fais plus
qu'en rêve seulement) mais j'aime encore
plus voler dans les airs.
Alors je m'élevai au-dessus de tout ce beau monde, les suivant à une altitude de 7 mètres. Je m'en tannai (lassai) au bout d'un certain temps assez long. Je m'éloignai de tout cela.
Je vis un endroit assez insolite et isolé.
Il y avait une cabanne de bois, une petite maison toute délabrée
qui semblait abandonnée au fils d'arraignés et à la
nature, la
végétation.
Je m'en approchai. Il y avait comme un caveau
où beaucoup d'insectes, de guèpes et de mouches m'insitaient
à ne pas passer. Plus loin, une entrée menant à une
chambre isolée et lugubre. J'ai été
très surpris d'y voir deux enfents. Je ne comprenais pas pourquoi
il était là, dans un tel endroit!
Je revins sur mes pas. À l'entrée,
il y avait un currieux de petit homme qui se faisait menaçant. Je
m'en déffis très facilement et il disparut. Puis arrivat
une femme qui
me semblat diabolique et qui s'apprêtait
à m'attaquer. J'hésitai un peu car je pensais avoir à
faire à une force occulte invisible et je ne savais pas comment
m'y prendre pour me défendre.
Cependant, avec une force que je ne me connaissais pas, je la pris rapidement par un bras et, comme popaye avait l'habitude de le faire, je la fis tourner autour de moi et la propulsai au loin. C'en était fait d'elle.
Alors que je pensais à libérer maintenant les deux enfants, je m'éveillai.
À la radio, ils ont dit qu'un homme avait découvert un endroit où deux enfants étaient séquestrés par un couple dont la femme était une sorcière venant des Indes et qui s'était installé dans un petit village à quelques dizaines de kilomètres de Québec. Les enfants appartenaient au mari de ce couple et étaient gardés en réclusion complète depuis environ deux ans.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 20/12/1998 18h31 HNE (#8 of 8)
Jacques Fortier
MARCHER SUR L'EAU - JÉSUS
Voyez le récit numéro 19 qui précédat ce rêve et qui lui ait attaché dans la section "Récits d' expériences paranormales "
Je courais sur un petit sentier de terre aux abords
d'un lac et d'une lisière d'arbres qui longeait l'eau avec 2 ou
3 de mes frères quand je pris conscience de mon état
(hors corps).
Je m'élevai de terre et continuai le parcours en vollant. Un peu sous mes pieds, mes frères restaient au sol et essayaient de me suivre.
J'avais envie de me diriger vers les arbres pour les survoler et m'approcher du lac. Je leur dis de suivre l'éclaircie, au sec, et que je les rejoindrai plus loin. Car je savais qu'ils ne pourraient pas s'envoler et me suivre au-dessus de l'eau.
Puis, les laissant aller, je descendis la pente
et commençai à survoler le lac. Je me demande à chaque
fois si je vais parvenir à rester au-dessus de l'eau avec une
certaine peur de m'y engouffrer.
Toujours au-dessus de l'onde, à 10 mètres de la surface, je contournai des arbres et m'éloignai de la rive, pensant à mes frères qui s'étaient aventurés dans les branches et en sol humides. Ils ne m'avaient pas écouté. Et je les voyais dans leur difficulté à avancer.
Quant à moi, je progressais au-dessus de l'eau tout en diminuant mon altitude.
Je marchais sur l'eau quand j'apperçu Jésus arrivant derrière moi et s'approchant de l'eau. Nous entamâmes une discussion. Je ne comprenais pas tout ce qu'il me disait. Je ne le regardais pas, mais je le sentais là, près de moi, me dépassant d'un pied en hauteur et cheminant dans la même direction que moi dans un très grand calme et une grande sérénité. Puis je me rendis compte que mon grand frère était en train de se noyer à quelques métres de nous. Je Lui montrai la situation, insistant pour qu'ilLui prête secours. Mais il ne bougeait pas malgré ma demande. Je changeai de côté par rapport à lui et finis par m'approcher de mon frère en détresse. Je le pris par lesdeux épaules et le tirai de sa fâcheuse position, le ramenant au-dessus de l'eau. Ce faisant, je m'éveillai!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 21/12/1998 20h35 HNE (#9 of 9)
Jacques Fortier
LA TRAVERSÉE D'UNE VITRINE
Je faisais un rêve ordinaire et incontrôlé. J'étais accroché en haut d'une échelle de pompier ou de camion, dans la nacelle, et me laissais emporter au gré des fantaisies du chauffeur. Il tourna vivement et je frôlai un mur , puis il accéléra. Je me sentait comme le gars en haut de l'échelle déployée d'un véhicule en mouvement dans la "Cane aux Oeufs d'Or".
Je finis par lâcher prise et me retouvai à 6 mètres au-dessus du sol, immobile. Je ne tombait pas! Ainsi donc, j'était en rêve. Comme j'étais déjà en l'air, je savais que je pouvais léviter et me déplacer en vollant.
Sans perdre d'altitude, je quittai la route et m'engageai vers un terrain menant à une forêt. Le terrain était en pente et j'eus donc l'impression de monter de plus en plus. J'avais un peu peur d'avoir le vertige et je me questionnais sur la pertinence de m'éloigner de la civilisation vers une nature peu accueillante.
Aussi, je rebroussai chemin et me dirigeai vers une vitrine à demi circulaire, au deuxième étage, qui avait tant attiré mon attention sur le plan physique, car je ne pouvais bien y voir les objets de sport qui s'y trouvaient.
J'approchais de la vitre, et sans le vouloir, je passai lentement à travers. Une sensation merveilleuse de chatouillement et de picotement fit frémir d'aise et d'agrément les molécules de mon corps lorsque c'étaient à leur tour de traverser le verre.
Je recommençai une seconde fois, mais volontairement, cette traversée en sens inverse, puis encore une fois dans l'autre sens.
Je m'éveillai avant même avoir eu le temps d'examiner les articles de sport!
Cela avait duré environ 20 seconde "d'impression de temps".
J'ai refait plus tard une visite plus complète que j'ai terminée en passant à travers le mur de briques gauche. C'était plus ardu comme traversée car je perdis la lumière pendant un instant et je due faire un grand effort pour visualiser l'autre côté du mur et pour ne pas m'éveiller.
Je me suis retrouvé à l'extérieur, à 4 mètres au-dessus du sol, puis je rentrai par le même mur. ( je suis peut-être un peu maniaque quoi!)
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RÊVES CONSCIENTS
Rêve et réalité.
UNE VOITURE TOMBE DANS UNE RIVIÈRE
Tard la nuit, je suivais un chemin peu achalandé et isolé dans ce qui me semblait être de grandes étendues boisées au milieu de la nature. Je suis ce chemin sans comprendre pourquoi et sans savoir où je pouvais bien allé ainsi. Je n'agissais pas volontairement.
Peu après j'approchais d'un pont et je sentais la présence de l'eau en dessous. En même temps, j'avais peur de passer trop près de la bodure et d'y tomber. Je ne me souviens plus très bien ce qui s'est passé.
Disons que j'ai commençé à être conscient de mon état hors-corps et que j'ai abondonné ma position incontrôlée dans le véhicule. J'ai sentis que l'auto était passée par-dessus bord et tombait dans une rivière qui passait à un niveau plus bas, disons dix à quize mètres.
Pour ma part j'ai continué sur le pont en vollant à un mètre du sol. pour l'instant je restais à deux mètres de la rampe car je pensais avoir le vertige si je m'en approchais. Cependant je repensai au fait que je n'avais pas mon corps physique avec moi et que je n'avais rien à craindre.
Alors, osant imaginer ce que je craignais, je m'approchai au bord du pont et au-dessus de la rampe pour y voir bel et bien la voiture emportée par un fort courant à plusieurs mètres en dessous. Je m'étonnais de pouvoir voir la rivière, sa surface et ses rives avec netteté bien que assombries.
Je voyais à l'intérieur "mes deux frères" assis sur le siège avant et s'éloignant du pont. Je décidai d'aller les rejoindre, malgré ma peur d'aller au-dessus de l'eau tumultueuse qui les emportait. Mettant une bride à ma peur, je fonçai vers eux à grande vitesse, passai à travers la vitre pour m'installer sur la banc arrière. Je sentais que l'automobile ne flotterait pas bien longtemps et je me demandais pourquoi ne se dépêchait-on pas à en sortir?
Le chauffeur devant moi était très calme et ironisait sur le sérieux de la situation. Je me mis à jouer son jeu. ET on se disait, comme si cela ne nous concernait pas, "bientôt la voiture va coulée à pic, s'emplir d'eau et on va se noyer"! Que c'est dont de valeur! On refusait d'y attacher de l'importance!
À côté du chauffeur, notre frère dormait.
Puis je me suis réveillé, plein du sentiment d'ironie dont nous venions de faire preuve.
Quelque mois plus tard, je rencontrais quelqu'un qui, tout étranger qu'il fût, m'était familier. Le contact se fit facilement entre nous deux puis entre nous trois, car sa compagne de vie entra rapidement dans le décors. En fait, ils firent partie de notre mouvent.
Environ 9 mois plus tard, ils me raccontèrent l'accident qu'ils avaient eu un peu avant notre première rencontre.
Vers les deux heures du matin, Sylvain (le chauffeur du rêve) s'était endormi au volant et avait plongé dans une rivière à fort débit. Les deux s'en étaient sortis indem! Ils avaient pu rejoindre la rive. Il paraît que l'eau était glaciale!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 23/12/1998 22h28 HNE (#13 of 13)
Jacques Fortier
RÊVE ET RÉALITÉ, BONJOUR!
UN RESTAURANT TRÈS LUXEUX
Je me retrouvait conscient et volant entre des
immeubles et des maisons
sans pouvoir les suvoler. Je n'en avais pas la
force!
J'examinais les lieux; cette ville que je
ne reconnaissais pas. Puis j'eu
envie de pénétrer un mur de brique
qui me bloquait le passage. J'y
parvins sans perdre conscience, malgré
un grand effort.
Là, je n'en croyais pas mes yeux. J'avançais
dans un lieu très, très, très
luxeux. Ça représentait un restaurant
bien particulier que je ne pensais
pas pourvoir exister en ce bas-monde! Outre le
chic et le luxe du moindre
objet, des marches (2 ou 3) menaient à
un petit réduit isolé du reste de la
pièce où quelques personnes pouvaient
prendre un repas en toute
intimité. La pièce était
parsemée de petits endroits comme ça, à égalité
du plancher ou un peu plus haut et séparés
par des murs "inulites".
Quelques mois plus tard je vis de telles pièces
sur le plan physique au
Château Frontenac où je travaillais.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 10:58pm Dec 23, 1998 (#14 of 14)
Jacques Fortier
RÊVE ET RÉALITÉ toujours! (Le Christ)
J'étais dans un endroit relativement vieux.
Un bâtiment inconnu. Il y avait
une bonne dizaine de personnes qui se tenaient
au fond, près d'un mur, et
ayant tous un air commun: pas très grand,
un air robuste, calmes;
plusieurs avaient une barbe et ressemblaient
aux marins de la Gaspésie.
Ils attendaient je ne sais pas quoi ou qui. Leur
fond semblait très sérieux,
presque solonnel.
Je ne me souviens pas de tout ce rêve. Mais
peu après, je m'affairais
près d'une longue table quand j'y vu Lord
Maytréya, Le Christ, Le
Représentant du Christ Cosmique pour notre
Humanité. C'est Lui qui la
préparait; Il y avait mis une nappe bleue-roi
comme je n'en avais jamais
vu auparavant! Je ne savais pas ce qu'Il voulait
que je fasse au juste.
Cependant, malgré son silence absolue,
j'avais la très forte impression
que ses lèvres retenaient un désir
millénaire de communiquer quelque
chose, mais de devoir attendre qu'un événement
attendu depuis si
longtemps le lui permette et le lui en donne
l'occasion. Ses lèvres étaient
d'une intensité de communication muette
incroyable.
Je sentais que j'étais d'aucune utilité
à tous CE BEAU MONDE malgré
mon insistance pour aider. Alors je finis par
exprimer télépathiquement mon
offre de placer au moins les chaises qui longeaient
le mur et je m'y suis
activé.
Quelque temps plus tard, je vis ces nappes bleu-roi
sur les tables à
manger dans les grandes salles du Château
Frontenac! Des rideaux de la
même couleur et du même tissu épais
s'y trouvaient également.
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Avez-vous déjà
fait un voyage astral?
NIL - 24/12/1998 00h42 HNE (#87 of 88)
Jacques Fortier
BONJOUR À VOUS TOUS!
Je reconnais dans vos propos, vos inquiétudes,
vos questions et vos
expériences les mêmes choses qui
peuplaient mon environnement il y a
environ vingt-cinq ans.
Certaines personnes avaient été
traumatisées par la vue de leur corps et
de ne pas pouvoir y revenir. Ils pleuraient et
imploraient!
Ses pauvres petits "chats" échaudés
craignirent toujours l'eau chaude
malgré tous les efforts que nous déployions
pour les convaincre qu'ils
pouvaient changer tout cela .
Une filles m'a raconté que lors d'un de
ses retours, il y avait quelqu'un
dans son corps et qu'elle a du lutter longtemps
avant de l'en déloger et d'y
prendre sa place légitime.
Pour ma part, je trouvais excessivement difficile
de ne pas m'éveiller
aussitôt que je devenais conscient.
Pour les déplacements, nous ne sommes pas
toujours capables de les
contrôler, surtout au début. Même
le vol dans les airs est souvent assisté.
On ressent une main ferme nous soulever sans
rien voir. Ou une planche
invisible sous nos fesses nous soulève.
La lévitation volontaire par une force
interne finit par survenir. Mais son
mode d'emploi se modiffie dans le temps. Au début,
on est en équilibre
autour de la région abdominale et on a
l'impression de facilement pouvoir
basculer autour de lui. Plus tard on peu faire
comme les oiseaux et battre
des ailes pour s'aider et se stabiliser. On peut
en venir à se propulser
comme superman, les bras allonger au-dessus de
la tête et voler dans
toutes les directions (haut, vers le bas, à
l'horizontal, en oblique). On peu
se déplacer en restant debout tout en
avançant sans bouger les pieds. On
peut faire comme Robin-Fusée et se propulser
avec la pomme des mains,
les bras près du corps.
Mais cela ne veux pas nécessairement dire
que nous avons des bras et
des pieds. Nous avons ce que nous voulons avoir,
car on peut le fabriquer
très facilement. Le plus facile, c'est
de rationnaliser et de penser à soi
comme on a l'habitude de se voir sur le plan
physique. De plus, notre
allure dépend de notre évolution.
Un jour nous ne serons qu'un courant de
Lumière. Auparavant, une forme ovoïde
et transparente.
La matière y est si maléable que
l'on peut voir les autres à toutes sortes
d'âges, ou d'apparence symbolique; le symbole
utilisé mettant l'accens sur
le nom, le lien de fraternité élargie,
l'autorité civile, parentale ou morale,
etc...
Tôt ou tard, on se retrouve interpénétré
à son corps physique sans y avoir
pris les commandes terrestres, mais entendant
ce qu'il entend et voyant
ce qu'il voit. Il faut descendre encore son taux
vibratoire. Mais cela n'est
habituellement pas conscient. Il ne faut surtout
pas s'inquiéter. Restez
calme et si cela vous chicotte trop, endormez-vous
et tout rentrera en
ordre.
Bientôt je raconterai quelques exemples
dans la section RÊVES
CONSCIENTS. En attendant, jetez un coup d'oeil
dans la section
PARALYSIE DU SOMMEIL.
En fait, lorsque cela arrive, vous n'êtes
plus dans l'Astral, Vous êtes sur,
ou au niveau du plan éthérique,
le niveau des Êtres des 4 éléments. C'est
pourquoi, il arrive si souvent d'y voir des Êtres
bizarres pour nous les
humains.
Cependant faites attention à ceux qui voudraient
s'approcher près de
vous et vous enserrer dans "leurs bras". La malhonnêteté
se ressent
facilement: peut-être veulent-ils votre
énergie?
Dans cet état, il est facile d'y voir un
parent ou un ami malade, ou décédé
depuis peu, car il a encore un corps éthérique
qui peut voyager.
Rampa indique que le corps éthérique
ou double physique est vitale pour
le corps physique et ne peut habituellement pas
le quitter sans mettre sa
vie en danger. Ce n'est donc pas avec lui que
l'on voyage au loin. Il peut
cependant s'éloigner à environ
trois mètres sans danger pour qui que ce
soit.
(VOIR LA SUITE AU NUMÉRO 88)
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NIL - 24/12/1998 00h45 HNE (#88 of 88)
Jacques Fortier
Dans cet état, vous pouvez voir à
travers vos paupières fermés, sur les
plans physique et éthérique sans
nécessairement différencier l'un de
l'autre sauf si l'anomalie est flagrante.
Vous pouvez aussi entendre sur les deux plans sans faire de différence.
Les picottements et les frémissements sont
dûs à l'ajustement de nos
deux corps physique et éthérique
qui ont leurs propres particules et dont
les taux vibratoires se rejoignent et s'entremêlent
ou se séparent et
commencent à s'éloigner.
Pour quitter facilement, il faut bien entendu
être à l'aise, ne pas bouger et
oublier son corps. La respiration et les battements
du coeur étant les
dernières attractions à vous captiver.
Dans cet état j'ai déjà expérimenter
une respiration de deux coups à la
minute durant 5 minutes sans me forcer, sans
retenir ma respiration: c'est
naturel. Quand j'ai commencé une respiration
sans fin, j'ai eu peur et j'ai
arrêté l'expérience.
À l'inverse, un retour en lenteur peut
nous mermettre de constater
l'ouverture progressive de nos "nodules" le long
de notre colonne
vertébrale et du thorax de bas en haut
en doublet (en pair comme pour
une fermeture éclair). Dans cette expérience,
notre conscience
environnementale se situe au niveau de la pair
de "nodules" qui s'éveillent,
qui frémissent. Lorsqu'on arrive vers
le centre du sternum, un grand coup
est donné et on a l'impression de commencer
à respirer et que ça
pressait. Presque tout de suite vient la conscience
du monde extérieur.
Là on est vraiment aux commandes et on
peut bouger et conduire notre
véhicule terrestre où bon nous
semble dans le monde à trois dimensions.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 24/12/1998 16h54 HNE (#15 of 15)
Jacques Fortier
Série: RÊVE et RÉALITÉ, Intervention du Christ.
J'étais dans la Nature au milieu de l'Abitibi;
dans ces grands espaces
esseulés après les coupes à
blanc que font les grosses compagnies
d'exploitation forestière.
Je regardais le terrain à une altitude
de 20 pieds, flottant dans les airs et
me déplaçant lentement pour bien
observer. Je sentais qu'il s'agissait
d'un vieux territoire Indien. J'y voyais de vieux
vestiges de campement.
Au loin, un amoncellement de roches attirait
mon attention. On voyait le
sable bien apparant et un peu de végétation
carractéristique des vieux
"bûchers".
Je ne savais pas où j'étais et je
me demandais si c'était dans le passé,
car j'étais conscient et je me posais
des questions. Je n'arrivais pas à
me déplacer aussi librement que je le
souhaitais. Je pensais m'élever
haut dans le ciel pour mieux voir où cela
se situait. Cependant cette vive
sensation d'ancienne terre indienne me captivais
et m'insitait à regarder
les lieux d'un peu plus près. Aussi, je
descendis un peu.
Après quelques longues minutes d'observation,
je commençai à
percevoir une voiture au loin, à un kilomètre.
Il faisait un peu de bruit et
la poussière s'élevait derrière
lui. J'avais changé le sens de mon
observation de 180 degrés. Curieusement,
je savais que c'était un de
mes frères avec un de nos cousins.
De plus, j'avais la très nette impression
qu'ils allaient faire un accident et
se tuer. J'avais un sentiment d'urgence.
Alors dans un grand effort je me tournai dans
l'autre sens et commençai
à appeler le Christ pour qu'Il vienne
les sauver. Je me rappelle que
j'étais en train de monter le long d'un
escarpement de roc quand à son
sommet LE CHRIST apparut et descendit vers moi.
Je gardais ma
pensée fixée sur la situation d'urgence
et de danger. C'est comme si
j'avais atteint la moitié seulement de
la hauteur de l'escarpement et que
je n'arrivais plus à monter.
Puis mon attention fut complètement absorbée
par la contemplation du
Christ que j'envisageais voir enfin de si proche.
Il avait les mains en croix comme un Jésus.
Mais lorsqu'Il fut plus près,
je remarquai avec surprise que son visage n'était
pas apparent. Comme
s'Il portait une armure et que seule des points
de Lumière violets et
bleus étaient visibles à la place
du visage dans la visière ouverte. Puis je
me réveillai.
Quelques semaines plus tard, j'appris que mon
frère et mon cousin
descendaient en ville après leur travaille
environ 150 milles de là et
qu'ils avaient fait un accident dans un endroit
assez isolé. Ils avaient fait
au moins un tonneau.
Mais perssonne ne s'était blessé.
Cela les avait fait réfléchir et ils ont
décidé de s'éloigner du
milieu de la drogue, ce qui n'est guère évident
car là-bas la drogue fait des ravages
et ils durent s'isoler de leurs
fréquentations harcellantes et même
s'expatrier pour l'un des deux!
Dans ce coin du pays, des simulations de suicide
sont monnaies
courantes!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 24/12/1998 17h19 HNE (#16 of 16)
Jacques Fortier
RÊVE et RÉALITÉ
RESPIRATION ARTIFICIELLE
Le décors était celui de la ferme
chez mes parents en Abitibi. J'était
chez le voisin d'en face, (presque en face) quand
je décidai d'aller
rejoindre mon père et mon grand frère
qui bûchaient du bois près de "la
montagne de bleuets". Le décors était
différent de celui qu'on voit sur le
plan physique.
Je voulais les rejoindre en passant par un dédale
de roches et de creux
où il y avait de l'eau au fond.
Tout à coup, je vis mon jeune frère
tomber dans un tel creux. Je
m'approchai rapidement et en me penchant pour
le saisir, il se changeat
en petit bébé.
Je le pris dans mes deux mains et avec les pouces
je lui faisais la
respiration artificielle. C'était étrange,
si petit et avec les pouces. Je
sentais la présence de mon père
qui travaillait un peu plus loin.
Puis je me suis réveillé.
Quelques mois plus tard, j'apprenais que mon jeune
frère était tombé
dans le puisard que le voisin était en
train de vider.
Ce fut peu de chose paraît-il!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 25/12/1998 12h43 HNE (#17 of 17)
Jacques Fortier
DEUX VISITEURS DANS MA CHAMBRE
J'étais interpénétré
à mon corps physique, sans trop savoir sur quel plan
je me situais quand deux personnes entrèrent
dans ma chambre. Mon
compagnon de chambre était parti pour
la fin de semaine et je savais
que ce n'était pas lui qui avait ouvert
la porte.
Était-ce des cambrioleurs?
La tête de lit m'empêchait de les
voir. Alors je me préparais à me lever
tout d'un coup; d'abord enlever la couverture
et up là pour les
suprendre!
Je ne savais pas si mon corps répondrait
à mon impulsion, mais je
n'ausais pas bouger même le petit doigt
pour le vérifier tant je voulais un
effet surprise.
Puis ils passèrent le long du lit en se
parlant doucement sans que je ne
puisse comprendre leur langage. Ils m'ignoraient
complètement. Ils
allèrent directement à ma bibliothèque
(remarque: il y avait inversion
avec le plan physique, mais je n'y pensait pas).
Ils prirent mon
manuscrit (dans mon premier livre, je racontais
plusieurs de mes rêves
conscients, de mes expériences hors-corps
-- je l'ai détruit plus tard
après avoir essayer de le faire publier)
et le feuilletèrent pendant un
moment tout en discuttant entre-eux. C'était
ce que j'avais de plus
précieux!
Ils ne semblèrent pas dangereux cependant,
aussi j'attendis encore un
peu avant de bondir. D'ailleurs ils étaient
deux et je craignais un peu
d'intervenir. Ils ne faisaient que lire après
tout.
J'avais terriblement peur qu'ils versèrent
de la gazoline sur moi et qu'ils
y mettent le feu avant de partir.
Puis vint le moment fatidique! Ils repassèrent
près de moi. J'entendis le
liquide versé sur moi puis le feu s'allumer
et eux de quitter la pièce
comme ils étaient arrivés.
Ça y était, le gaz brûlait
puis ce serait mon tour! Je n'arrivais pas à
bouger, aussi j'attendais, résigné,
la combustion!
Les secondes s'égrenaient et je ne ressentais
toujours aucune douleur.
Alors je compris que je n'étais pas sur
le plan physique et que ce feu
n'était par conséquent d'aucun
intérêt. Je l'effaçai de ma pensée et en
profitai pour sortir de mon corps, me lever et
passer à travers la porte
fermée.
Je me souvins de la demande d'un copain qui voulait
que j'aille le voir la
prochaine fois que je sortirais de mon corps.
Aussi, j'essayai de repérer
la porte de sa chambre, mais le corridor était
un peu différent de son
apparence sur le plan physique et je n'arrivais
pas à trouver son numéro
de porte. Comme je ne voulais pas risquer de
me retrouver dans la
chambre de quelqu'un d'autre, je laissai tomber!
Le lendemain, Michel me dit que s'était
finalement mieux ainsi car il
avait un peu peur d'une telle rencontre.
Les Maîtres ascensionnés nous disent
que lorsque nous projettons une
mauvaise énergie sur un Être qui
se protège avec la Lumière cosmique,
cette énergie rebondit et revient vers
son créateur et c'est lui qui le
récolte. C'est surement pour cette raison
que la mauvaise intention que
je prêtait à mes visiteurs s'est
matérialisée sur moi. Et que finalement
c'est ma propre pensée qui a déversé
le liquide et mis le feu!
Ils nous disent aussi que KOUTOUMI conserve dans
sa Retraite en
Inde une copie éthérique de tous
les livres qui s'écrivent sur Terre. À
cette époque, je n'en savais rien.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 25/12/1998 18h53 HNE (#18 of 18)
Jacques Fortier
LES PETITS NAINS
Je revenais d'un rêve (conscient ou autre)
et je me retrouvais
interpénétré à mon
corps sans pouvoir bouger.
Peu après, je sentis des présences
vivantes dans le mur de ciment et
plus loin dans le sol. Le mur se fis de plus
en plus transparent et le sol
de plus en plus clair.
Je sortis de mon corps et suivis ces Êtres
aux formes humaines, mais à
tête un peu bosselée. Il mesuraient
environ quatre pieds et portaient des
vêtement assez usés. Je les suivis
dans leur antre. Ils m'accueillaient
avec gentillesse et m'expliquaient certaines
choses sans que je n'y
comprenne grand-chose.
Nous nous somme rendus dans un boisé où
des arbres avaient été
abattus. Ils m'indiquèrent une longueur,
et j'eu malheureusement l'idée
de leur dire qu'en abitibi il y en avait de plus
long. Cela les a
profondéments vexés.
Et je me suis réveillé sentant qu'il y avait eu un quiproquo.
Quelques jours plus tard, on annonçait
dans les nouvelles qu'un très
riche gisement de diamants avait été
découvert en Abitibi.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 25/12/1998 19h14 HNE (#19 of 19)
Jacques Fortier
LIVRE-ÉDITION-UNIVERSITÉ LAVAL
Je me retrouvais sur le long chemin droit entre
Amos et Barraute,
accompagné de mon chambreur (celui de
l'expérience de clairvoyance
- Bruno). Nous étions en descente vers
le sol. Je voulus repartir tout de
suite. Sentant qu'il ne pouvait suivre,je cessai
de m'occuper de lui et
commençai à monter pour voir par-dessus
les arbres au bout de la
route, à l'intersection en "T".
Sur le plan physique, il n'y a que de la forêt
sur de très nombreux
kilomètres. Mais là, je voyais
un peu plus loin des maisons à travers les
arbres et un petit sentier qui y menait.
Un ans ou deux plus tard, Je descendait le trottoir
vers le Chemin
Ste-Foy, peu après le séminaire
à l'Université Laval et, par le petit
sentier vers l'est, je voyais ce que j'avais
vu dans ce rêve: les maisons
au-delà de la couche de forêt qui
s'y trouve.
J'allais demander des renseignements à
la Librairie Laliberté, dans la
pyramide, pour éditer mon livre.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 25/12/1998 19h38 HNE (#20 of 20)
Jacques Fortier
TAPIS ROULANT
Je me sentais dans la ville de Val D'Or, à
une autre époque. Je sortais
d'un espèce de hangar de mécanique
et je rentrais chez-moi.(je n'ai
jamais habité cette ville mais j'y ai
fait mon secondaire)
J'étais à pieds comme d'habitude,
il y avait un peu de neige, et là devant
moi circulait un immense tapis roulant de plusieurs
kilomètres. Il
s'élevait de plus en plus haut sur des
pilotis et passait par-dessus des
bâtiments et une rivière. Je m'y
engageai et sentis la douceur de
roulement. Tout autour, on voyait les maisons
et tout le décors d'une
portion de la ville.
Plusieurs années plus tard, quand je retournai
aux CÉGEP
(LÉVIS-LAUZON) en électro-mécanique,
j'avais à voyager en
autobus et je passait haut par-dessus les maisons
et le fleuve, souvent
debout (par manque de place) et j'éprouvais
la même sensation de
douceur de roulement en plus d'avoir la possibilité
de voir tout autour le
décors de ce bout de ville (Ste-Foy).
Remarquez que dans mes rêves, les cours
d'eau sont beaucoup plus
petits que sur le plan physique. Les fleuves,
les océans et toutes les
étendus d'eau me paraissent plus petits
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 25/12/1998 20h14 HNE (#21 of 21)
Jacques Fortier
QUÉBEC DANS LE FUTUR
J'arrivais par la voie des airs et au-dessus du
fleuve contournant le
promontoir car je devais être à
la mi-hauteur.
Je ne reconnaisais pas le décors ni l'orientation
habituel. Bizarrement, il
y avait une immense avancée d'eau entre
la côte droite vers les
montagnes au nord actuel et la côte
gauche, Ste-Foy, Québec
Haute-ville. De plus un pont traversait de Québec
vers la droite (?)
(actuellement on dirait au-dessus de limoilou).
Il y avaient de très nombreux voiliers
sur ces eaux.Il y en avait tout
partout et de toutes les grosseurs. C'était
très paisible et serein. Un
grand calme habitait toute la nature.
Je descendis sous le pont et près de la
surface de l'eau même si j'avais
très peur de le faire. puis je remontai
au-dessus de tout ce décors.
Plus je m'élevais et plus je découvrais
de nouveaux immeubles toujours
plus gros et plus nombreux. Cela me surprenait
beaucoup et je ne les
reconnaissais pas. Je croyais avoir vu le principal,
quand apparurent au
loin plusieurs immeubles décorant l'horizon
et qui me semblèrent être
encore plus gros et plus nombreux que ceux de
"Québec". À droite,
l'eau allait jusqu'au fin fond de l'horizon et
cela me lassait perplex.
Puis je m'éveillai!
J'ai fais ce rêve avant Québec 84 et ses voiliers.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 26/12/1998 18h02 HNE (#22 of 22)
Jacques Fortier
RETOUR-ALLÉE-CONSCIENT (entrée et sortie conscientes du corps)
J'étais déjà conscient depuis
un certain temps et je m'intéressais au
décors tout en couleur où j'évoluais.
Mais je ne me souviens plus de ce
bout (il y a 25 ans quand même).
Tout à coup, un bruit d'alarme d'incendie
se mit à tinter en arrière plan,
presqu'en sourdine.
Ne sachant pas s'il provenait du plan physique
ou non, je ne pris pas de
chance et voulus vérifier s'il y avait
un incendie à la résidence étudiante
où se trouvait mon corps endormi.
Je commençai à revenir lentement,
car je voulais savoir si le bruit irait
en augmentant ou en diminuant afin de ne pas
me réveiller pour rien.
J'avais tellement fait d'efforts par le passé
pour ne pas me réveiller
aussitôt que je devenais conscient lors
d'un rêve!
Il y eu effectivement des changements. Je notai
d'abord la perte des
couleurs, puis la disparition complète
du décors et des images, plus rien
que des "ténèbres" ( la noirceur
).
Le son resta encore un moment, puis s'éteint
presque complètement.
Plus de bruit d'alarme, mais simplement un bruit
de fond que je
qualifierais de "SILENCE". Je conclus temporairement,
qu'il n'y avait
donc pas de problème sur terre pour moi
et présumai que le bruit venait
de plus Haut, sans pouvoir l'interpréter.
Je réaugmentai mon taux
vibratoire pour retourner à mon premier
décors et observai à nouveau
la gradation des changements. L'alarme aussi
revint!
Ne voulant pas la sous-estimer, je décidai
de descendre jusqu'au plan
physique pour en avoir le coeur net.
La même gradation jusqu'au "SILENCE", puis
commença à poindre
une musique "endiablée", elle augmenta
pendant un moment, puis
diminua jusqu'à s'éteindre complètement
avec ma diminution constante
de taux vibratoire. C'était une sorte
de musique d'intruments à vent,
ressemblant un peu à du jazz, ou à
un mélange de trompette et de
clarinette entre autres. On en entend de la comparable
à la radio
régulièrement.
J'arrivai bientôt dans mon corps et constatai
qu'il faisait
merveilleusement beau dehors avec ciel bleu sans
nuage et qu'il n'y avait
aucune trace d'incendie ni de bruit d'alarme.
Je ne bougeai pas, et repartie consciemment d'où
je venais, faisant le
chemin inverse et observant la même succesion
de changements
(inversés). Même le bruit d'alarme
revint. Mais là, je ne m'en
préoccupai plus!
Il faut dire, que la réintégration
du corps se fit accompagner par de
petits picottements et une certaine bouffée
de chaleur.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 26/12/1998 19h39 HNE (#23 of 23)
Jacques Fortier
MILITAIRE
J'étais asis sur le panneau arrière
d'un véhicule militaire qui se dirigeait
en sens opposé à mon regard quand
je devins conscient.
Nous étions sur un chemin de terre battue
qui faisait de la poussière et
longions un emsemble de petites colines qui m'empêchaient
de voir ce
qu'il y avait sur l'autre versant. Le chemin
était cahotteux et je n'étais
pas très à l'aise. Je ne savais
rien de la situation, sinon ce que je voyais.
Où allions nous? c'était un mystère
qui ne m'intéressait pas!
Las de cette promenade sans but, je profitai d'un
moment où le véhicule
commença à monter une petite butte
de terre pour laisser aller le
véhicule et commencer à voler près
du sol. Je n'arrivais pas à monter.
J'eus l'impression de revenir en arrière
dans
le temps et l'espace, à
l'endroit où j'étais quand je suis
devenu conscient de ce rêve. Je tournai
de 180 degré pour observer le décors.
Au loin un autre véhicule fonçais
vers moi sur un chemin parallèle et je
me sentais menacé et poursuivi.
Tout allait trop vite. Je savais que ce n'était
qu'un rêve, mais je ne
pouvais pas ne pas tenir compte de cette menace
et d'y réagir
normalement. Cela avait peut-être de l'importance
après tout. Il y a tant
de choses que j'ignore sur l'Au-delà!
Je jouai donc le jeu. Mais le véhicule
fini par disparaître dans le décors
suite à mes efforts pour voler vers une
colline où j'avais quitter mon
véhicule de transport, peu avant.
Tout était redevenu calme et j'en profiter
pour monter la pente. Je
manquais d'énergie et j'ai fini
par me réveiller.
Je ne bougeai pas, car je voulais savoir ce qui
m'attirais tant de l'autre
côté, puis je continai dans le même
décors, sur la même pente: à une
quinzaine de pieds seulement. J'eus d'abord à
faire face à une menace
vivante (un militaire je crois). Je m'en suis
défais par un grand effort qui
a failli m'éveiller.
Ensuite, me sentant très faible, pouvant
à peine bouger les jambes, je ne
volais plus. Je me hissais vers le sommet avec
les bras, mais je perdais
souvent la vision du décors, me retrouvant
constamment dans le noir. Je
ne voulais vraiment pas m'éveiller, aussi,
je visualisait la suite (le
souvenir que j'avais des détails de la
colline). J'y revenais!
Je finis par atteindre le sommet tant convoité!
Je perdis à nouveau
conscience, et y revins. C'était très
haut, disons 200 mètres d'altitude.
Dans la valée, il y avait des maisons
et d'autres types de bâtiments, de
grands terrains vacants aussi.
Je commençai à voler en me déplaçant
horizontalement. C'était
épeurant, car plus j'avançais et
plus le sol s'éloignait rapidement. J'avais
un peu le vertige des hauteurs. Mais mon effort
finit encore par me
jouer un tour. La Lumière s'estompa complètement,
puis je ne voyais
plus qu'un croissant de Lune et finis par m'éveiller.
(VOIR LA SUITE CI-APRÈS)
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 26/12/1998 20h23 HNE (#24 of 24)
Jacques Fortier
MILITAIRE (SUITE)
Je pense même que j'y voyais le Soleil et
la Lune dans le même décors
sombre pendant un moment.
Je voulais obstinément finir ce rêve
et je me rendormis. J'étais là à
environ 200 mètres dans les airs, là-même
où j'avais perdu la luminosité
un peu avant, suspendu à rien!
Le décors était revenu. Je ne voulais
plus surestimer mes forces, aussi
je visai une petite montagne isolée au
beau milieu de la valée, comme
une grosse roche recouverte d'humus verdoyant.
Il y avait une maison,
une petite ferme sur le dessus. Je voulais y
atterrir pour m'y reposer
avant de monter l'autre pente de cette vallée.
C'était vraiment là, sur ce versant,
que commençaient à apparaître une
multitude de maisons. En m'approchant du sommet
de la grosse butte
habitée, je me sentit assez fort pour
continuer sans escale, aussi c'est à
une dizaine de mètres au-dessus d'elle
que je passai. Puis je commençai
l'ascension de la nouvelle pente.
J'arrivai assez vite à ce qui me sembla
être un terrain de stationnement
et de repos pour les gens; sans rampe de protection.
Des gens s'y
promenaient et il faisait très beau, probablement
une belle journée d'été.
Je fis quelques pas sur ce pavée spéciale
en direction d'un immeuble
vitrée de partout. Cela m'impressionnait
grandement car je n'en avais
encore jamais vu (en Abitibi, à cette
époque en plus, c'était plutôt rare).
Je n'avais fait que deux mètres quand j'entendis
une voix féminine me
parler derrière moi. Je ne la voyais pas
(Mais je l'imaginais blonde et
belle), ne la connaissais pas et ne comprenais
pas qu'elle s'addressait
bel et bien à moi. Tout c'était
fait dans une suite harmonieuse de
mouvements dinamiques comme si tout avait été
préparé
minutieusement et que l'on répondait ponctuellement
aux événements
prévus.
Pour ma part je ne songeais même pas à
regarder derrière qui était là à
me parler comme si on se connaissais. Mais je
savais que j'étais en
dehors de mon corps et je pensais qu'elle était
là pour me dirriger
sachant mieux que moi ce qu'il en était
de tout cela. Nous allions droit vers
la façade de verre, sans doute pour y
pénétrer.
Mon expérience ce termina là!
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 29/12/1998 22h27 HNE (#25 of 25)
Jacques Fortier
PASSÉ OU FUTUR? (mécanonicien)
Je me sentais être dans des temps révolus,
bien que l'emplacement me
faisait penser à Québec. J'étais
à une trentaine de pieds dans les airs
vis-à-vis une rue qui pourrait être
le boulevard Charest dans la vieille
ville. Les édifices me dépassaient
de beaucoup en hauteur et il y avait
du va-et-vient un peu partout.
Je voyais une voiture qui servait de "taxi" à
des gens et les transportait
d'un lieu à un autre par la voie des airs
en survolant les édifices. J'avais
envie d'en faire autant par mes propres moyens
de lévitation et d'aller à
la station d'autobus en passant par-dessus les
pâtés de maisons. Mais
je n'en fis rien, comme si j'avais quelque chose
à observer.
Puis un taxi volant revint de sa course et se
posa prés d'où je me tenais.
Il resta en lévitation à un mètre
et demi du sol et fit descendre un
escalier de son centre pour permettre aux passagers
de descendre.
L'engin ressemblait à une plateforme d'un
mètre d'épaisseur sur laquelle
les passagers se tenaient debout durant le transport.
Un dôme
transparent recouvrait les passagers et
le "mécanonicien"-conducteur.
Les passagers descendirent les uns après
les autres jusqu'au dernier qui
lui se fit enserrer par l'escalier qui avait
commencé à remonter un peu
trop vite. Il s'agissait là d'un accident
causé par le mécanonicien.
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RÊVES CONSCIENTS
NIL - 29/12/1998 22h58 HNE (#26 of 26)
Jacques Fortier
PASSÉ OU FUTUR? (usine de pommes - accident - téléphone)
Je me sentais être dans les temps anciens,
au beau milieu d'une ville.
J'étais dans une usine où l'on
utilisait des pommes pour fabriquer
quelque chose!. Il y avait de nombreuses machines
en métal qui
m'étaient complètement étrangères.
Mais j'y travaillais avec d'autres personnes.
Je mettais des pommes en
grande quantité dans une sorte de trou
à entrée oblique, assez sombre.
Après un certains temps, J'eus l'impression
qu'une de mes bretelles, ou
ceinture, c'était pris à quelque
chose qui me tirait très fortement au
niveau de la taille vers le trou.
Je résistais de toutes mes forces, mais
je courbais de plus en plus "du
centre", le dos m'arquant vers l'avant. Puis
je perdis conscience.
L'instant suivant, j'était couché
dans une chambre d'hôpital où une
infirmière vint faire sa petite tournée.
Je ne ressentais aucune douleur
mais il y avait de bonnes raisons pour que j'y
reste encore un certain
temps.
Aussi, elle s'apprêta à m'accrocher
un fil sur le nerf du gros orteil. Puis,
elle me dit: "avec ça, vous pouvez téléphoner
à qui vous voulez juste en
pensant aux numéros".
Je trouvais ça inutile car je n'avait personne
à qui téléphoner. Mais je ne
lui dis pas.
Cependant, je restai très songeur sur cette
pratique, même après m'être
réveillé!
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