L’origine, l’identité, et le but de MJ-12
écrit
le 23 Mai 1989
révisé le 21 Novembre 1990
Les signes sont de plus en plus nombreux.
Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes,
rapidement.
Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre.
Les rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.
Pape Jean XXII, 1935
NDT :
Ce document est une traduction d’un des plus intéressants
chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain
Milton William Cooper et publié aux éditions
Light Tecnology aux U.S.A. :
Light Tecnology Publishing
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336
U.S.A.
Voici une présentation rapide de l’auteur,
compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son
livre, et
agrémentée des commentaires du
traducteur :
Milton William Cooper, tout comme son père,
a décidé de travailler dans l’armée. Après
avoir débuté dans l’armée de
l’air, William Cooper a continué sa carrière
dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été
affecté sur un pétrolier, et peu
après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été
affecté à un travail de côte aux
quartiers généraux du Commandeur
en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il
était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une
pour les
sous-marins. Il en a demandé une autre
pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a
obtenue. Il avait
alors accès aux données militaires
concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été
accordé une autorisation Q d’accès
aux documents Top Secret afin de travailler dans
l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là
qu’il a
appris les informations qui l’ont conduit à
une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre
dont ce
document représente un des chapitres les
plus importants. Il lui a été plus tard donné une
autre autorisation d’accès à
la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité
de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur
SPECAT. C’est le jour où il a appris que
le bureau des renseignements de la Marine avait participé à
l’assassinat de
J.F. Kennedy qu’il a décidé de
quitter l’armée définitivement.
Après avoir essayé de communiquer
les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat
de Kennedy, du
gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3,
du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été
attaqué par
deux hommes en limousine qui ont réussi
à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé
pour mort. Mais il a
réussi à grimper la colline et
a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été
accidenté par la même limousine, accident
dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes
de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant
que
si il continuait, ils le tueraient la prochaine
fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie.
Cela lui a
pris 16 ans. Il a démissionné de
l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme
responsable dans des
instituts de formation en photographie, après
avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un
magasine qui parlait d’un document découvert
par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés
du gouvernement à propos des OVNI, Mr
Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que
le document en
question était un faux désignant
une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine,
qu’elle servirait à
troubler le public, et sachant aussi que Moore
et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci,
d’assurer sa sécurité, il a rédigé
ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié
à de très
nombreuses personnes tout autour du monde, pour
la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était
sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus,
des agents
du gouvernement ont très souvent essayé
de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage
souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne
jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à
nous révéler
ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi.
Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît
au grand jour
peu à peu.
Aux U.S.A. , ces informations ont été
l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés
et d’articles dans
de nombreux journaux et revues. Ce phénomène
est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous.
Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus
à travers les films et téléfilm télévisés
de " fiction " qui nous
viennent des U.S.A. .
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Quelques précisions avant d’entamer le document
Illuminati :
Les illuminati constituent une société
secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède
depuis bien longtemps des
membres disséminés à travers
le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cette société
regroupe un ensemble de
personnes qui, à travers le monde et depuis
bien longtemps ont su et pu, grâce au soutien de quelques puissants,
accéder à des
postes importants, à partir desquels ils
recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes.
Le but de ces
gens est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial
à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale
et psychologique
des populations.
Conseil des Relations Etrangères (CFR en américain) :
C’est une organisation privée composée
d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient
les problèmes
globaux et jouent un rôle clef dans le
déroulement de la politique étrangère des USA. Le
CFR est un des groupes semi-officiels
les plus puissants qui s’occupent du rôle
de l’Amérique dans les affaires internationales.
Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle
par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés
secrètes des
universités de Harvard et de Yale : le
Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des associations dans
lesquelles sont admises
certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant
passé à cette fin certains rythes initiatiques et certains
cérémoniaux), qui sont
elles-mêmes des branches de l’ordre des
Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif
du CFR, après avoir été
admis dans une société secrète
du nom d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société
JASON (l’admission dans
des sociétés secrètes permet
aux Illuminati de s’assurer que leurs " recrues " sont en accord avec leurs
objectifs).
Le CFR contrôle le gouvernement des USA
car ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité
exécutif
car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati
ou de leurs objectifs) ont infiltré à travers les années
toute la branche exécutive
du gouvernement : le département d’état,
le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus
hauts gradés. Jusqu'à
présent, tous les directeurs de la CIA
ont été membres du CFR. La plupart des présidents
en ont été membres depuis
Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent
la grande presse et la plupart des grands journalistes américains
en sont membres.
Le CFR est une société secrète
au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une
quelconque information à
propos de ce qui se dit lors de ses meetings,
sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.
George Bush et Bill Clinton sont des membres
de la CFR, pour ne citer qu’eux.
Commision Trilatérale :
La commission trilatérale est un groupe
d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs
intellectuels les plus
influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique
du Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui
travaille à la
construction d’une coopération politique
et économique entre les trois parties du monde précédemment
citées. Son grand
dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps,
est le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été
créée en 1972 par le magnat de la banque américain
David Rockefeller. La raison de sa
création a été le déclin
passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à
vis de la guerre du Viet-Nam qui a
mécontenté beaucoup d’américains.
La raison de sa création est la même que celle qui pousserait
quelqu’un à faire courir 2
chevaux dans une même course : c’est de
doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours resté
solidement dans les
mains du CFR. La famille Rockefeller était,
est et restera toujours la bénéficiare de ces 2 organismes.
Groupe Bilderberg :
Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel
où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été
créé de manière à coordonner
et contrôler les efforts internationaux
des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant.
Ses membres
dirigent les cercles intérieurs de la
commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été
choisi lors d’un meeting du groupe
Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs
du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le
FMI,
l’OMS,...
__________VOCABULAIRE UTILISE POUR LA TRADUCTION___________
Extranéen :
Néologisme créé à partir du latin " extraneus " (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas à la culture humaine
Alienigène :
Néologisme créé à
partir du latin " alienigenus " (qui appartient à une autre race)
et désignant tout être dont l’origine et le développement
ne
correspond pas à ceux des races évolutionnaires
de l’humanité terrestre.
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Début du document :
Perspective
Plusieurs sources d’information ont été
utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout
d’abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il
a été pour la première fois rendu public au Symposium
du M.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada.
La plupart de ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats
de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai
vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe
de briefing des services de renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte
Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations
proviennent de sources que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes,
et
quelques autres de sources publiées desquelles
je ne peux répondre, ce document doit être formulé
comme une hypothèse. Je crois sincèrement
que si les aliénigènes sont réels,
ceci est un document décrivant la véritable nature des choses.
C’est le seul scénario qui a pu relier les
différents éléments. C’est
le seul scénario qui répond à toutes les questions
et replace les divers mystères les plus importants dans un contexte
qui leur donne un sens. C’est la seule explication
qui montre les chronologies des événements et démontre
que ces chronologies, lorsqu’elles
sont assemblées, s’emboîtent parfaitement
ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents
que j’ai vu dans la
Marine sont authentiques. Quant au reste du document,
je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit être formulé
en terme
hypothétique. La plupart des preuves disponibles
actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette hypothèse.
Le gouvernement secret
Au cours des années qui suivirent la Seconde
Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut confronté à
une série d'événements qui
allaient, au-delà de toute prévision,
changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité entière.
Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils
défiaient toute crédibilité.
Le président Truman et son cabinet furent si stupéfiés
qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire
face,
alors que le pays venait tout juste de traverser
la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.
Les Etats-Unis avaient gagné la course
à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point
et même utilisé la bombe atomique, cette nation
se retrouvait la seule au monde à posséder
une arme dont la puissance pouvait réduire à néant
tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était
une époque de grande prospérité
pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie
florissante leur offrait un enviable standing
de vie. Ils exerçaient une influence mondiale
et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus puissante
de l'Histoire. On peut donc
aisément imaginer la consternation et
l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut
informée de l'écrasement, dans le désert du
Nouveau Mexique, d'un astronef piloté
par des êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument
inconnue.
De janvier 1947 à décembre 1952,
pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus,
sans compter celui qui avait explosé dans les airs
et dont rien n'avait pu être récupéré.
On en retira 65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était
désintégré dans l'atmosphère, treize de
ces incidents se produisirent sur le territoire
américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au
Névada. L'un des trois autres
écrasements eut lieu en Norvège
et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint
impossible de compter sur les services
de renseignements existants pour effectuer une
enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir
les affabulation.
Un appareil fut découvert le 13 février
1948 sur une mésa près d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre
de 30 m de diamètre le 25 mars suivant
au terrain d’essai de White Sands. Au total,
17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l'élément
le plus intrigant fut la découverte, à
l'intérieur des deux astronefs, d'une
importante banque d'organes, de toute évidence prélevés
sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa
s'empara rapidement de tous ceux qui étaient
"dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur
dévoiler sa face monstrueuse.
Aussitôt, l'affaire fut classifiée
"plus qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté
fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne
s'était pas vu imposer un tel silence
pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer
par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire
de l'humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le projet
SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes de sciences les
plus éminents d'Amérique pour
étudier cette sordide affaire dans le
plus complet mystère. Il se métamorphosa et, en décembre
1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ].
Une branche de celui-ci fut bientôt créée
sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des
informations anodines et
surtout biaisées. Seize volumes allaient
sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer
les astronefs écrasés et en
récupérer les passagers, tant morts
que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT : Ruée ], celles-ci
devinrent les Equipes ALPHA.
Durant ces premières années, l'Armée
de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu
sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA
avait d'abord été créée
par décret présidentiel en tant que "Groupe central de renseignements"
pour s'occuper expressément du problème de la
présence extranéenne. Par la suite,
l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce
groupe au titre d'"Agence centrale de renseignements".
Le "Conseil de sécurité nationale"
fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement
ceux qui étaient rattachés à la
question extranéenne. Une série
d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra
peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et,
lentement mais sûrement, finit par "légaliser"
son action directe dans les affaires intérieures et extérieures
sous le couvert d'activités
quelconques.
Le 9 décembre 1947, à la demande
pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi
qu'à celle de Kennan, directeur du personnel
des politiques de planification au Département
d'État, le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant
la "coordination des mesures
d'information sur les services de renseignements
étrangers". A la page 49 du livre 1 du "Rapport final de la Commission
d'enquête sur les
opérations gouvernementales reliées
aux activités de renseignements " - Sénat américain,
94e conférence, 2e session, rapport No 94755, 26 avril
1976 - le service des renseignements étrangers
et militaires cite: "Cette directive a donné au secrétaire
d'Etat le pouvoir de coordonner les
activités de renseignements destinées
à combattre le communisme ".
NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC
4 - chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations
de couverture psychologique afin
de poursuivre les buts avancés par NSC
4, mais cette demande initiale ne définissait aucune procédure
formelle quant à la coordination ou à
l'approbation de ces opérations. L'annexe
ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait "entreprendre des actions
indirectes s'il s'assurait, en
liaison avec l'État et la Défense,
que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines.
"
NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés
sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture
encore plus étendues, ce
que prévoyait aussi la charte du Bureau
de coordination des politiques (OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à
valider des pratiques illégales et
des procédés en marge de la loi,
pour autant que les responsables de la sécurité nationale
en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre.
Aux yeux du personnel des renseignements, "tous
les coups étaient bons". NSC 10/1 permit la création d'un
comité exécutif de coordination
ayant pour fonction de réviser les propositions
des projets secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe
avait aussi pour tâche
secrète de coordonner les projets concernant
les aliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent
lieu à une interprétation
particulière du rôle des gouvernants.
Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient
n'être mis au courant de rien avant que les
opérations n'aient été accomplies
avec succès.
Une zone tampon s'installa donc entre le président
et l'information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable
état des choses, le
président serait donc automatiquement
couvert par sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à
l'abri de toute accusation. Mais, avec les
années, ce tampon servit à tenir
les présidents successifs dans l'ignorance la plus complète
au sujet de la présence extranéenne ou, tout au
moins, permit au gouvernement secret et aux agences
de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient bien leur
transmettre. NSC
10/2 établit un comité d'étude
formé de sommités scientifiques qui se réunissaient
en secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes
lignes de ses fonctions furent stipulées
dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres
secrets préparèrent la venue en scène de
MJ-12 quatre ans plus tard.
James Forrestal, le secrétaire à
la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret.
Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent
à pencher en faveur d'une diffusion publique
de l'information. James Forrestal était aussi l’un des premiers
kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé
du problème extranéen aux leaders
de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission.
Forrestal exprima à plusieurs personnes
ses craintes à cet égard ainsi
que son sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les
autres ne connaissaient pas ces faits. Aussi
interprétèrent-ils ses inquiétudes
comme de la paranoïa. On prétendit plus tard qu'il souffrait
de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre
médical de la Marine à Bethesda,
bien que l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité,
Forrestal avait été interné pour être isolé
et
discrédité parce que l'on craignait
qu'il n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à
sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949,
le
frère de Forrestal pris une décision
fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever
James de Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi,
tôt le matin du 22 mai 1949, des agents
de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage,
nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en
attachèrent l'autre bout au plafonnier
et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et
Forrestal plongea dans la mort, devenant l'une des
premières victimes de la conspiration
du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été
confisqués par la CIA et ont été conservés
à la
Maison Blanche durant plusieurs années.
Sous la pression du public, les carnets ont été finalement
réécrits et publiés dans une version
aseptisée. L’information des véritables
carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme
d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme
d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley
Strieber et le livre est Majestic.
Le passager qui a été trouvé
errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un
astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme
formé d'après la désignation
proposée par le professeur Vannevar Bush et signifiant "Entité
Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait tendance à
mentir ou à répondre à sa
guise. On l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât
s'abstenir plutôt que de donner une réponse
concluante. Il ne commença à s'ouvrir
qu'à partir de sa deuxième année de captivité.
L'information qu'il livra alors est pour le moins saisissante.
Celle-ci fut compilée dans ce qui est
devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre Jaune ]. Des photographies
d’E.B.E. ont été prises que,
parmi d’autres, j’ai vu des années plus
tard dans le projet Grudge.
Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel
médical fut impuissant à établir un diagnostic puisque,
d'une part, il ne possédait pas
d'antécédents sur lesquels se baser
pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait
les éléments nutritifs en énergie par
photosynthèse, à la manière
des plantes, à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les
déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés
pour étudier sa maladie, incluant des
professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On
fit appel à un botaniste, le professeur
Guillermo Mendoza, pour le soigner et l'aider
à se rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça vainement
de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952,
quand il mourut. Le professeur Mendoza devint
l'unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne.
Le film E.T. est l’histoire à
peine voilée d’E.B.E. .
Les Etats-Unis avaient désespérément
tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères
technologiquement supérieurs en
commençant, au début de 1952, à
émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux.
Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant
néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent
ce projet, nommé SIGMA.
Par un décret-loi secret du 4 novembre
1952, le président Truman créa la très secrète
Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour
objectif premier de décoder le langage
des aliénigènes en vue d'établir un dialogue avec
eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la
suite des précédents efforts. L'objectif
second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise
par n'importe quel appareil et
provenant de n'importe où sur terre, et
ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène,
et de préserver le secret de la
présence extranéenne. Le projet
Sigma fut fructueux.
La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications
avec la base LUNA et d'autres programmes spatiaux secrets. Par décret-loi,
la NSA
est au-dessus de toute loi qui ne spécifie
pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de la dite
loi. Cela signifie que, si le nom de cette
agence n'est pas écrit dans le texte de
l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas
concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit
beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la
situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA
se voit octroyer 75% des
sommes allouées à l'ensemble des
services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: "Où
va l'argent va le pouvoir". Le directeur de la
Centrale de renseignements, quant à lui,
n'est plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour berner
la population. La fonction
première de la NSA vise encore les communications
avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant accrue de
d'autres projets en liaison avec
eux.
Le président Truman avait tenu nos alliés
- y compris l'Union soviétique - au courant des développements
du problème extranéen. Il avait agi
ainsi de peur que les aliénigènes
ne se révèlent menaçants pour l'espèce humaine.
On avait même dressé des plans de défense unifiée
en cas
d'invasion planétaire, mais il s'avéra
difficile de garder un projet d'envergure internationale à l'abri
de la curiosité normale des journalistes à
l'égard des gouvernements. On jugea donc
nécessaire de confier à une section indépendante le
soin de coordonner et de contrôler les efforts
internationaux. Le résultat fut la création
d’une société secrète qui devint connue sous le nom
de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué
en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier
meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu
en 1954. Ses membres
ont été dès lors surnommés
les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à
Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en
un gouvernement mondial secret qui contrôle
maintenant absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours,
d'ailleurs - ne sont
qu'une farce monumentale à l'échelle
internationale.
En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau
président, un chef militaire entraîné au commandement
des hommes selon des structures
hiérarchiques. Habitué à
déléguer l'autorité, il préférait gouverner
en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision
majeure que
si ses conseillers étaient incapables
d'en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait
à envisager d'abord toutes les alternatives en
lisant tous les documents et en écoutant
tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question
en approuvant l'une ou l'autre des
multiples propositions. Ses proches collaborateurs
ont relaté que son mot d'ordre se résumait le plus souvent
à donner carte blanche dans des
termes qui revenaient à dire que "la fin
justifie les moyens". Il passait le plus clair de son temps sur les parcours
de golf, ce qui n'a rien d'inusité
pour un ex-officier de carrière qui s'était
élevé durant la dernière guerre au grade ultime de
Commandant suprême des forces alliées. Ce président
était le généralissime à
cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.
Au cours de l'année 1953 - sa première
en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques furent
signalés, dont quatre en Arizona, deux
au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane,
un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions-
Des
trente aliénigènes qui furent récupérés,
quatre étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer
au problème extranéen et arriver à le résoudre
seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est
pourquoi, au début de 1953, le nouveau
président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue
au Conseil des relations étrangères, et
lui confia la tâche d'ébaucher la
structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser
l'ensemble des intervenants reliés au
phénomène extranéen. C'est
ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre
corps un an plus tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson
Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant
à convaincre Eisenhower de
briguer les suffrages à la présidence
des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller,
avait très fortement soutenu
Ike. Eisenhower appartenait corps et âme
au Conseil des relations étrangères et à la famille
Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller
pour s'occuper de la question extranéenne,
Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une
erreur capitale pour l'avenir des
Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.
Moins d'une semaine après son élection,
Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité
consultatif présidentiel sur l'organisation
du gouvernement. Ce dernier était donc
responsable de planifier la réorganisation de l’administration,
chose dont il rêvait depuis des années.
Les programmes de réforme furent cumulés
en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le
nom de ministère de la Santé, de l'Education
et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction
fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se
vit assigner le poste de sous-secrétaire
d'Orveta Culp Hobby.
Ce fut au cours de cette même année
que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de
grande dimension se déplaçant en direction de
la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des
astéroïdes mais l'évidence s'imposa bientôt qu'il
ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les
radios du projet Sigma réussirent à
intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul
ne put décoder les intentions réelles
des équipages de ces immenses et nombreux
vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent
sur orbite géosynchrone à très haute
altitude autour de l'équateur. Toutefois,
les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet
Platon - lequel avait mission
d'établir des relations diplomatiques
avec les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système
de signaux basé sur le langage binaire des
ordinateurs et purent ainsi établir un
dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance d'une autre planète.
Leur atterrissage fut convenu
et donna lieu à une première rencontre
dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version
fictive d’événements qui eurent réellement
lieu. Un otage a été laissé
chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.
Entre-temps, des extranéens d'une autre
race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base
aérienne de Homestead en Floride et purent
communiquer fructueusement avec le gouvernement
américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de
la race en orbite autour de
l’équateur. Quant à eux, ils lui
avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement
spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du
gouvernement qu'il commençât par
démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé
tout marchandage technologique avec lui en
raison de l'immaturité morale dont nous
faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que
nous possédions déjà. Ces ouvertures de
conciliation furent rejetées sur les fondements
que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur
aussi incertain. D'un autre côté, leur
décision avait été d'autant
plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun
précédent historique.
Un troisième atterrissage eu lieu en 1954
à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards.
La base a été fermée pendant 3 jours et
personne n’était autorisé à
y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes
s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger
un traité dont les détails seraient
discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement
historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower
s'arrangea pour être en vacances au même
moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta
une visite chez le dentiste pour
esquiver les journalistes et se rendre en catimini
à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement
avaient pu voir trois O.V.N.I. voler
au-dessus de la base et atterrir. Les batteries
antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel
stupéfié a tiré sur les astronefs
qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement,
les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été
blessé.
Le président Eisenhower a donc rencontré
les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité
formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été
signé. Le premier ambassadeur aliénigène
à avoir jamais été reçu par notre Etat fut
présenté comme étant "Son Altesse toute-puissante
Krlll"
(prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne
pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles
à leur tradition anti-royaliste,
eurent tôt fait de lui substituer secrètement
un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais
et signifiant "le tout-premier otage Krlll",
car il était l’otage qui avait été
laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après
cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise
cardiaque.
Quatre autres personnes étaient également
présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux
Hearst, Edwin Nourse de l’institut
Brookings, Gerald Light, du célèbre
institut de recherche métaphysique, et l’évêque catholique
MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été
estimée comme un microcosme représentatif
de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur
réaction, il a été décidé que le
public ne devrait pas être mis au courant.
Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et
écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en
ces détails froids : " Mon cher ami : je reviens tout juste de
Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai
! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen du journal Hearst,
d’Edwin Nourse de l’institut
Brookings (ancien conseiller financier de Truman)
et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour
la présente, veuillez m’en
excuser). Quand nous avons été
autorisé à entrer dans la section à accès restreint
(après environ six heures pendant lesquelles nous avons été
vérifiés sous toutes les coutures
possibles à propos de tous les événements, incidents
et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le
sentiment précis que le monde touchait
à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais
jamais vu autant d’êtres humains dans un
état de confusion et d’effondrement aussi
total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait
vraiment pris fin avec une
telle irrévocabilité qu’elle en
était indescriptible. L’existence de formes aériennes " autre-avions
" est maintenant et pour toujours révoquée du
domaine de la spéculation et fait douloureusement
partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque
groupe politique.
Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu
cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée
et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air -
avec l’assistance et la permission des " Ethériens
" !
Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions.
C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire.
Le président Eisenhower,
comme vous pouvez déjà le savoir,
est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite
à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction
qu’il passera outre le terrible conflit entre
les différentes " autorités " et qu’il ira directement vers
le peuple grâce à la radio et à la télévision
- si
l’impasse continue plus longtemps. D’après
ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est
en cours de préparation pour être
délivrée vers la mi-mai ".
Nous savons qu’une telle déclaration n’a
jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence
a gagné la partie. Nous savons aussi que deux
vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons
aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit
étaient déjà en possession de la base
avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light
a mis le mot " Ethériens " entre guillemets pour attirer l’attention
sur le fait que ces êtres
pourraient avoir été perçus
comme des dieux par lui.
Il est bon de préciser que l'emblème
de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral.
C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux
et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages
et la seconde rencontre ont été filmés et que ces
films existent toujours.
Le président Eisenhower rencontra donc
personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut
signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs
nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune
des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En
échange de notre
engagement à préserver le secret
de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir
de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de
notre
science. Ils ne signeraient de traités
avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée,
ils pourraient enlever des êtres
humains pour des raisons de recherche médicale
et d'étude de notre développement, à la condition
expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun
préjudice et soient ramenés à
leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents.
De plus, selon un calendrier fixe, les
responsables extranéens devraient fournir
à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées
ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des deux races désignerait
un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation
aussi longtemps que le traité
serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord
pour procéder à des échanges culturels par le biais
de stages d'études. Ainsi, pendant que seize
"stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage
sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète
avant d'être relayés par un
nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une
reconstitution de cet événement a été adapté
dans le film rencontre du 3ème type, un " tuyau "
qui s’explique par le fait que le professeur
J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué
que le rapport Top Secret contenant
la version officielle de la vérité
à propos de la question extranéenne, intitulé projet
Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait
pour
coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le
professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant
un homme de la CIA attaché au projet Grudge
- le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé
plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme
membre scientifique du très public
projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme
responsable de l’abominable phrase : "C’était seulement du gaz des
marais ".
On accepta aussi de construire, à l'usage
des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient
à des recherches conjointes et à des
échanges de technologie. Ces bases extranéennes
seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins
de l'Utah, du Colorado, du
Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une autre
serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été
construite dans le désert
Mojave près ou dans un endroit appelé
Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat,
ou Yucca Proving Ground, mais
Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé
vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans
le désert Mojave de la
Californie que dans n’importe quel autre lieu
dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé
pour en faire des rapports.
Quiconque s’aventure dans le désert pour
parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité
et par le degré d’acceptation
démontré par ceux qui ont fini
par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont entièrement contrôlées
par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C'est
en effet la Marine qui émet la
solde de chaque membre du personnel assigné
à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques
ne font jamais référence au
gouvernement ou à la Marine. Les chantiers
ont immédiatement démarré mais n'ont progressé
qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides,
en 1957, viennent relancer les activités
conformément au projet YELLOW BOCK.
Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis
sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux
à bord d'astronefs.
Des installations ultra-secrètes furent
construites au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur
du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone
qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est
autorisé à y pénétrer, pas même le personnel,
sans un sauf-conduit "Q" de la Marine et un
laissez-passer approuvé par l’administration
(présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas
d'ironie si l'on songe que même le
président des Etats-Unis n'est pas autorisé
à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils
se déroulaient à la base extranéenne ayant
pour nom de code Dreamland, sous terre, dans
une portion souterraine dont le nom de code était "The Dark Side
of the Moon" [ NDT : La face
obscure de la Lune ]. Selon la documentation
que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident
finalement à plein temps dans ce lieu avec un
nombre inconnu de scientifiques et de personnel
de la CIA . En raison de la peur des implants, seulement certaines personnes
étaient autorisées
à avoir des relations avec les aliénigènes,
et ce personnel était et continue à être surveillé
et contrôlé continuellement.
L'armée fut chargée de former une
organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité
de tous les projets liés à la technologie extranéenne.
Cette section spéciale fut baptisée
l'Organisation de reconnaissance nationale. Etablies à Fort Carson
au Colorado, les équipes spécialement
entraînées à sécuriser
le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James " Bo
" Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons
que les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant
des ovnis Redlight, on créa un projet
parallèle, celui des avions à réaction
SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels
et exhibés à maintes reprises aux journalistes.
Le projet Snowbird avait également l'avantage
de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques
appareils extranéens
(O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui
sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]).
À cet égard, il s'avéra une véritable
réussite puisque les témoignages
de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces
toutes dernières années.
Un fond secret de plusieurs millions de dollars
fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison
blanche. Ce capital servit à la
construction de 75 installations profondément
enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à
quel usage étaient destinées ces mises de
fonds, on répondit qu'elles serviraient
à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire.
En fait, une très petite quantité
était conçue à leur intention.
Par contre, des millions de dollars étaient écoulés
vers Majesty douze qui les redistribuait à des entrepreneurs pour
l'excavation de bases ultra-secrètes,
tant extranéennes que militaires, et les installations de la "Solution
2" à travers la nation. Le président
Johnson se servit à même ce fond
pour faire ériger une salle de cinéma et paver la route de
son ranch, sans avoir la moindre idée de l'objectif réel
de ce trésor.
C'est le président Eisenhower qui obtint
du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant
qu'il fallait "aménager et entretenir des
abris secrets dans lesquels le président
pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée". Ces "refuges présidentiels
sécuritaires" consistent en de
véritables cavernes creusées à
une profondeur suffisante pour résister à une déflagration
nucléaire et sont équipées des appareils de
communications les plus avancés. Mais
la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations
qui sont aujourd'hui
disséminées sous le territoire
américain. D'autre part, la Commission de l'énergie atomique
a ordonné la construction d'au moins 22 autres abris.
Leur emplacement et toute question connexe sont
traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire
de la Maison blanche
administre à lui seul la totalité
des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts suivant
un réseau si complexe que même l'espion le
plus habile ou le comptable le plus compétent
ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance
ou en découvrir la
destination. En 1980, seuls les quelques individus
placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe
savaient à quel usage étaient consacrées ces
sommes. A la position de départ, il y
avait le représentant du Texas George Mahon, président du
Comité de crédit budgétaire et du sous-comité
de la Défense à la Chambre, ainsi
que le représentant de la Floride Robert Sikes, président
du sous-comité au Crédit de la construction militaire à
la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent
entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget
du Congrès et qu'on se
préparerait à le limoger par un
coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty
douze, le chef du Cabinet militaire et un
commandant au chantier naval de la Marine à
Washington.
Les fonds étaient libérés
par le Comité de crédit qui les allouait au ministère
de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la
subvention
du programme de construction militaire. L’armée
ne pouvait cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive,
elle ne savait même pas à
quoi il servait. C'est à la Marine, en
fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait
par le remettre à ses ingénieurs maritimes de la
division de Chesapeake, qui n'en connaissaient
pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait
pourtant le grade
d'amiral. Un seul homme connaissait la raison
d'être, le montant réel et la destination finale de ce fond
ultra-secret. C'était un commandant de la
Marine assigné à la division de
Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres
du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret
absolu qui entourait ce capital, un très
petit nombre d'individus en avait le contrôle. Il leur était
donc d'autant plus facile de faire disparaître
jusqu'à la moindre trace de son passage.
Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification
comptable et ne le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées
de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité
appartenant à la Garde côtière et appelée
Peanut Island. Or, cette "île aux Cacahuètes"
est précisément adjacente à un domaine qui appartenait
à Joseph Kennedy. Lors d'un
documentaire présenté à
la télévision il y a déjà quelque temps sur
l'assassinat de Kennedy, il avait été justement question
d'un certain officier
de la Garde côtière qui aurait remis
une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la
lisière des deux propriétés, à un employé
des Kennedy.
S'agirait-il d'une indemnité versée
aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces versements
ont continué sans interruption
jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils
auraient prétendument servi à des travaux d'embellissement
et d'aménagement paysager, mais le véritable
usage de cet argent demeure encore inconnu, tout
comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté.
Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction
d'Adjoint spécial pour la
stratégie psychologique. Sous Rockefeller,
ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie
de la guerre froide. Ce poste évolua
avec les années pour finalement comporter
les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence
de Nixon. Le rôle officiel de
Rockefeller consistait à "fournir conseil
et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus
grande coopération entre tous les
peuples". Cette description de tâche n'était
toutefois qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités
secrètes en tant que coordonnateur
présidentiel des services de renseignements.
Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à
lui. Il assistait aux réunions du
Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique
économique étrangère et siégeait au Conseil
de sécurité nationale, la plus haute instance
gouvernementale en matière d'élaboration
des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de
mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste
clé, celui de chef du Groupe
planificateur de la coordination. Cette unité
secrète se prévalait des services de personnes désignées
selon les différents besoins à l'ordre du
jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad
hoc comptait à l'origine un représentant du ministère
de la Défense, un autre du Département d'Etat et le
directeur de la Centrale de renseignements. Cette
unité fut bientôt appelée le "Comité 5412" ou
le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1 établit
une nouvelle règle concernant les opérations
clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements
avait pleine autorité sur leur
exécution. Dorénavant, ces opérations
seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi
secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret
NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad
hoc - qui allait être connu sous le nom
de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle consisterait à
superviser et à diriger les activités secrètes ayant
rapport à la question extranéenne.
Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner
la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty douze était composé par
Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements,
John Foster Dulles,
secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson,
secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford,
président du Comité interarmes des chefs d'état-major,
J.
Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau
fédéral d'investigation], six membres clés du comité
exécutif du Conseil des relations étrangères,
surnommés "les Mages"., six hommes du
comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward
Teller [NDT: " Père " de la bombe H et
directeur du laboratoire de Livermore, aux USA
(spécialisé dans l’étude des radiations)].
Le groupe JASON est un groupe scientifique secret
créé au moment du projet Manhattan et administré par
la Miltre Corporation. Le cœur du
Conseil de relations étrangères
recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient
sensés avoir passé l’initiation des "
Skull and Bones " et " Scroll and Key " du temps
où ils fréquentaient ces universités. Les " mages
" sont des membres clés du Conseil des
relations étrangères et sont aussi
membres d’un " Ordre secret de la Quête " connu sous le nom de société
JASON.
Majesty douze est composé de 19 membres.
La première règle de Majesty douze était qu’aucun
ordre ne pouvait être donné et qu’aucune
décision ne pouvait être prise sans
un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité
douze. Les ordres édictés par
Majesty douze sont devenus connus en tant que
directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des années,
d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du
Conseil des relations étrangères
et s'accrut plus tard de membres de la commission
trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et
Zbigniew Brzezinski. Au
nombre des "Mages" les plus important et les
plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman,
Charles Bohlen,
George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques
allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est
intéressant de noter que le
président Eisenhower de même que
les six premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient
aussi membres du Conseil des
relations étrangères. Ceci a donné
le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants
dans le gouvernement à un club
d’intérêt spécial qui était
lui-même contrôle par les Illuminati.
Des recherches approfondies permettront bientôt
de découvrir que tous les " mages " n’étaient pas à
Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient
pas choisis pour avoir été membre
du Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à
l’université. Vous pourrez effacer rapidement
ce mystère en obtenant le livre intitulé
The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster,
New York. Sous l’illustration #9
au centre du livre, vous trouverez la légende
: "Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur
la plage : son initiation au Skull and Bones
s’est faite sur une base aérienne près
de Dunkerke ". J’ai découvert que les membres étaient choisis
sur une base actuelle par invitation basée
sur le mérite postuniversitaire et n’étaient
pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une
liste complète des
membres du Skull and Bones ne pourra jamais être
obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust,
aussi connu
sous le nom de Confrérie de la mort, ou
du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été
impossible de répertorier les membres, que
ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la
réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des
relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent plus tard initiées
dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme
Société JASON. Ces
personnes sont membres du Conseil des relations
étrangères et à l’époque étaient connues
sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci
devrait vous donner une bonne idée de
la sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires
occultes. La Société Jason se
porte encore très bien de nos jours, mais
elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale.
Cette commission existait bien avant
d'être rendue publique en 1973. Le nom
de cette commission vient de l’insigne extranéen connu comme étant
l’insigne trilatéral. Majesty douze a
aussi survécu jusqu'à aujourd'hui.
Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort
le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe
spécial. Sous l'administration Johnson,
elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes
dont la dénomination 5412 avait
été la cible dans un livre intitulé
Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement été
mis au courant du décret NSC 5412/1, mais
cette fuite n'était qu'une habile manoeuvre
de diversion pour encore mieux dissimuler l'existence du décret
5410. Sous les gouvernements Nixon,
Ford et Carter, le comité porta le numéro
40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces
années, seule l'appellation de cette
section a changé.
Dès 1955, il devint évident que
les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower
et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre
découverte, à travers tout le territoire
américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais
aussi d'êtres humains. On se mit alors à
fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité
des listes que les aliénigènes s'étaient engagés
à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait
que tous les kidnappés n’étaient
pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir
engagé des relations avec les aliénigènes, et cela
s’est révélé
être vrai. Les aliénigènes
ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient
à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés
secrètes ainsi que par le truchement de
la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez
comprendre que ces déclarations
pourraient aussi être une manipulation.
En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de
nombreux combats aériens, mais elle dut
baisser pavillon devant la supériorité
des extranéennes.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2
établit un comité d'étude ayant pour tâche d'"explorer
tous les facteurs pouvant contribuer à
l'élaboration et à la réalisation
des politiques étrangères à l'ère nucléaire".
C’était seulement un nuage de fumée destiné à
couvrir le réel sujet
d’étude, la question extranéenne.
Par un autre décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué
en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce
groupe d'"examiner tous les faits, les évidences,
les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes
afin d'en dégager la vérité". Le
NSC 5412/2 n'était qu'une façade
devenue nécessaire pour dévier l'attention des journalistes
qui commençaient à s'enquérir du but de ces
réunions où se regroupaient tant
de personnalités politiques aussi importantes. Les premières
rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées
les rencontres Quantico car elles furent tenues
à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude
réunissait 35 membres du Conseil
des relations étrangères, tous
du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité
à y participer. Durant les dix huit premiers mois,
le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle
de président d'étude et fut remplacé par le professeur
Henry Kissinger, pendant une égale durée à
partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller y
fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.
Les membres du groupe d’étude
Gordon Dean, Président
Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude
Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude
Professeur Edward Teller Frank Altschul
Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong
Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr.
Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie
Frank C. Nash McGeorge Bundy
Paul H. Nitze William A. M. Burden
Charles P. Noyes John C. Campbell
Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter
James A. Perkins George S. Franklin, Jr.
Don K. Price I.I. Rabi
David Rockefeller Roswell L. Gilpatric
Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby
Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith
Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth
James T. Hill, Jr. Shields Warren
Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson
Mervin J. Kelly
Arnold Wolfers
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi
lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude
devint connu sous le nom
de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était
fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit
accessible uniquement par
avion, de sorte que Majesty douze et le comité
d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs
de la presse et du public. Ce pavillon
de campagne, de son nom de code "Country Club",
en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté
d'une bibliothèque, de salles de réunion et
d'installations récréatives (l’institut
Aspen n’est pas le " Country Club ").
Le groupe d'étude fut "publiquement" dissous
vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année suivante,
un compte rendu "officiel" des
sessions sous le titre "Armes nucléaires
et Politiques étrangères", édité par Harper
à New-York pour le compte du Conseil des relations
étrangères, en 1957. En vérité,
Kissinger en avait déjà rédigé 80% à
l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le
comité d'étude pouvait poursuivre
ses réunions en secret. Les commentaires
de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs
du caractère sérieux qu'il attachait à ces
rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la
maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit
tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne
répondait plus à personne, comme
s'il vivait dans un monde à part dont les autres étaient
inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours
des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes
et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement
pour qu'il manifestât subitement un tel
revirement d'attitude, autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais
plus affecté de cette manière durant
le reste de sa carrière, et ce peu importe
la gravité des événements auxquels il sera confronté.
Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée
de travail déjà bien remplie, de
prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement,
ce mode de vie le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du
comité fut de conclure à l'absolue nécessité
de ne pas mettre la population au courant de la présence
extranéenne, car le groupe estima qu'il
en résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie
autant que des structures religieuses, ainsi qu'un
déferlement de panique tel que la nation
risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver
le secret, et ce non
seulement à l'égard du public en
général mais aussi face au Congrès. On allait donc
devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement
pour subventionner les projets de recherche.
Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés,
d'une part, par le biais des crédits de
l’armée et, d'autre part, au moyen de
fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter
le problème avait été motivée par la découverte
effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres
humains et des animaux pour en extraire les sécrétions
glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient
probablement
pour des expériences génétiques.
Les aliénigènes expliquaient que ces actions étaient
nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur
structure génétique s’était
détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté
de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient incapables
d’améliorer
leur structure génétique, leur
race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications
ont été écoutées avec une suspicion extrême,
mais,
comme nos armes s'étaient montrées
inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins
préférable de continuer à entretenir des
relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs,
du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de taille
à leur imposer le
respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la
survie de l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes
nations, à commencer par l'URSS. Par
ailleurs, on avait déjà entrepris
un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire,
dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur
un pied d'égalité avec les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les projets
JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez
les Allemands et capable, à
cette époque, de faire éclater
un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km.
Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très
basse
fréquence et on présuma qu'il pourrait
se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes
à faisceaux. Excalibur, de son côté,
consistait en une ogive de une mégatonne
transportée par un missile téléguidé pouvant
s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre
une cible définie sans dévier de
plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et
dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau
Mexique, là où sont enfouies les
bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès
mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour
sa part, a été négligé
jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent
lui sont maintenant consacrés. On dirait au public
qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre
les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous savons que cela
n’est pas vrai car une
règle de guerre est qu’on n’essaie jamais
de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition
inconditionnelle, soit pour négocier
les traités. Ils sont aussi nécessaires
pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de
la population aux termes des traités
négociés ou édictés.
A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites
des aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part,
une minutieuse investigation fut ordonnée
à l'égard du secret qui entourait les événements
survenus au début du siècle à Fatima. Les
Etats-Unis ont utilisé leurs espions au
Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait
la prophétie. Cette prophétie affirmait
que, si l'humanité ne se détournait
pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ,
elle finirait par se détruire après avoir provoqué
les
événements apocalyptiques décrits
par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie
demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré
Cœur. La prophétie annonçait aussi
la naissance d'un enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée
d'une paix mondiale mais jetterait les
fondements d'une fausse religion. La plupart
des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme
et reconnaîtraient
bientôt dans sa personne l'identité
de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait
au Moyen-Orient avec l'invasion de l'Etat d'Israël par
une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait
d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement
un holocauste nucléaire.
Toute vie sur terre serait condamnée à
d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort.
La prophétie s'achève néanmoins
sur une note optimiste en annonçant le
retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux
aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité.
Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé
l'espèce humaine par croisements génétiques
et l'avoir manipulée par le biais de la religion, du satanisme,
de la sorcellerie, de la magie et du
spiritisme. Ils expliquèrent plus tard
qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements
auraient vraiment lieu si les
conditions [NDT: de la prophétie] n’étaient
pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne,
les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué
le voyage dans le temps, dans un projet appelé
RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer.
Les aliénigènes montrèrent un
hologramme censé représenter la
véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement
a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous
pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement
à nous manipuler à travers nos religions, alors même
que notre foi était authentique, ou bien
avaient-ils vraiment inventé nos religions
comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances?
D'autre
part,�serions-nous réellement sur
le point de vivre les événements de la fin des temps et du
retour du Christ qui sont annoncés dans
l'Evangile? Nul n'en avait la moindre idée.
En 1957 fut tenu un symposium réunissant
les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent
à la conclusion que, vers l'an
2000, en raison de l'accroissement de la population
et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète
ne pourrait éviter la destruction
sans une intervention divine ou extranéenne.
Le président Eisenhower émit un
décret-loi secret ordonnant à la Société Jason
d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations.
Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion
des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason
présenta
trois solutions alternatives appelées
solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la stratosphère en y
pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches
à travers lesquelles la chaleur et la
pollution pourraient s'échapper dans l'espace.
Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter
l'environnement et à davantage le protéger.
Des trois solutions, c'était la moins
susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes
de la nature humaine et, d'autre part, à
cause des dommages supplémentaires que
des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement.
L’existence d’un trou dans la couche
d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution
1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas
qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau
souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes
les cultures et de toutes les sphères
d'activités serait appelée à
survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait
laissée à elle-même à la surface du globe. Nous
savons que ces installations ont été construites et sont
prêtes et en attente des quelques personnes
à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire
et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter
la Terre et aller fonder des colonies
ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer
ou infirmer la possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT
: appelés marchandise] aient déjà
été expédiés, dans
le cadre de ce projet, en qualité de main-d'oeuvre. La destination
première est la Lune - de son nom de code Adam - et la
seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai
maintenant en ma possession des photographies officielles de la NASA de
l’une des bases
lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est
aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder l'exécution,
les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des
naissances - incluant la stérilisation - et
de propagation de microbes mortels en vue de
ralentir l'accroissement de la population. Le SIDA ne représente
qu'un des résultats de ce plan. Il
a été décidé par
l’élite que puisque la population devait être réduite
et contrôlée, il serait du plus grand intérêt
de la race humaine de se
débarrasser des éléments
indésirables de la société. Les cibles spécifiques
de population étaient les noirs, les hispaniques et les homosexuels.
Les gouvernements américain et soviétique
ont rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné
d'entreprendre la réalisation des
solutions 2 et 3 à peu près en
même temps.
En 1959, la société commerciale
Rand organisa un symposium sur les "constructions souterraines à
grande profondeur". Le prospectus
contenait des photographies et des descriptions
de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à
raison de 1,5 m par heure. Ces
immenses corridors conduisaient à de gigantesques
voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques
et
vraisemblablement des villes. De toute évidence,
l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès
significatifs depuis ses
débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs
moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes
consistait à accaparer le marché
noir des stupéfiants. Les anglais et les
français avaient établis un précédent historique
lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en
Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé
pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine
et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux
membre du Conseil des relations étrangères nommé George
Bush, qui était alors
président-directeur général
de la société pétrolière texane Zapata, laquelle
procédait à des expérimentations techniques en haute
mer. Or, les
plates-formes de forage pourraient très
bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer
le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la
contrebande à bord de chalutiers qui la
transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes
de forage. De là, il ne restait plus qu'à
l'acheminer vers le continent en empruntant la
navette de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison
n'est pas soumise à l'inspection
des douanes ni à la surveillance de la
garde côtière.
George Bush accepta de collaborer à l'opération
avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions
qu'il est ensuite devenu pratique
courante dans le monde entier, quoiqu'il existe
maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues
illégales dans un pays. Il
faudra donc toujours se souvenir de George Bush
comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants
à nos enfants. De nos
jours, la CIA contrôle mondialement le
marché noir de la drogue.
C'est le président Kennedy qui a lancé
le programme spatial "officiel" quand, dans son discours inaugural, il
a confié aux Etats-Unis le mandat
d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de
la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions,
ce mandat permit néanmoins aux
responsables de couler des sommes gigantesques
vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain
du véritable programme
spatial. L'Union soviétique élabora
un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité,
au moment même où Kennedy s'adressait à la
nation, les deux superpuissances, de concert
avec les aliénigènes, avaient déjà installé
une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur
Mars et confirma que l'environnement y était propice à la
vie. Il n'en fallait pas davantage pour
qu'on s'y rendît aussitôt fonder
une colonie. Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées
d'individus spécialement sélectionnés
pour leurs compétences particulières
et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique
et les Etats-Unis ont, durant toutes
ces années, affiché publiquement
des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour
avoir le loisir de financer des projets de ce
genre au nom de la Défense nationale,
puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le président
Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des
drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963,
il posa un ultimatum à Majesty douze,
leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même
de faire le ménage dans le marché
des stupéfiants. De plus, il informa Majesty
douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes
à toute la nation l'année suivante. Il
leur ordonna donc de préparer un plan
de divulgation conformément à cette décision. Or,
Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations
étrangères. Aussi ne savait-il
rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé
que JFK était un membre du Conseil des
relations étrangères, je n’ai pu
trouver aucune liste légitime où son nom est cité).
Au niveau international, les opérations secrètes étaient
gérées
par un comité de l’élite Bilderberg
connu sous le nom de "Comité des politiques". Aux Etats-Unis, ce
comité était supervisé par le comité
exécutif du Conseil des relations étrangères
et en U.R.S.S., par une organisation homologue.
La décision du président Kennedy
fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat
fut aussitôt décrété par le Comité des
politiques, puis l'ordre en fut transmis aux
agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy
a été assassiné par l’agent des services secrets
qui conduisait sa voiture dans le cortège
et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur
et non pas Kennedy
quand vous voyez le film. Tous les témoins
oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture
présidentielle ont très bien vu William
Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi
eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même
sort que Kennedy dans les deux
années qui suivirent son meurtre. Rien
d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait
abouti à aucun résultat concluant puisque la
majorité de ses sièges était
occupée par des membres du Conseil des relations étrangères.
Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le
peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps,
lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la
même fin tragique. A l’heure actuelle, plus
de 200 témoins matériels ou personnes
impliquées dans l’assassinat sont mortes. La probabilité
que toute ces personnes soient mortes au
hasard est si faible que personne n’a été
capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers
témoins soient morts dans les 2 ans
suivant l’assassinat a été calculée
à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez
commander une copie du film en envoyant
$30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper,
19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach, California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu une conversation
téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear
ce que j’avais vu dans la Marine concernant
l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les
documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible
dans un film pris dans le public.
J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait
Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé
aucune copie depuis. J’ai été
choqué et très plaisamment surpris
lorsque John m’a demandé : " Voudrais-tu le voir ? ". Moi ? Bien
sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors
John nous a invités, Annie et moi, à
venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez
John . Non seulement il m’a montré le film,
mais il m’en a donné une copie vidéo.
J’ai montré cette vidéo à chaque fois que j’ai parlé
à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas
revisité. John m’a dit qu’il l’avait obtenu
par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom.
J’ai plus tard découvert que l’auteur
de cette version du film Zapruder est Lars Hansson
. John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.
Peu après que Lear m’ai donné une
copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait
faire un saut chez moi à Fullerton en
Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et
lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en
avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il
m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à
propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu
parler. Mr Hansson m’a informé
qu’il avait copié ce document en vidéo
pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences.
J’ai plus tard découvert
que Bo Gritz vendait la bande à 10$ [
NDT : environ 50f ] la copie.
Lars vint chez moi, apporta les films sur bande
vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son
objectif principal était de me dire
qu’il voulait que je montre le film aux gens
mais qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque
manière que ce soit. J’ai
accepté de ne pas divulguer ma source
et je me suis tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors
de mes conférences. Quand j’ai découvert que Bo
Gritz la faisait circuler librement, j’ai cédé
à la pression du public et je l’ai aussi fait librement circuler.
Plus tard, j’ai lu dans un des journaux de Los
Angeles (dont j’ai oublié le nom), que Lars Hansson disait qu’il
ne savait pas que je possédais le
film et qu’il ne savait pas que je le diffusais
lors de mes conférences. Hansson disait dans cet article, qu’il
était présent à ma grande conférence
d’Hollywood, le 5 novembre 1989, et qu’il avait
essayé de contester mes propos lors de cette conférence,
au moment de la partie
question/réponse, mais qu’on ne lui avait
accordé aucun droit de parole. Nous avions enregistré l’événement
sur bande vidéo et à la fin j’ai
demandé aux gens ayant des questions ou
des commentaires d’aller vers le micro que nous avions placé dans
l’allée. J’ai bien examiné chaque
recoin de cet enregistrement et Lars Hansson
ne s’est jamais levé de son siège, ni même jamais redressé,
ni essayé d’une quelque autre manière
de se manifester.
Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé
de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans hésitation
et sans réserve aucune,
pendant qu’il narrait la bande vidéo,
" le conducteur de la voiture tourne avec son bras gauche au dessus de
son épaule et fait feu avec un
pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme
automatique plate recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa
main gauche. Il faisait feu
par dessus son épaule droite, vous le
voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière
vers le Président. Dans ce gros plan vous voyez
que l’impact le repousse violemment vers l’arrière
contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie par un
sentiment de terreur ".
Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson dit
: " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et
son bras, et l’arme qu’il tient au
bout, viser par dessus son épaule droite
". J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences
suivantes, j’ai montré l’enregistrement
sans bande audio. Il s’est avéré
que les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.
Il est important que vous compreniez bien ce qui
précède, car vers la fin de l’été 1990, après
que j’aie montré le film pendant plus d’un an et
demi, Lars Hansson a commencé à
se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur, n’avait
pas tiré sur le Président. Lars Hansson
s’est montré à ma conférence,
en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand
la conférence s’est terminée, il a abordé les
gens dans la foule et, de concert avec David
Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas vraiment
vu Greer tirer sur Kennedy. Pour
leur déconfiture, la plupart des gens
dirent à Hansson et Lifton " d’aller se faire voir ailleurs ". Une
fois que les gens l’on vu de leurs propres
yeux, ils ne peuvent plus être dupés.
Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement secret n’en
ont plus pour longtemps. Les
américains ont compris l’arnaque. J’ai
des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à
ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en
colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé
que sa source pour le film était un agent de la CIA qui s’était
révélé être plus tard, Lars Hansson.
Hansson a plus tard clamé que j’avais violé
son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson lui-même avait
violé le copyright de quelqu’un
en faisant cette vidéo et en la donnant
à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai toujours aucune considération
à propos du copyright de CE film en
particulier. Si je l’avais fait, personne ne
saurait jamais qui a réellement tué notre président.
Bo Gritz a déclaré à la radio,
qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué
Lear ou Gritz, qui montrent toujours la bande,
et Gritz continue à la faire circuler.
Je me demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent
ensemble ?
Robert Grodin est alors entré en scène.
Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il
a proclamé avoir une copie du film Zapruder
montrant que Greer n’avait jamais enlevé
ses mains du volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement
secret dont le travail est
de noyer le public dans la confusion et de perpétuer
le nuage de brouillard.
J’ai appelé Bob Grodin et accepté
son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en
public au collège de Beverly Hills et de projeter son film. Il
projetterait son film et l’audience déciderait.
Il a refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais
que l’audience le huerait. Grodin sait que Greer
a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie
du système de couverture de la vérité.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui prétend
être le premier expert indépendant en interprétation
photographique. Bob Grodin n’a AUCUNE
éducation photographique quelle qu’elle
soit. Il n’a jamais travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a
jamais, de sa vie, été un interpréteur
photographique. Il a menti au public à
propos de ses références pendant toutes ces années
et personne ne les a même jamais vérifiées, même
le
congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous
vraiment que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui a
été engagé par le comité sur les assassinats
de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a
menti de manière flagrante au comité
et lui a dit que le conducteur, William Greer, n’a jamais enlevé
ses mains du volant. Son métier est d’écrire
des livres et de vous plonger dans la confusion.
Son métier est de maintenir la position selon laquelle le gouvernement
a menti et qu’il y avait
une conspiration. Son métier est aussi
de vous empêcher de connaître la vérité à
propos de CELUI QUI a tué le président. Vous ne pouvez pas
accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez
foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre gouvernement
si vous apprenez
que Greer a tué Kennedy sur les ordres
des Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le gouvernement
constitutionnel légal. Saviez-vous que
l’homme qui était responsable du service
secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable
de la sécurité de la famille
Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien,
maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin est
un ami de Leslie Watkins, et
c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise
comme pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous
que lorsque Ricky
White a fait son apparition dans les débats
radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait
tué Kennedy, Bob Grodin
l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque
fois qu’un auditeur appelait Ricky White pour lui poser une question, c’est
Grodin qui répondait à sa
place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une
coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué Kennedy.
Pendant des années, j’ai parlé aux
gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs
de Dallas et du rapport
d’autopsie fait à l’hôpital de la
Marine de Bethesda. J’ai montré que les blessures avaient été
falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que
le corps avait été enlevé
de son cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé
hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il
était
arrivé à l’hôpital de la
marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil officiel
vide. J’ai constaté que le cerveau du
président avait disparu et j’ai expliqué
pourquoi il avait disparu.
Très soudainement, David Lifton fit son
apparition à la radio et à la télévision en
1990, en disant au monde qu’il avait de NOUVELLES preuves
qu’il avait découverte lui-même.
Sa nouvelle preuve était exactement dans les moindres détails,
ce que j’avais dit aux gens pendant des années.
C’était la même information que
celle que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était
venu à ma conférence au collège de Beverly Hills.
Après avoir fait un scandale au bureau
d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé
quiconque s’aventurerait dans le couloir, et
avec Lars Hansson, a essayé de convaincre
les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes
légitimes n’auraient jamais
agit d’une manière aussi disgracieuse
et discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public après
avoir vu le meurtre du président Kennedy
de ses propres yeux, a sérieusement endommagé
la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson en révèle
le degré de
détérioration. Le public peut maintenant
voir sans l’ombre d’un doute que soit ils font partie de la couverture
ou bien qu’ils sont des chercheurs
totalement incompétents, et dans le cas
de Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci, le TV magazine " Hard
copy " m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai montré
le film et ils ont été choqués et
passionnés et en voulaient l’exclusivité.
Je le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que
cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut
convenue pour la diffusion à l’écran,
mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif
de NBC a appelé les studios de " Hard
copy " de Los Angeles et leur a dit de ne pas
diffuser le film. J’ai essayé de trouver le nom de cet attaché,
mais je n’y suis pas arrivé. C’était la
fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé
de porter mon histoire à l’écran et le film sur Kennedy ne
travaille plus chez " Hard copy ". Son
nom est Bubs Hopper.
Un autre producteur (dont je ne me souviens plus
le nom) de " inside Edition ", un autre TV magazine, m’a contacté,
me disant que les
américains avaient besoin de voir le film.
J’ai accepté d’aller au show mais je lui ai répété
la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela
soit jamais porté à l’écran.
Une semaine plus tard, j’écoutais David Lifton à un show
parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé et lui a
demandé si
il savait qui j’étais et David Lifton
a répondu : " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour
Mr Cooper. Nous allons le démasquer pour de
bon dans un show d’une télévision
nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne
".
J’ai fait appeler le producteur par quelqu’un
pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon nom.
J’ai demandé à travers cet
intermédiaire à n’apparaître
que si je pouvais avoir un contrôle éditorial, pour m’assurer
qu’il ne ferait pas un montage de morceaux pour
ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai
alors su que son intention avait été dès le début
de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé,
Lars
Hansson a été convié comme
remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait attaqué,
et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur Kennedy
! La raison en devenait évidente, puisqu’ils
ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin
a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film.
Ils avaient eu l’intention de me hacher menu,
mais lorsque j’ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film
qu’avec Hansson à ma place. Cela
avait tout à fait l’apparence d’une opération
de service de renseignement. Cela n’a pas marché.
J’ai découvert l’étape suivante
lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin)
diffuser une vidéo de sa soi-disante excellente copie du
film Zapruder surexposé pour mettre les
détails en lumière. La surexposition mettrait complètement
en évidence le bras et l’arme de Greer, qui
seraient tous deux en plein soleil, ce qui aurait
pour effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les
gens ne sont pas aussi stupides
que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai
avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face d’une audience
directe et que rien n’est
passé au montage. J’ai vu ce qu’un monteur
de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire et faire ce
qu’il n’a jamais dit ni fait.
Au début de l'ère spatiale et à
l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités
étaient toujours escortés d'un astronef extranéen.
Le 20
Novembre 1990, la chaîne de télévision
n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge
rayonnante et séparé de la navette spatiale
Atlantis accompagnait cette dernière le
long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était
le première reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et
même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs photographies
officielles par la NASA
nous révèlent des structures en
forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui
ressemblent à des silos, de même que
d'immenses véhicules miniers en forme
de T qui traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables
aux cicatrices que des points de
suture laissent sur la peau. On y voit aussi
divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup
plus petits. Il s'agit de
cette base américano-soviéto-aliénigène
dont nous avons parlé. Le programme spatial n'est donc qu'une blague
excessivement coûteuse, et la
solution 3 n'est pas de la science-fiction.
Les astronautes des missions Apollo l'ont appris
à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé
n'a pas été sans affecter leur vie, comme
en témoigne leur comportement par la suite,
sans compter qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité
de la conspiration du silence quand on leur
ordonna de taire ce qu'ils avaient vu, sans quoi
ils s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des
astronautes osa tout de même collaborer
avec les producteurs britanniques de chez TV
expos de l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs de leurs
allégations lors d’un
documentaire non fictif diffusé dans un
programme intitulé " Rapport scientifique ".
Les auteurs du livre intitulé Solution
003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un pseudonyme,
celui de "Bob Grodin" (le
véritable Bob Grodin est un ami de Leslie
Watkins et fait partie de la couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils
relatent aussi que cet
astronaute se serait suicidé en 1978.
Or, je n'ai trouvé aucune source pour confirmer cette information.
Je suis porté à croire que certains faits de
ce livre sont de la véritable désinformation
, suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher
l'impact qu'aurait pu susciter dans
la population l'émission britannique.
Les quartiers généraux de la conspiration internationale,
sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est
constitué de 3 comités constitués
de 13 membres chacun, et les 3 comités ensembles réunissent
donc un total de 39 membres du comité exécutif
du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg.
Le plus important et puissant des 3 comités est le comité
des politiques. (Il est des plus
intéressants de remarquer que les Etats-Unis
avaient originellement 13 colonies et que 39 délégués
de ces colonies ont signé la constitution
après qu’elle ait été écrite
et adoptée lors de la première convention constitutionnelle.
Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les rencontres
du comité des politiques ont lieu dans
un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin
soviétique et un sous-marin
américain se rejoignent par un sas et
la rencontre se déroule. Le secret est tel que c’était le
seul moyen qui pourrait permettre à ces rencontres
de ne pas être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et
selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%.
Je pense que cette désinformation était un
essai pour discréditer la télévision
britannique TV expos avec de l’information qui pourrait être prouvée
comme étant fausse, tout comme on
l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower
avait émis tout un "document de directives" pour mousser le plan
d'urgence MAJESTIC-12, alors
que celui-ci n'était en définitive
qu'un simulacre pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose
pouvait être prouvée comme étant fausse.
Depuis que nous avons commencé à
pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis
une technologie qui va bien au-delà de nos rêves
les plus fous. Nous possédons et faisons
voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés
à l’énergie nucléaire. Nos
pilotes ont déjà fait des voyages
interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune,
Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de
la vraie nature de la Lune, des planètes
Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous
possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où
se développe une vie végétale. Les plantes y changent
de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des
saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente
pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement
[NDT: c’est le
mouvement de précession de la Lune, qui
la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant
un peu plus des bords de sa face visible]. Il
y a aussi des lacs artificiels ainsi que des
étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés
et filmés dans son atmosphère. La pression
atmosphérique lunaire étant beaucoup
plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon
une technique de
dépressurisation analogue à celle
des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante
pour qu'il ne leur soit pas nécessaire
de revêtir une combinaison spatiale. Grâce
au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa
surface, munis simplement d'une
bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.
J'ai personnellement des photographies officielles
de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le
livre de Fred Steckling intitulé We
discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone
Else is on the Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques
et les
américains sur la base lunaire. Les soviétiques
ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les
scientifiques américains et le
personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre
après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu
leur programme pendant une
période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation
et nous avons recommencé à agir ensemble.
Aujourd’hui l’alliance continue. Le scénario
de confrontation dans la base souterraine de la mésa Archuleta est
une pure désinformation
élaborée pour rendre la situation
encore plus confuse. Je savais qu’une confrontation avait eu lieu mais
je ne m’en rappelais plus les détails.
John Lear avait fini par me convaincre que les
aliénigènes et les forces delta s’étaient battus à
la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial
doit avoir un ennemi provenant d’outre-espace).
Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer
ma mémoire et les véritables
faits ont émergé. A ma connaissance,
la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes
et humain a été provoqué par les militaires américains
lorsqu’ils ont ordonné que l’on tire sur
les O.V.N.I pour capturer leur technologie.
John Lear dit aussi que nous avons inventé
le SIDA pour tuer les aliénigènes " suceurs de sang " et
que nous ne sommes que des containers
pour âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement
une prise de position pour la théorie selon laquelle " les aliénigènes
n’existent pas ".
Quand le scandale du Watergate éclata,
le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans accusation,
car il ne s'estimait coupable d'aucune
malversation. Or, tel n'était pas le cas
de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement, on conjectura avec
raison que, s'il devait y avoir
procès, les enquêteurs commenceraient
par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par en étaler
les terribles secrets sur la place
publique. Ils ordonnèrent donc à
Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup
d'Etat à jamais avoir été mené par des
militaires américains contre leur propre
président. L'état major de la Défense nationale émit
un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs
des Forces armées américaines dans
le monde entier, disant ceci: "Dès réception du présent
message, vous ne devrez plus exécuter aucun ordre
émanant de la Maison blanche. Veuillez
accuser réception.". Ce message a été transmis 5 bons
jours avant que Nixon ne cède et n’annonce
publiquement sa résignation.
J'ai moi-même tenu en main ce message et,
quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait faire,
sachant très bien que cet ordre violait
la Constitution, il m'a répondu laconiquement:
" Je pense bien que le mieux à faire est d'attendre de voir si la
Maison blanche émettra des ordres,
auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun communiqué
de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en
ait pas envoyé. J’en
ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes
ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer
qu’ils avaient vu exactement le même ordre. Ces
gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine,
David Race, ex de l’armée de l’air ; et Donald Campbell, ex de la
Marine. La transcription d’une
conversation téléphonique entre
l’auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de
ce livret et les déclarations signées des autres aussi.
On dirait que, durant toutes les années
où ces événements ont eu lieu, le Congrès et
la nation américaine savaient d'instinct que quelque chose
ne tournait pas rond dans les affaires de l'Etat.
Aussi, quand le scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a
emboîté le pas au
mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer
à l'égard des agences de renseignement. Le président
Ford commanda une commission à
Rockefeller pour faire enquête sur les
activités des agences de renseignements. Voilà, du moins,
ce à quoi les gens s'attendaient . Son but
véritable était de barrer la route
au congrès et de garder les activités bien cachées.
Le président de cette commission était ce même Nelson
Rockefeller, membre du Conseil des relations
étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir
les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua juste
assez d'éléments pour garder la
meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès
en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi
ces derniers, et les conjurés en sortirent
intacts comme ils l'avaient toujours fait.
Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church
de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui
aussi membre éminent du Conseil des
relations étrangères, il ne fit
que poursuivre la tactique de Rockefeller au profit de la conspiration.
Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a
émergé, on crut bien, cette fois,
que le chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la
poussière. En dépit des montagnes de
documents qui dénonçaient le trafic
des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les conspirateurs
réussirent à se faufiler allègrement.
Comme mentionné auparavant, un des faits
les plus sérieux qui ont été découverts, est
que le Nord préparait un plan pour suspendre la
constitution des U.S.A. . Quand le sénateur
au congrès Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la situation,
il a été ordonné au silence par le
président du Comité. Se pourrait-il
que le congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire
? Sont-ils de ceux qui sont sélectionnés
pour aller dans la colonie sur Mars quand la
Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se détruire
?
La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères
contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce
qu'on peut imaginer. Ils ont
érigé leur empire à même
les cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils
ont accumulé une fortune démesurée à partir
de leurs
activités illicites, et ils profitent
maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements
dans d'immenses réseaux de sociétés de
gestion et d'institutions bancaires. Je ne les
connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention
sur l’entreprise bancaire J.
Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust,
la Schroders Ltd. (à Londres), la société de gestion
Helbert Wagg Ltd., la J. Henry Schroder
Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et
compagnie (en Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la
banque Castle et ses
compagnies de gestion, la banque de développement
Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires
de
Nugan Hand.
Un plan d'urgence a été élaboré
par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui
tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui
porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première
opération consista à mandater Moore, Shandera et Friedman
de divulguer le soi-disant
authentique "document de directives" d'Eisenhower!
Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières bavures
dont il est rempli ne font
que nous le confirmer. Par exemple, le décret
présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro
092447. Or, ce numéro n'est pas près de figurer
sur la véritable liste puisque tous les
décrets de l’administration sont numérotés à
la suite, sans égard aux divers présidents qui les
promulguent. Ainsi, les décrets signés
par Truman figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower
dans la 10 000, par Ford dans la
11 000 et, quant à Reagan, il n'a guère
dépassé le numéro 12 000. Depuis des années,
ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les
orientant sur de fausses pistes et à leur
faire dépenser temps et argent à prendre des vessies pour
des lanternes.
Le Fond de recherche en ovniologie basé
à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce
que je crois être une fraude criminelle
en relation avec le document de directives d’Eisenhower,
Stanton Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et
Friedman.
Maccabee a sollicité des finances de la
part du public, en promettant de les utiliser pour enquêter sur les
déclarations de Moore, Shandera et
Friedman et prouver que le " document de directive
" d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les
16000$ récoltés en entier à
Stanton Friedman et lui a confié à
LUI la tache de confirmer ou d’infirmer ses propres dires. Quel travail
difficile ! La communauté ovniologique a
senti l’arnaque et attendu les découvertes
de Stanton Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé
que ces documents étaient
authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient
qu’il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$
pour enquêter lui-même. C’est en dehors de
toute éthique. C’est là un clair
conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a
été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été
mis en jeu.
Ceux qui ont donné leur argent en toute
bonne foi devraient immédiatement engager des poursuites contre
Stanton Friedman, Bruce Maccabee,
et le financement pour la recherche O.V.N.I.
. Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$.
Plusieurs centaines d’heures ont été
gaspillées à poursuivre un fantôme.
Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à
vous illusionner, vous feriez mieux d’y
repenser.
Un autre plan d'urgence est actuellement en cours,
et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare, en effet,
à une éventuelle confrontation
avec les aliénigènes. Cela pourrait
aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence d’une race extranéenne
qui n’existe pas. On vous
bombarde de livres, de films, d'émissions
qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de
leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison
pour laquelle ils sont ici. Observez bien et
vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y
prépare peu à peu, de façon à
éviter que vous ne soyez pris de panique
lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour.
Le nombre sans précédent
d’observations d’O.V.N.I. à travers le
monde indique que cette révélation publique n’est pas trop
loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant
d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais
dans l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose.
La population fait aussi
l'objet de nombreuses autres manigances, beaucoup
plus scandaleuses, dont celle qui consiste, depuis des années, à
importer des stupéfiants
pour les lui revendre au prix fort, et ce, surtout
aux citoyens qui n'en ont pas les moyens. Les programmes d'aide sociale
ont été mis en place
pour que, dans un premier temps, le désoeuvrement
crée chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance
vis-à-vis de l'Etat. Puis,
dans un second temps, les allocations leur sont
peu à peu retirées de façon à donner naissance
à une classe criminelle, qui n'existait pas comme
telle dans les années 50 et au début
des années 60.
Ce plan d'urgence encourage la fabrication et
l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit portée
à s'en servir, et tout cela dans
le but de provoquer un sentiment d'insécurité
tel que les américains appuient volontiers les projets de loi qui
s'opposent au port d'arme à feu.
Des spécialistes de la CIA ont recours
à un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils
administrent des stupéfiants à un sujet affecté de
troubles mentaux, puis lui suggèrent,
sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une
cour d'école bondée
d'étudiants. Ce plan contribue à
faire avancer la cause des adversaires du port d'arme, laquelle, au demeurant,
enregistre actuellement certains
progrès. Ce plan est en très bon
chemin et jusque là a parfaitement fonctionné. La classe
moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd
amendement [NDT: c’est, aux U.S.A. , le droit
qu’a chaque citoyen de posséder une arme].
Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que
ces événements avaient effectivement eu lieu dans tout le
pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai
enquêté - l’incident à l’école
pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au Canada, le Stockto,
en Californie, où eu lieu un
massacre, et le meurtre du Rabbi Meir Kahane
- les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés
ou étaient actuellement des
patients mentalement dérangés qui
étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament,
lorsqu’il est pris à
certaines doses, accroît le taux de sérotonine
du patient, engendrant une violence extrême. Couplez avec cela une
suggestion posthypnotique
ou un contrôle à travers un implant
électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou une intrusion
E.L.F. et vous obtenez un meurtre de
masse, se terminant à chaque fois par
le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et vérifiez
si ils n’ont pas d’implants dans le
cerveau. Je pense que vous allez être surpris.
A chaque fois, il a nous été refusé de connaître
le nom du médecin du meurtrier ou de son
centre de traitement psychiatrique. Je crois
que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles
de service de
renseignements et/ou des connections avec des
expériences connues de programmes d’expérimentation de contrôle
de l’esprit de la CIA ,
lorsque nous découvrirons à la
fin qui sont vraiment ces docteurs de la mort.
Ces gens vont prétexter de la vague de
criminalité qui déferle sur le continent pour convaincre
la population que l'anarchie règne dans les
grandes villes. Ils nous harcèlent à
ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux et le soir
à la télévision. Lorsque l'opinion
publique sera complètement gagnée
à cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste,
armé d'un dispositif nucléaire, s'est infiltré au
pays
avec l'intention de faire sauter l'une de ces
villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient).
Le gouvernement,
envers et contre la Constitution, en profitera
alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de tous les dissidents,
autrement dit les gêneurs,
ainsi que de tous les individus à qui
les aliénigènes ont déjà greffé un implant.
Ces personnes seront ensuite internées dans des camps de
concentration qui existent déjà,
lesquels occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés.
Qui sait si ces opprimés ne constituent pas le
corps des réservistes [NDT: marchandise]
que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?
Après avoir saisi les médias d'information
et les banques de données informatiques, les gouvernants les nationaliseront,
et toute personne qui
tentera de leur résister sera séquestrée
ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé,
en 1984, à des manoeuvres de répétition
enregistrées sous le nom de code REX-84,
et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce
ne sera pas un exercice, et le
gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes,
prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à
renoncer à vos droits et libertés et
préparez-vous à vivre dans la servitude
pendant le reste de vos jours. Si ce n'est pas ce que vous souhaitez, il
est grandement temps de vous
réveiller et de réagir.
Entre 1970 et 1973, il m'a été donné
de voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la CIA.
En tant qu'expert en aéronautique, il
avait pour fonction, entre autres, de déboulonner
tout ce qui se rapportait au phénomène ovni. Il agissait
à titre de personne-ressource auprès
des chefs militaires, qui avaient reçu
la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser
ses techniques de dénigrement dans les cas où la
presse et le public les interrogeraient sur le
bien-fondé des phénomènes rapportés par des
contactés ou des témoins oculaires. Plusieurs
personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent
et font grandement attention à ce qu’il fait. Il est invité
pour parler événements
ovniologiques et est cité dans les journaux,
les livres et les revues comme étant l’expert de " ce qui s’est
réellement passé ".
Philip Klass n’agit pas au mieux de nos intérêts.
Ses dénigrements et explications des observations d’O.V.N.I. sont
si parsemés de trous qu’un
enfant de 6 ans serait capable de discerner son
véritable but. J’ai vu des personnes énormément induites
en erreur, rechercher un autographe de
Klass, acte semblable en magnificence à
celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone.
J’ai découvert que dans
plusieurs circonstances les gouvernants secrets
avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que " des gens qui n’utiliseraient
pas leur
intelligence ne seraient pas meilleurs que des
animaux qui n’ont pas d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes
de somme ou des
beefsteack par choix et par consentement " (citation
de " armes silencieuses pour des guerres sans bruit "). Nous obtenons,
dans certaines
circonstances, exactement ce que nous méritons.
William Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman,
(sciemment, en toute connaissance de cause et avec consentement), oeuvrent
tous trois
pour le compte du gouvernement secret. William
Moore a été vu utilisant une carte d’identité du service
d’investigation pour la défense et de sa
propre confession à Lee Graham, il a confirmé
être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné
chez moi, et quand je le lui ai
demandé, m’a confirmé que Moore
lui avait vraiment montré une carte d’identité du Service
d’investigation pour la défense). Une confession
ultérieure de Moore le prouve à
nouveau sans aucun doute.
Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la
nuit précédent celle où j’ai présenté
ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas,
William Moore a admis qu’il était un agent
du gouvernement, qu’il avait livré de la désinformation aux
chercheurs, qu’il avait falsifié des
documents, qu’il avait espionné les chercheurs
et rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à
la communauté des agences de
renseignement, qu’il avait pris part à
une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui s’était
conclue par l’internement de ce
dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il
avait fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître,
soit un des plus
grands manipulateurs au cœur de pierre.
Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues
" estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs correspondances,
leurs
revues, et leurs livres. Ceci reflète
un certain degré d’ignorance et de stupidité dans la communauté
O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre
au Caveat Emptor, citant des articles de la publication
de William Moore, Focus, comme preuve que je suis discrédité.
Tout cela n’est que rêve.
Il n’y a aucun mystère pour moi à
la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues
des imbéciles et des foldingues :
c’est que dans certains cas ils le sont.
Jaimie Shandera est l’homme responsable de la
perte de mon emploi de Directeur exécutif du Collège Technique
National. Peu après que mon
poste ait été publiquement connu,
Shandera est arrivé au Collège, portant un complet marron
et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de
la réceptionniste pour l’aider. Elle m’a
informée qu’un homme avait traversé le collège et
semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe.
J’ai trouvé Mr Shandera scrutant de son
regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si
je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a dit
non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué
que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé
à nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à
nouveau répondu non, mais m’a jeté
des regards noirs et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement
nerveux et a immédiatement quitté
le bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à
la porte à l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris
une photo de moi avec un appareil de 35 mm. Je
regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture,
et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques
jours après, il a répété
son manège, mais cette fois il m’a dit
qu’il avait vu une petite annonce qui disait que le collège était
à vendre et qu’il était venu visiter la
propriété. Je l’ai revu encore,
sortant des bureaux du service administratif. Quand il me vit, il devint
à nouveau extrêmement nerveux et s’est
précipité dans sa voiture, a enlevé
sa veste avant d’entrer dedans et s’est en allé. Quelques minutes
plus tard, j’ai été appelé au bureau du
président et là, on m’a dit que
le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait son
statut d’assisté par le gouvernement en étant
impliqué dans des affaires de soucoupes
volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai présenté
ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas
l’intention d’arrêter mes activités
et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants
qui dépendaient autant des programmes d’aide
gouvernementaux. Pendant tout ce temps là,
Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière
anonyme, mais moi et plusieurs autres
avons toujours su que c’était lui. Maintenant,
vous le savez aussi.
Jaimie Shandera a été formellement
identifié par moi, le haut du Département de sécurité,
et la réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre
identification formelle par le Vice Président
en charge des admissions. John Lear était à cette époque
la seule personne qui connaissait le nom et
l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai plus tard
découvert par analyse comparative des proportions du corps et par
analyse vocale graphique que
John Lear est l’agent appelé " Condor
" de la production TV intitulée " UFO Cover-up live ", basée
sur des données de la CIA . Comme Condor,
il est en réalité un agent du gouvernement
qui a travaillé avec Moore, Shandera, Friedman, John Grace, Bob
Lazar, et d’autres encore. Ils sont
tous de la CIA .
Quant à Stanton Friedman, il a raconté
à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé,
il y a un certain nombre d'années, "au développement
d'un réacteur nucléaire pas plus
gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un
avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non
polluant...et qui roulait comme un charme! "
( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs autres personnes m’ont écrit
pour me dire qu’il leur avait
été dit la même chose par
Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté
la même histoire. Cependant, le seul carburant
qui puisse libérer de l'hydrogène
au cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or,
cette façon d'associer l'eau à la production
d'énergie nucléaire correspond
exactement au mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène,
selon la documentation que j’ai lue
lorsque j’appartenais aux services de renseignements
de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est
tout de même
étrange que ce soit l'équipe qu'il
formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée
d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12!
Dans les documents que j'ai lus entre 1970 et
1973, il y avait une liste de noms correspondant aux personnalités
les mieux désignées pour le
recrutement puisqu'elles étaient capables
de convaincre, en utilisant le patriotisme comme force de conviction aussi
souvent que possible. Si
nécessaire, une assistante financière
serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de propriétaire
de couverture ou grâce à des bourses.
C’est, par coïncidence, la méthode
par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee.
Nous avons aussi découvert
que Moore avait reçu de l’argent pour
la recherche d’au moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été
confirmé par la recherche de
Grant Cameron. D’autres noms étaient cités
sur les listes en tant qu’agents clés actifs des services de renseignement.
Lorsque j’ai pour la
première fois présenté ce
document, je n’ai donné qu’une liste partielle des personnes citées
dans les documents des renseignements de la
Marine. Les personnes suivantes sont celles dont
je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres, mais celles
là sont tout ce dont je
me souviens pour l’instant).
Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la
CIA (le père de Lear a été cité comme ayant
participé à la recherche sur l’antigravité) ; William
Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee,
de l’O.N.I. (bureau des renseignements de la marine) ; Linda Moulton Howe
; Philip
Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le
père de Mosely a été mis en question de manière
très flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé
comme Posthethwaite) ; Wendelle Stevens, de la
CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.
C’est là la liste dont je me souviens.
Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais d’autres
agents qui eux n’étaient pas sur
la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque
j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé
que Bruce Maccabee ne devait pas
avoir été recruté, mais
plus tard il m’a donné tort quand il a donné 16000$ à
Stanton Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient
pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau et le
second mot était une couleur.
Le code était " aigle or ". Quand Stanton
Friedman m’a contacté la première fois, il a utilisé
le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a
demandé plusieurs fois si j’avais déjà
vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si
j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il
me testait lui aussi. Ils savaient que j’avais
eu accès à la véritable information et ils essayaient
de déterminer si j’étais un des leurs. Comme
George Bush dirait, " lisez sur mes lèvres
". Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne serai
jamais l’un des vôtres.
Quand j’ai parlé à Stan Deyo en
Australie par téléphone, il m’a dit que le code qui lui était
assigné était " Faucon Bleu ". Stan était une victime
d’expérimentation sur le contrôle
de l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie
de l’armée de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au
contrôle de l’esprit ont démissionné
de l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade
pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit.
Stan a écrit deux excellents livres, The
Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande de les
lire tous les deux.
Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être
innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier semble
avoir pris d’extrême
précautions dans ce qu’elle a présenté
au public. Sa recherche est excellente. J’ai été impressionné
quand elle m’a confié que le Sergent Richard
Doty de la division du contre-espionnage du bureau
de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait
emmené au bureau de renseignement
à la base aérienne de Kirtland
au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes
documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais
dans la Marine. Elle a même vu la même
information sur l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant
son assassin. Mme Howe est
aussi la seule personne étrangère
au monde de la communauté des services de renseignement qui connaît
la vérité telle que je l’ai connue, au
regard de l’opération MAJORITE. Elle a
fait preuve de bon sens et de grande retenue en ne révélant
PAS les contenus de ces documents au
public. C’est pour cette raison que je crois
que quelqu’un a essayé de l’utiliser. Bien heureusement, Linda est
loin d’être naïve et elle n’a pas
joué le jeu. Je vous recommande de lire
son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander
dans n’importe quelle bonne
librairie [NDT: aux Etats-Unis seulement, parce
qu’en France...].
J’ai découvert que Whitley Strieber est
un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le livre de Strieber,
Majestic, l’en a rendu coupable
pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé.
C’est la véritable histoire du crash de Roswell, trouvé dans
les agendas mis sous séquestres
de James Forrestal, en se basant sur le fait
que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des
faux, et je ne pense pas qu’ils le soient.
Les noms des gens et les noms des projets et
des opérations ont été changés dans le livre
de Strieber, mais tout le reste de l’information et de la
documentation est vraie. Les rapports d’autopsie
sont exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE,
il y a de cela 18 ans.
Je suis récemment entré en possession
d’une déclaration par écrit et sous serment d’un MD de New
York qui est signée, authentifiée, et
assermentée sous la peine encourue quand
on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD a été
recruté par un agent de la CIA nommé Budd
Hopkins pour l’aider dans son travail avec les
kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette déclaration écrite
figure dans l’appendice de ce
document. Je savais que Hopkins avait quelque
chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il
ne pouvait pas me regarder dans les
yeux , et quiconque ne peut pas me regarder dans
les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé
tout le temps, en y incluant son speech, à
essayer de convaincre les gens de l’innocence
de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de
mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui
est un tissu de bêtise. C’était
là une insulte pour quiconque ayant enquêté sur les
kidnappés.
Je sais que toutes les organisations de recherche
sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de contrôle
par le gouvernement secret, de la
même manière que le N.I.C.A.P. a
été infiltré et contrôlé. En fait, le
N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais
que ces efforts ont été
fructueux.
M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des
centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes
et envoient des preuves
physiques aux quartiers généraux
du M.U.F.O.N. , où les preuves disparaissent rapidement. Tout le
monde clame les traces physiques comme
preuve. Récemment des échantillons
de liquide ont été prélevés, échantillons
qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école dans
le
golfe Breeze , en Floride. Les échantillons
ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement
disparus, ce qu’Andrus a déploré comme
étant un accident. BETISES ! Ce n’est
pas la première fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je
considère que le M.U.F.O.N. est le grand
trou noir de la communauté O.V.N.I. .
Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en échappe.
Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est
déboulonné et tenu à l’écart
des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire. Les
membres ne semblent pas savoir qu’ils
sont sous contrôle. Les membres du bureau
des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil des consultants
sont pour la
plupart soutenus par le gouvernement sous la
forme de salaires , de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire
que cela ne constitue pas un
conflit d’intérêt ? Qui peut dévoiler
et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement
croire que le gouvernement
ne pourrait pas contrôler les gens à
qui il fournit de l’argent ? L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.
Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans
aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme
dans le cas de la revue O.V.N.I.,
financièrement soutenues et contrôlées
par la CIA Vicki Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le
propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses
amis et ses proches que pendant au moins deux
ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham,
se souviennent de
l’été 1988 où Vicki les
a interviewé à la résidence de Mr Graham, à
Huntington Beach. Après que l’interview se soit terminée,
Vicki Cooper s’est
dirigée vers sa voiture, s’est retournée
et a mystérieusement crié : " vous savez, mon magasine pourrait
être financé par la CIA ".
J’ai parlé à des amis et à
des connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé
à plusieurs reprises que " la CIA contrôle le
magasine O.V.N.I. ". L’oncle de Vicki Cooper,
Grant Cooper, était l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé
de défendre son client. Il était
important pour le gouvernement secret et la CIA
que Sirhan soit désigné comme étant " le seul assassin
". Grant Cooper a des liens
considérables avec la CIA et le groupe
de Johnny Rosselli.
Nous avons découvert que le fils de Vicki
est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel
superbe moyen de contrôler un magasine ! " si
vous ne jouez pas le jeu, vous n’aurez pas le
diplôme ". J’ai découvert que la personne qui a trouvé
un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle
est arrivée à Los Angeles est Barry
Taff, un employé de longue date des services de renseignements (oui,
au pluriel) et protégé de longue date
du professeur John Lilly et du professeur J.West,
le premier expert du gouvernement dans la manipulation de l’esprit. Ces
hommes ont été
impliqué dans la plus terrible expérimentation
jamais mise en œuvre pour le contrôle total des individus. Je pense
que ce n’est pas une
coïncidence innocente si l’appartement de
Taff est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été
confirmé de manière indépendante
dans une lettre écrite par Mr Martin Cannon,
un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée dans
l’appendice.
La preuve la plus accablante du contrôle
du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A la conférence
du M.U.F.O.N. de 1989,
Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition
qu’il a pu relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.
Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour
l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient
d’attraper Madame et ont trouvé Vicki.
Mme Cooper a été arrêtée
et menacée de passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait
pas. Vicki s’est retournée selon Ecker, et a donné
son employeur. Depuis que Vicki avait apparemment
eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité,
elle est devenue un témoin clé.
La société Madame Mayflower a été
fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme
Cooper. C’est selon Don Ecker, ce qui s’est passé, si
il a dit la vérité. Nous n’avons
aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais pas pourquoi Don Ecker
nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas
Vicki, ou peut être que lui aussi comme
Lear et Friedman, a cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée
très froide en enfer).
Selon Ecker, il a été dit à
Vicki Cooper de quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été
donné de l’argent et il lui a été dit de créer
le magasine
O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été
dit qu’elle devait imprimer des informations qui lui seraient fournies.
Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des
informations sur les O.V.N.I. soi-disant provenant
de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne
peut pas être contacté.
C’est toujours écrit sous un pseudonyme
et personne ne peut vérifier l’information. Vicki est intransigeante
sur le choix des nouvelles et des
informations à imprimer, en fonction de
ce qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme
si ils n’avaient pas de cerveau pour y
réfléchir par eux-mêmes.
Elle s’adonne à la calomnie.
Don Ecker clame avoir été un membre
des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard officier
de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit
avoir eu un total de 10 ans d’expérience
en tant qu’enquêteur à la criminelle. Le département
de police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a
demandé par téléphone, avoir
eu connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de fournir
une copie de ses registres de service de l’armée,
mais il a refusé. Ecker se donne lui-même
le nom d’expert O.V.N.I. et s’est affublé lui-même (oui, vous
l’aviez deviné) du titre d’ "ovniologue ". Il
soupoudre ses articles de mots comme " ovniologique
", et ne sait pas le moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la
plupart des
informations que j’ai divulguées quand
il parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données
avec une quantité monstrueuse de
fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu dire.
Ecker les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont
tous anonymes. Il dit que les
aliénigènes mutilent les humains
comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper, pratique
la calomnie.
Selon des sources légitimes de responsables
policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à
la prison d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à
Septembre 1982, quand il a quitté ce poste
pour devenir un stagiaire adjoint au département des narcotiques
du Sheriff du comté de Canyon.
Donald Francis Ecker II a été licencié
après seulement six semaines pour " mauvaise conduite ". Mr Ecker
est retourné à la prison d’état de
l’Idaho où il a été employé
comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe
gauche dans un accident de tir au fusil pendant un exercice
d’entraînement. Des sources révèlent
aussi que Donald Francis Ecker II est un fugitif devant la justice. Les
autorités de l’Idaho possèdent
plusieurs mandats d’arrêts concernant Mr
Ecker.
Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra
à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand
jour le secret le plus
hautement classifié au monde- si il peut
l’en empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents
pour contrôler les groupes, les publications,
et les informations relatifs aux O.V.N.I. . Si
les aliénigènes n’étaient pas réels et que
toute l’histoire se révélait être le plus grand canular
ayant
jamais été monté, qui pensez-vous,
au juste, aurait comploté tout cela ?
Si l’histoire cachée est vraie, tout au
long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de
manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses
sociétés secrètes, de l'occultisme,
de la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil des relations
étrangères et la Commission trilatérale
maîtrisent parfaitement la technologie
extranéenne et exercent un contrôle absolu sur l'économie
nationale. Eisenhower fut le dernier président à
avoir une vue d'ensemble du dossier extranéen.
Tous les présidents qui lui ont succédé n'en ont su
que les seuls éléments que Majesty douze
et les services de renseignements voulaient bien
leur laisser savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la
vérité.
A la plupart des nouveaux présidents, Majesty
douze donnait des aliénigènes l'image d'une civilisation
perdue qui ne cherchait qu'à nous
gratifier de dons technologiques en gage de remerciement
pour leur avoir permis d'installer leurs quartiers sur notre planète
et de renaître ainsi
de leurs cendres. Dans certains cas, le Président
n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à
tour de rôle ou n'ont tout simplement
rien su. Et, depuis tout ce temps, combien d'innocentes
victimes ont à vivre les indicibles atrocités que des aliénigènes
et des hommes leur font
subir à titre d'expériences scientifiques
dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas arrivé à
déterminer exactement ce qu’ils leur font.
Plusieurs personnes sont kidnappées et
condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques
pour le reste de leur vie. Est-ce
que cela pourrait être en fait une opération
de contrôle de l’esprit par la CIA?
Selon les documents que j'ai vus, un citoyen sur
quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas découvert
le but de ces minuscules
appareils, mais le gouvernement semble croire
que les aliénigènes les utilisent pour se "monter" une armée
d'individus qui puisse être "mise en
marche" et se retourner contre nous au signal
donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle
nous sommes encore loin de
pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat
américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires
d'une "pétition accusatoire" et, à cette
date, le 23 Novembre 1990, j’ai reçu 6
réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.
Les conclusions sont inévitables
1) Il y a des hommes qui ont échafaudé
une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant
sur la croyance que la planète Terre, soit par
suite de notre propre ignorance, soit en vertu
d'un décret divin, est appelée à se détruire
un jour ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être
en train de faire le bon geste pour tenter de
sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient
crus obligés de s'allier à une race
extranéenne dont la condition était
d'être elle-même engagée dans un combat désespéré
pour assurer sa propre survie. Cette entreprise
conjointe a nécessité, tant moralement
que légalement, une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui
l'ineptie et que l'on se doit de
corriger en commençant par exiger des
responsables qu'ils nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que
je comprenne la crainte et
l'urgence qui ont pu motiver leur décision
de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.
L'Histoire est jalonnée de ces puissants
groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de décider
du sort de millions d'êtres alors
qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux.
Notre grande civilisation doit son existence même à son respect
des principes de la liberté et de
la démocratie. Je suis convaincu, au plus
profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être
prospère en faisant fi de ces principes. Il
est temps de tout révéler au public
et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.
2) Nous sommes actuellement manipulés par
les puissances extranéennes et les pouvoirs humains qui se sont
coalisés en un gouvernement
mondial pour asservir à leurs ambitions
une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire
pour résoudre la question primordiale : " qui parlera
au nom de la planète Terre ? ". Il a été
décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement
évolutionnaire pour être fiable dans
sa manière d’agir correctement avec une
race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème
entre les différentes races humaines, aussi que
se passerait-il si une race totalement étrangère
extraterrestre était introduite ? Serait-elle lynchée, lui
cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on
dessus ? Est-ce que la discrimination résulterait
en des rencontres désagréables qui condamneraient l’humanité
comme conséquence de leur
très évidente technologie supérieure
? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans
notre parc ? Le seul moyen d’empêcher ce
scénario d’avoir lieu est de provoquer
un bond dans l’évolution des consciences, un changement radical
pour la race humaine toute entière. Je
n’ai aucune idée de la manière
dont cela peut être fait, mais je sais que cela a désespérément
besoin d’être fait. Cela doit être fait très rapidement
et très silencieusement.
3) Les gouvernements officiels se sont fait entièrement
berner par les forces extranéenes qui, quant à elles, n'ont
d'autre intérêt que de nous
réduire tous à l'esclavage, quitte
à anéantir la totalité de l'espèce humaine.
Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher
cela d’arriver.
4.Si rien de ce qui précède
n’est vrai, il se produit toutefois actuellement des événements
qui dépassent notre entendement; mais, quoi
qu'il en soit, notre
première responsabilité est d'exiger la vérité,
car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être
sur le point de
récolter les
fruits que nous avons produits par nos propres actions et, surtout, par
notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre
faute, nous sommes les
seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation
me semble la majeure partie de la solution. L’autre
partie est l’abolition
du secret.
5.Il est toujours possible que j’ai
été manipulé et que tout le scénario extranéen
soit le plus grand canular de l’histoire dans le but de créer
un ennemi étranger
provenant de l’espace extérieur, de manière à accélérer
la formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une
preuve que cela pourrait
être vrai. Je l’ai incluse dans l’appendice. Je vous conseille de
considérer ce scénario comme probable.
Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté
que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir
politique en cessant d'être vigilants à l'égard
d'un gouvernement qui se targue d'être
fondé "sur le peuple, par le peuple et pour le peuple" et dont la
structure même avait été conçue pour
éviter qu'une poignée d'individus
puisse aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple?
Si nous avions accompli notre devoir, ce
genre de situation n'aurait jamais pu survenir,
mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus fondamentales
de notre
gouvernement. Nous sommes décidément
devenus un vrai troupeau de moutons, et à quoi sont finalement destinés
des moutons sinon qu'à
l'abattoir? Il est temps de nous relever pour
nous tenir debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres
humains. Je vous rappellerai
seulement que les camps d'extermination nazis
dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs
d'Europe mais celle de toutes les
nations de ce monde. Les Juifs captifs ont marché
avec obéissance vers les chambres à gaz, et pourtant ils
avaient été mis en garde, eux aussi!
Vous devez comprendre que, réel ou non,
la présence des aliénigènes a été utilisée
pour neutraliser certaines grandes différentes parties de la
population : "ne vous inquiétez pas, les
généreux frères de l’espace vous sauveront ". Cela
peut aussi être utilisé pour combler un manque de
menace extraterrestre pour justifier la formation
d’un Nouvel Ordre Mondial : "les aliénigènes sont parmi nous
". L’information la plus
importante dont vous aurez besoin pour déterminer
vos futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction
de la souveraineté
des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le
nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas permettre à notre
constitution de continuer à
exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système
socialiste totalitaire. Nous serons des esclaves enchaînés
à un système de contrôle
économique sans argent liquide.
Si la documentation que j’ai vue lorsque j’étais
dans les services de renseignement de la Marine est véridique, alors
ce que vous avez lu est
probablement plus proche de la vérité
que toute autre chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors
ce que vous avez lu est exactement ce
que les Illuminati veulent que vous croyiez.
Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes
ne sont pas réels, la
technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux
à antigravité existent et des pilotes humains les conduisent.
Moi et des millions d’autres, nous les
avons vu. Ils sont en métal, ce sont des
machines, ils ont différentes tailles et formes et sont très
évidemment guidés par une forme intelligente.
Si soudainement il y avait une menace envers ce
monde en provenance d’une espèce d’une autre planète, nous
oublierions tous ces petits
conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands
pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait
tous des êtres
humains de cette Terre.
Ronald Reagan s’adressant à Mikhail Gorbachev
NDT :
A noter qu’un président des Etats-Unis,
Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu
président qu’il essaierait de clarifier le phénomène
OVNI, car il avait fait lui-même une observation
d’OVNI, observation qu’il avait officiellement consignée par écrit
à l’époque aux autorités.
Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait
de la sorte.
D’après une remarque de Mr Cooper :
Lorsque le président Nixon a prononcé
son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple
américain la vérité à propos des ONVI.
Comme James Forrestal, Richard Nixon s’est retrouvé
prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda. Mais contrairement
à Forrestal,
Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des éléments
de l’appendice (ce sont des photocopies de documents originaux comme des
lettres, les registres de service de
l’armée de Mr Cooper, des articles de
journaux
et des documents secrets déclassifiés) sont disponibles dans
le livre dont est extrait ce
document. Nous ne les reproduirons pas ici par
manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
*****************************************************************
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper
non disponible dans son livre, mais publié conjointement à
une traduction de la version originale
de 1989 de ce document, aux éditions Louise
Courteau, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le but de
MJ-12 et présenté par Richard
Glenn. A noter que cette traduction a servi de
document de départ pour la traduction de la version révisée
du livre de Mr Cooper
J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire
d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains
passages de mon dossier, intitulé
MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous
intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices
au cours de notre conversation, que
j'ai essayé de vérifier si mon
interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés
dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé
à me révéler quoi que ce
soit; je lui ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon
document et de me rappeler s'il le désirait. Je ne l'ai
rencontré qu'à deux reprises, la
première fois pour lui être présenté, et la
seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.
Je prenais part à une réception
organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël
quand, au cours de la soirée, cet ami m'a pris à part
pour me dire que l'un de ses invités aurait
sans doute quelque chose d'intéressant à me révéler
relativement aux informations que je venais tout
juste de publier. Son intuition s'appuyait sur
le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant
21 ans et qu'il avait été assigné,
entre autres, aux services de sécurité
Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma
curiosité. Aussi ai-je demandé à lui
être présenté sur-le-champ.
Dés l'abord, j'ai été impressionné
par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité
de son esprit, alors qu'il était presque
septuagénaire. Seuls ses cheveux gris
trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui
est depuis longtemps rompu à la discipline
militaire.
J'ai entamé la conversation en lui confiant
que j'avais moi-même été longtemps engagé dans
la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été
cantonné. Il m’a répondu avoir
accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique,
le Névada et à la base aérienne
d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part
de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à
une base de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée
de terre. "C'est vrai, m'a-t-il répliqué,
mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité
de plusieurs projets interarmes." Je
lui ai ensuite demandé s'il avait déjà
entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai remarqué qu'il est aussitôt
devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il
a jeté un coup d'oeil autour comme s'il
cherchait un endroit plus discret. "C'est possible, a-t-il repris, mais
vous devez bien savoir, puisque vous
étiez dans la Marine, que je ne peux rien
divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté."
J'espérais le rassurer en lui expliquant que j'avais
sans doute exercé le même genre
de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements
de la Marine pendant un certain temps. Mais,
depuis que j'avais mentionné le nom de
Redlight, rien n'y faisait pour arriver à dissiper son malaise.
Nous avons encore échangé quelques
paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain,
à qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre
son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après
s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le document
en main.
J'ai attendu que le vétéran de l'armée
prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté
le document pour qu'il regarde le dessin
que j'avais esquissé à l'endos.
Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins
pris le temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner
cette reproduction de l'Insigne trilatéral.
Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et
je lui ai répondu que je le tenais des services de
renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui
me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi
il m'a dit l'avoir vu sur une pièce
d'équipement. "Savez-vous de quel type
d'équipement il s'agit?" m'a-t-il demandé. "D'un appareil
qui ne fait pas de bruit", lui ai-je dit. "Ainsi,
a-t-il repris, vous savez exactement en quoi
consiste le projet Redlight!" J'en ai alors profité pour lui expliquer
que le document qu'il tenait dans
les mains contenait justement toute mon information
à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me donne
ensuite rendez-vous pour
me raconter sa propre expérience par rapport
à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais
jamais l'identité de mes sources, donc a fortiori la
sienne. Il m'a alors regardé droit dans
les yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette
affaire en rapportant notre conversation,
il n'éprouverait aucun remords à
me faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement
sa méfiance et, pour lui
garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé
de s'enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun,
qu'il connaissait "depuis près de sept ans",
m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti
en emportant mon document.
Il m'a téléphoné quelques
jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël.
Nous avons convenu de nous rencontrer à
une table de pique-nique dans un parc.
La première chose qu'il a dite en me voyant
a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit
jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et
il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus
me revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses conditions
et il m'a alors donné son numéro de téléphone
pour que je le prévienne si jamais je
découvrais par la suite que sa sécurité était
compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête,
je lui
ai demandé la raison pour laquelle il
avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce
dossier. "Pour la même raison qui vous pousse
aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué.
Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela ne
présage rien de bon. " Je lui ai proposé de me
raconter ce qu'il savait, mais il préférait
que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre
ses réponses sur mon
magnétophone, de peur qu'on identifie
sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à
fait raison. Il a cependant consenti à
me laisser prendre des notes par écrit.
Voici donc la reconstitution partielle de notre
conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt
arrivé chez moi. Etant donné que je ne
connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point
auquel me référer pour évaluer le bien-fondé
de ses propos ou l'authenticité de ses
renseignements. Par contre, je le crois sincère,
car il lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment
exceptionnel pour arriver à exprimer
toute la gamme des émotions qui se sont
dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper:
Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral
que je vous ai montré à la réception de notre ami?
Le vétéran:
Sur une soucoupe volante que j'avais mission de
surveiller à la base aérienne d'Edwards. Je l'ai revu sur
différentes soucoupes quand j'ai été
affecté à la zone 51 au Névada.
Laissez-moi vous dire combien j'ai été étonné
par la précision et la quantité de vos informations à
ce sujet.
Cooper:
La plupart d'entre elles découlent de documents
dont j'ai personnellement pris connaissance au début des années
70. Le reste m'a été transmis
par des informateurs. Le dossier que j'ai monté
est le fruit de 17 années de recherche. En outre, une bonne partie
de ma documentation provient
de rencontres comme celle que nous tenons en
ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il
vous a été donné de voir
cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran:
On m'avait assigné la garde d'un hangar
dont je ne connaissais même pas le contenu.
Cooper:
Quel était le nom de ce hangar'?
Le vétéran:
Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait
le hangar Delta.
Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé
sur la base?
Le vétéran:
Il est isolé sur la partie nord, complètement
à l'écart, et personne ne peut y avoir accès sans
être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.
Cooper: À quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran:
À celui que vous m'avez dessiné:
un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il porte une description
du détenteur comme toute autre carte
d'identité.
Cooper:
Comment êtes-vous arrivé à
voir la soucoupe?
Le vétéran:
On ne peut pénétrer dans le hangar
que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de
garde. Au fond de cette salle, une
autre porte donne accès à un bureau
qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était
strictement défendu de franchir le seuil du
bureau mais, un soir, l'officier en devoir m'a
demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu
qu'il n'était pas dans mes attributions
de le savoir. Il m'a alors demandé si
j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il
cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui
ai répondu que ce
n'était pas nécessaire. Il m'a
fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau,
puis il a déverrouillé la porte du hangar. C'est là
que
j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds
mais appuyée aussi sur des vérins.
Cooper:
Vous employez le mot "soucoupe". Est-ce à
dire que cet engin était circulaire?
Le vétéran:
Oui, c'était exactement le genre de soucoupe
volante qu'on est habitué à voir au cinéma.
Cooper:
Pouvez-vous me la décrire?
Le vétéran:
Elle avait un diamètre de dix mètres
environ et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent
terni.
Cooper:
Quelle hauteur avait-elle?
Le vétéran:
De cinq à six mètres environ. L'Insigne
trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure
et inférieure.
Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran:
Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un
seul côté et à peine trois ou quatre minutes.
Cooper:
Avez-vous aperçu des hublots?
Le vétéran:
Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie
supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l'intérieur.
Cooper:
Etaient-ils ronds?
Le vétéran:
Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi
remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l'une
sur la face supérieure et l'autre sur la
face inférieure à un peu plus d'un
mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et une partie
de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des
lucarnes.
Cooper:
L'officier vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran:
Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré,
puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.
Cooper:
Etrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran:
Tout ce qui avait trait à Delta était
étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par
moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes
sans raison apparente; et, quand un type avait
le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.
Cooper:
Qu'advenait-il à ces hommes?
Le vétéran:
Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché
à le savoir.
Cooper:
Avez-vous objection à parler de vos autres
expériences?
Le vétéran:
Non, pas du tout.
Cooper:
Comment êtes-vous entré à
Delta?
Le vétéran:
J'avais d'abord été recruté
dans l'Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à
Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement
intensif, j'ai été soumis à
une sévère procédure de sélection imposée
par les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle
ils m'ont enrôlé.
Cooper:
Sur quels critères se sont-ils basés
pour vous choisir?
Le vétéran:
Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais
orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime d'un accident grave
dans le cadre
d'opérations secrètes. S'il a de
la famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement
en essayant de connaître les
circonstances entourant la disparition de leur
cher fils.
Cooper:
Les membres des équipes Delta sont-ils
tous orphelins?
Le vétéran:
D'une certaine manière puisque leurs parents
sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment,
morts de maladie ou tués dans un
accident.
Cooper:
N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport
à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi
pouvait consister ce secret qui semblait
si important qu'on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran:
J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires...
au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs
de primes de
Dreamland?
Cooper Que voulez-vous dire?
Le vétéran:
Quand un homme est affecté à Dreamland,
s'il sort en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de
ne pas rentrer à temps ou de ne
pas revenir du tout, alors sa tête est
pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes se lancent
à sa recherche pour le ramener dans les
installations souterraines où vivent les
visiteurs... Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais
mieux de me taire. De toute façon,
je ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous
pas censés nous entretenir de Redlight?
Cooper:
Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter
à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?
Le vétéran:
Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux
seulement vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres à
Dreamland.
Cooper:
Que voulez-vous dire quand vous prétendez
ne plus vous souvenir?
Le vétéran:
Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai
vraiment pas envie d'en parler, voilà tout...
Cooper:
Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce
coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou vous ne m'en parlez pas, mais
cessez de jouer avec mes nerfs!
Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland?
Pouvez-vous au moins me dire où c'est situé?
Le vétéran:
Non, je cours un trop grand risque, c'est trop
dangereux, et maintenant je suis marié.
Cooper:
Très bien, alors parlez-moi de la zone
51.
Le vétéran:
C'est le quartier général de Redlight.
Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est
en plein coeur d'un champ de manoeuvres que
vous pouvez voir en consultant une carte. Il
s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a érigé
des installations ultra-secrètes. On y pratique des
vols d'essai à bord de soucoupes volantes.
Cooper:
En avez-vous déjà vu quelques-unes
voler?
Le vétéran:
Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se
déplacent à des vitesses prodigieuses.
Cooper:
Est-ce le même type d'appareil qu'à
Edwards?
Le vétéran:
L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant
à l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné
à l'envers après l'avoir sorti du chaton
d'une bague de fiançailles.
Cooper:
Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression
du diamant?
Le vétéran:
Pas tout à fait, mais la forme est semblable.
De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même
iridescent. Par contre, au sol,
il présente la même apparence de
métal terne que la soucoupe d'Edwards.
Cooper:
À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous
quand vous l'avez vu?
Le vétéran:
Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en
approcher, à cause des radiations, sans doute.
Cooper:
Entendez-vous par là qu'il était
propulsé à l'énergie nucléaire?
Le vétéran:
Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il
représentait un risque élevé de radioactivité
puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre*
sur nous et aller l'échanger contre un
autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper:
Combien de temps êtes-vous resté
à la zone 51?
Le vétéran:
Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs,
jamais personne n'y est affecté plus longtemps que quelques mois.
La seconde fois, j'y ai été
consigné près de cinq mois, comme
en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut dire que ces
quartiers sont pourvus d'excellents
équipements récréatifs.
Cooper:
Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais
vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre témoignage
ne semble pas
concorder avec mes autres sources d'information.
On m'a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique.
S'agirait-il de Dreamland?
Le vétéran:
Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant
partir. J'ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est
beaucoup trop dangereux, bien
plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au
courant de tout mais je sais que la situation est complètement désespérée.
A vous dire vrai, je
suis très inquiet de ce que l'avenir nous
réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de
quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il
se trame quelque chose. On construit actuellement
d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière,
à voir votre
dossier, je crois que vous êtes mieux documenté
que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est
la veille de Noël et je demeure
assez loin.
Cooper:
Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil
aux notes que je viens de prendre et les rectifier s'il y a lieu?
Le vétéran:
Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant
que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié. Mais puis-je
vous demander ce que vous comptez faire
de ces notes?
Cooper::
Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis
les publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne pas vous
identifier.
Le vétéran:
Si, de toute façon, vous le faisiez, je
vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.
Cooper::
Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé
mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler
autre chose, vous avez mon numéro...
Le vétéran:
Je ne pense pas. Vous auriez intérêt
à être très prudent. A votre place, je ferais attention
à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous
devriez y réfléchir.
Cooper Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?
Le vétéran:
La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous...
Personne n'y peut plus rien changer!
Le reste de notre conversation n'a consisté
qu'en salutations d'usage. Cet homme m'a paru vraiment sincère et
profondément tourmenté par ce
qu'il racontait. En tout cas, il semblait se
faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour
la sienne.
Il est le deuxième à me donner la
description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux
m'ont parlé du même insigne de sécurité et
ont fait également référence
au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que j'entendais
mentionner l'existence de plusieurs bases
extranéennes et aussi celle des chasseurs
de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif à établir
entre l'usage des dosimètres et
l'incident qui est survenu aux deux femmes dans
le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à
Edwards. Pour ma part, je n'en connais
pas l'emplacement. Cette allusion au "pays des
rêves" dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe
parce que cette désignation ne
correspond pas à celles que l'armée
à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites
de ses opérations. J'aimerais préciser que mes
informateurs m'avaient d'abord signalé
que la base extranéenne était située à Dreamland;
mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié
cette
information. Il est tout de même étrange
que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque fois
qu'il est question de la base
extranéenne! Par ailleurs, comment savoir
puisque les victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance
de leur mémoire?
En définitive, les réponses du vétéran
de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles
questions.., encore plus troublantes !
*Le type de dosimètre qu'on utilisait du
temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule photographique
insérée dans un insigne
que les membres du personnel devaient épingler
à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans des zones où
ils risquaient d'être exposés à des
radiations nucléaires. En raison de sa
photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations
et, selon son degré d'exposition, il était possible
d'évaluer la dose exacte de radioactivité
à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement
aérostratégique, je portais un tel
dispositif parce que les aéronefs d'alerte
étaient équipés en permanence d’armes nucléaires.
Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par
semaine. S'ils indiquaient une exposition aux
radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus
de décontamination. Pour ma part,
cette mesure n'a jamais été nécessaire
pendant toute la durée de mon service.