au pays du Soleil Froid
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Byrdalice.html
I Introduction.
Cet article est la suite logique de
deux articles précédents sur "L'extraordinaire découverte
de l'Amiral Byrd" qui ne pouvait être allongé outre mesure
et qu'il convient et de lire respectivement en priorité aux adresses
suivantes:
http://perso. wanadoo.fr /fidylle/docs/Byrd.html
http://perso. wanadoo.fr /fidylle/docs/Byrdsuite.html
Cette aventure de l'Amiral Byrd est si extraordinaire, que nous avons pensé faire le rapprochement avec l'aventure, bien connue, d'Alice au pays des merveilles que nous devons au mathématicien et écrivain britannique Lewis CAROLL en 1865. Nous savons en effet, qu'Alice est plongée dans ce roman, par un concours de circonstances, dans un monde fantastique où rien ne se passe comme on pourrait le supposer. Il en a été de même, on le sait déjà, de l'Amiral Byrd, qui a pénétré dans un univers si insolite qu'il défie l'imagination la plus échevelée.
II La genèse de l' affaire.
Volet n°1.
Le 11 Novembre 2000, nous avons reçu par la poste d'un très aimable internaute suisse, le "Journal de bord", attribué à l'Amiral Byrd et correspondant à son expédition du 19 Février 1947et qui dans notre bibliographie de l'article précédent consacrée à cette affaire Byrd porte le n° 40. Nous en avons fais une modeste traduction que nous vous livrons ci-dessous:
Nous pensions y trouver plus d'allusions
germaniques en provenance du peuple souterrain, mais c'est juste le mot
"au revoir" et peut-être encore le "léger accent" des hôtes
de Byrd ou encore peut-être le mot "Flugelrads" (dont nous ne pouvons
préciser pour l'instant la signification)". Aussi nous ne pensons
pas pour cela qu'il soit nécessaire de suspecter les "loges Nazi
" ou autres "obédiences allemandes" d'être à l'origine
de ce texte qui nous vient d'ailleurs des USA. Mais on peut toujours émettre
des réserves à ce sujet. Il nous reste à découvrir
comment ce texte a pu être publié sans que les services secrets
américains s'y opposent et beaucoup d'internautes vont se poser
cette question. Est-ce encore de la "désinformation" pour discréditer
tous ceux qui s'intéressent à la "théorie de la Terre
creuse", ou bien ce sont les "Maîtres eux mêmes" qui respirant
le même air que nous (et air que nous sommes entrain de polluer de
plus en plus) , ont décidé d'agir indirectement pour nous
faire savoir qu'ils existent bien. J'aime à penser que cette dernière
éventualité serait préférable.
Nous n'avons pas eu trop de difficultés pour traduire ce texte sauf page 36 la phrase:"We are taken form the aircraft" où nous préfèront imaginer qu'il y a eu une faute d'impression et que l'on devrait écrire " We are taken from the aircraft " .
Par déformation professionnelle
de l'enseignant, nous aimons, d'autre part mettre en couleur les éléments
d'un texte qui peuvent plus tard, faire l'objet de développements
importants. Aussi nous espèrons que cette surcharge de couleurs
ne dérangera pas trop l'internaute susceptible.
Nous ne plaçons pas ici le texte
anglais car il est sous copyright, et nous ne voulons pas avoir de problème
avec les diffuseurs.
Aussi voici donc la traduction, qui seulement,
intéresse avant tout, les internautes français:
Modeste Traduction du "journal de Bord " de
l'Amiral Byrd.
En couverture:
Le carnet de vol disparu de l’Amiral
Richard Byrd ..Qui vit à l’intérieur de notre Terre
Page1:
Reconstitution du vol historique de l’Amiral
Byrd édité par la Société Internationale pour
une Terre Complétée.
Les lecteurs de ce carnet de Vol qui
désirent des informations supplémentaires sur la Terre Creuse
sont invités à écrire à :
Internationnal Sociéty for a complete
Earth (ISCE)
Danny L.Weiss(Secretary)
P.O. Box 890
FELTON, Calif 05018
La Société désire aussi annoncer qu’elle organise une reconstitution du vol historique de l’Amiral Byrd en partant de la ville de Reykjavik en Islande.
Le vol sera rempli de mystère et de potentielle découverte. II suivra la route empruntée par l’Amiral et son équipage. Chaque événement marquant sera relevé pour caractérisé le stress, l’enthousiasme et la frustration qui ont été éprouvés par l’Amiral selon son carnet de vol.
ABELARD PRODUCTION, INC
Page 2
L’édition développée ici
est de 1990 par les Productions Abelard.
Tout droits réservés.
Aucune partie de ce livret ne peut être
reproduite, enregistrée dans un système de stockage ou transmise
de quelque forme que ce soit, électronique, mécanique,
photocopiante, magnétique, ou autre, sans l’autorisation préalable
de l’Editeur.
Réalisé aux Etats unis d’Amérique.
Pour recevoir un catalogue complet des
ouvrages New Age , écrire à Inner Ligh publication, Box 753
New Brunswick, NJ 08903
Typographie et croquis par Cross-Country
Communication.
Page 3 : Photo de l’Amiral BYRD
Page 4: déclaration préliminaire de Byrd.
Je dois écrire ce carnet de bord secrètement et dans l’ombre. Il concerne mon vol arctique du 19 Février 1947.
Il viendra le temps où la pensée rationnelle des hommes deviendra insignifiante et que l’on devra accepter l’inévitable Vérité. Je ne suis pas libre d’assurer la mise au jour de la documentation suivante qui fait l’objet de cet écrit, peut-être ne verra t-elle jamais la lumière de l’analyse publique, Mais je dois faire mon Devoir et l’enregistrer ici, pour tout un chacun, afin qu’il puisse un jour en prendre connaissance dans un monde qui je l’espère profondément, ne laissera pas, l’avidité et l’oppression abusive d’une partie de l’humanité, nous soustraire ce qui est Vrai, plus longtemps.
Page 5
Croquis montrant que la Terre est une sphère creuse avec des ouvertures polaires et un soleil central. Les lettres indiquent les étapes successives d’un voyage imaginaire à l’intérieur de la planète . Au point marqué “ D” c’est la première vision de la couronne du soleil central. Au point “E”, on peut voir le soleil central complètement.
Page 6
Croquis artistique montrant “les ouvertures
polaires” et le soleil central au noyau de la Terre.
Page 7 : Carnet de Vol Camp de Base Arctique: 19 Février 1947
Page 8 : heure non précisée.
Tous les préparatifs sont complètement faits pour un vol en direction du Nord et nous décollons avec le plein de carburant
Page 9: heure non précisée.
Le carburant du moteur de tribord semble trop riche, on fait l'ajustement
le "Pratt Whitneys" file doucement maintenant.
Page10 : heure non précisée
La vérification de position avec le sextant à bulle et revérification avec la boussole solaire, notre avant exécute un changement léger, et la course se poursuit comme planifié.
Page11 : heure non précisée
Le contact radio est vérifié avec le camp de base, et la réception est est normale.
Page12 : heure non précisée
On note une légère fuite d'huile dans le moteur de tribord, l'indicateur de pression d'huile cependant semble normal,
Page13 : heure non précisée
Une turbulence légère est notée dans la direction de l'Est à une altitude de 2321 pieds, correction à 1700 pieds, aucune autre turbulence, mais le vent d'arrière s'accroît , légers réglages de contrôle, les performances de l'avion sont très bien maintenant.
Page14 : heure non précisée
Contact radio avec le camp de base, situation normale.
Page15 : heure non précisée
Photo de l’Amiral Byrd conduisant un traîneau de Huskies à travers la toundra gelée .
Page16 : heure non précisée
Photo de l’avion de Byrd qui lui permis d’arriver au pôle Nord
Page17 : heure non précisée
Nouvelle turbulence, à l'altitude de 2900 pieds. Conditions de Vol normales encore.
Page18 : heure non précisée
Vaste glace et neige en dessous, notons la coloration de nature jaunâtre qui se dispersait linéairement. Modifions l'itinéraire pour un meilleur examen de cette couleur en dessous, plus rougeâtre ou violet aussi. Nous exécutons deux tours au dessus de cette zone et nous reprenons l'itinéraire qu' indique la boussole. Nouveau contact avec le camp de base et transmission des informations relatives aux colorations de la glace et de la neige du sol.
Page19 : heure non précisée
La boussole magnétique et gyrocompas commençant à tourner et à bouger, nous sommes incapables à tenir notre route à l'aide des instruments. Nous supportons les caprices de la boussole, et maintenant tout semble bien. Nous effectuons des contrôles particulièrement lents et paresseux, mais il n'y a aucune présence de glace.
Page20 : heure non précisée.
À quelque distance de là apparaît ce qui semble être des montagnes !
Page 21: heure non précisée.
Après 29 minutes de vol, notre première impression se confirme : ce sont bien des montagnes, et pas une illusion. C'est une petite chaîne de montagnes, que je n'ai jamais vue auparavant.!
Page 22 : heure non précisée
l'Altitude change pour arriver à 2950 pieds, nous rencontrons de fortes turbulences à nouveau.
Page 23 : heure non précisée
Nous passons au-dessus de la petite chaîne de montagnes, et nous sommes toujours en direction du nord, apparemment comme on pourrait s'en assurer au mieux . Au-delà la chaîne de montagnes apparaît une vallée avec un petit fleuve ou rivière se dirigeant vers le centre de la vallée. Il ne devrait pas y avoir de vallée verte en dessous! Quelque chose est définitivement faux et anormal ici! Nous ne devrions survoler que glace et neige. À bâbord, on voit de grands massifs forestiers le long des pentes montagneuses. Nos instruments de navigation tournoient encore, le gyroscope oscille d'arrière en avant !
Page 24: Image
D'étranges formations nuageuses circulaires comme celles-ci furent souvent vues lors de l'expédition de L'Amiral Byrd. Pourraient-elles dissimuler des disques volants non-identifiés dirigés par un peuple avancée vivant au Centre de la Terre?
Page 25 totalement vide: à vérifier:
Page 26 : heure non précisée.
Je modifie l'altitude jusqu'à 1400 pieds et j' exécute une boucle serrée vers la gauche afin de mieux examiner la vallée en dessous. Elle est verte avec soit de la mousse, ou soit une sorte de d'herbes très dense. La lumière semble ici différente. Je ne peux pas voir davantage le soleil . Nous faisons une autre boucle à gauche et nous repérons ce qui semble être une sorte de grand animal en dessous nous. On dirait un éléphant !
Mais pas du tout !!! Il ressemble à un mammouth! C'est incroyable! Cependant c'en est là, bien un. Nous descendons jusqu'à 1000 pieds et prenons les jumelles pour mieux examiner l'animal. Nous confirmons définitivement que l'animal est bien un mammouth. Nous communiquons cela au camp de base.
Page 27 : heure non précisée.
Nous rencontrons des collines mouvantes vertes maintenant. Le thermomètre extérieur donne 74 degrès F (23.3 °C) Nous poursuivons la route en avant. Les instruments de navigation sont maintenant normaux. Leurs mouvements m'intrigue . On essaye de contacter camp de base. La radio est muette.
Page 28 : heure non précisée.
La campagne en dessous est plus nivelée et normale (si je peux employer ce mot). En avant nous percevons ce qui semble être une ville!!! C'est impossible!
L'avion semble léger et bizarrement stable. Les contrôles refusent de fonctionner ! Mon DIEU!!
Page 29 : heure non précisée.
Hors bâbord et à tribord notre aile, apparaît un étrange type d'avion. Ils nous suivent de près rapidement le long de notre côté . Ils sont en forme de disques et ils sont resplendissants. Ils sont assez proches maintenant pour que nous puissions voir leurs inscriptions. On y voit un symbole étrange que je ne révélerai pas. C'est fantastique. Où sommes nous! Que nous arrive-t-il ? Je contrôle encore les appareils. Ils ne répondent pas.!! Nous sommes pris dans un invisible étau d'un certain type !
Page 30 : heure non précisée.
Notre radio se met à crépiter et une voix anglaise en sort avec ce qui pourrait être peut-être un léger accent nordique ou germanique! Le message est: “Bienvenu , Amiral, dans notre domaine.. Nous vous ferons atterrir dans exactement sept minutes! Détendez-vous, Amiral, vous êtes dans bonnes mains." Je note que les moteurs de notre avion ont stoppé! L'avion est sous un étrange contrôle et vire maintenant tout seul . Les contrôles sont inopérants..
Page 31 : heure non précisée.
Nous recevons un autre message de radio. Nous commençons le procédé d'atterrissage maintenant, et par moments l'avion frémit légèrement, et commence une descente comme s'il a été attrapé par quelque grand ascenseur invisible!
La mouvement en descente est imperceptible, et nous touchons le bas en éprouvant seulement une secousse légère!
Page 32 : heure non précisée.
J'enregistre une dernière note dans le carnet de bord . Plusieurs hommes approchent à pied de notre avion. Ils sont grands avec la chevelure blonde. À une certaine distance on aperçoit une grande cité scintillante en jets colorés d'arc-en-ciel. Je ne sais pas ce qui va arriver maintenant, mais je ne vois aucune arme sur ceux qui approchent. J'entends maintenant une voix me commandant personnellement d' ouvrir la porte de la cale de l'avion. J'optempére.
Fin du carnet de Bord.
Page 33 :Photo n°7
Un spectacle merveilleux réservé à ceux qui ont observé le phénomène de l'aurore boréale qui est en fait créé par le Soleil au centre de la Terre se réfléchissant sur des couches supérieures de l'atmosphère alors qu'il brille au travers des ouvertures polaires.
Page 34: Photo n°8
Ce dessin décrit l'aventure de Signora Daineilli qui affirma que deux petits hommes s'emparèrent des fleurs et chaussettes qu’elle avait en mains, pendant une folle rencontre d'ovnis en Italie pendant l'année 1953.
Ces "petits êtres" venaient-ils du monde intérieur ?
Page 35: Photo n°9 représentant
le globe terrestre dont on a enlevé le quart.
Page 36
A partir de maintenant , j'écris ici, tous les événements qui suivent de mémoire. Cela défie l'imagination et se confinerait à la folie si n'était pas arrivé vraiment. L'opérateur radio et moi nous approchons de l'appareil et nous sommes reçus de la plus cordiale manière . Nous montons alors sur une petite plate-forme mobile de transport sans roues! Elle nous amène vers la ville scintillante avec une grande rapidité. Comme nous approchons, la ville semble être faite en matière cristalline.
Page 37
Bientôt nous arrivons à un grand bâtiment qui est d'un type que je n'ai jamais vu avant. Il paraît être tiré directement des croquis de Franc Lloyd Wright, ou peut-être mieux encore d'un film de Buck Rogers.
On nous offre un certain type de breuvage tiède qui avait un goût qui ne ressemble à rien de ce que j’ai connu au paravent.. . Il est délicieux. Après près dix minutes, deux de nos merveilleux hôtes viennent nous rejoindre et nous annoncent que je dois les accompagner. Je n'ai pas d'autres choix que de m'exécuter. Je quitte mon opérateur radio et nous marchons sur courte distance et nous pénétrons dans ce qui semblait être un ascenseur.
Page 38
Nous descendons pendant quelque temps, la machine s'arrête, et la porte de l’ascenseur glisse silencieusement vers le haut. Puis nous suivons vers le bas, un long couloir qui est éclairé par une lumière rose qui semble émaner des murs eux-mêmes ! Un des êtres nous fait signe de nous arrêter devant une grande porte. Sur la porte se trouve une inscription que je ne peux pas lire. La grande porte glisse en s'ouvrant sans bruit et on me fait signe d'entrer.
Page 39
Un de mes hôtes parle. "N'ayez aucune crainte, Amiral, vous aller avoir une audience avec le Maître..."Je marche à l'intérieur et mes yeux contemplent la belle coloration qui semble remplir la pièce complètement. Alors je commence à voir les alentours. Ce qu'accueillent mes yeux est le plus beau spectacle de mon existence entière. Ceci est, en fait , trop beau et merveilleux à décrire. C'est exquis et délicat. Je pense pas qu' il existe un terme humain qui puisse le décrire honnêtement dans tous ses détails .
Page 40
Mes pensées sont interrompues d' une façon cordiale par une voix riche tiède de qualité mélodieuse. "Je vous souhaite la bienvenue à notre domaine, Amiral. ”Je vois un homme avec des traits délicats et avec la marque des années sur son visage. Il est assis à une table longue. Il m'invite à m'asseoir sur une des chaises. Dès que je me suis assis, il place le bout de ses doigts ensemble et il sourit. Il parle moelleusement encore, et me transmet ce qui suit: "Nous vous avons permis Amiral, d'entrer ici parce que vous êtes de caractère noble et connu du le Monde de la Surface"
Page 41
Le Monde de la Surface, J'en eu à moitié le souffle coupé! "Oui," fut la réponse du Maître en souriant, "Vous êtes dans le domaine des Arianni, le Monde Intérieur de la Terre. Nous ne retarderons pas longtemps votre mission, et vous serez escortés prudemment vers à la surface et au-delà d'une certaine distance. Mais maintenant, Amiral, je vais vous dire pourquoi vous avez été convoqués ici. Notre intérêt justement , commence immédiatement après que votre race ait fait exploser les premières bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki au Japon. C'est à ce moment dramatique que vous avons envoyés nos machines volantes, les "Flugelrads," sur votre monde de surface afin d'étudier ce que votre race avait fait.”
Page 42
"Ceci est, bien sûr, de l'histoire ancienne maintenant, mon cher Amiral, mais je dois poursuivre. Vous voyez, nous n'avons jamais interféré auparavant dans des guerres et barbaries de votre race, mais maintenant nous le devons, car vous avez appris à manipuler avec un certain pouvoir ce qui ne revient pas aux humains, à savoir l'énergie atomique. Nos émissaires ont déjà livré des messages aux puissances de votre monde, et cependant elles n'en tiennent pas compte. Maintenant vous avez été choisi pour attester ici que notre monde existe. Vous voyez Amiral , notre Culture et notre Science sont en avance de plusieurs milliers d'années sur celles de votre race"
Page 43
Je l' interrompis, "Mais qu'ai-je à voir avec tout cela , Monsieur! "Les yeux du maître semblèrent me pénétrer profondément , et après m'avoir analysé pendant un moment il répondit, “Votre race a maintenant atteint le point d'aucun retour, car il y a ceux parmi vous qui pourraient détruire votre propre monde plutôt que de vouloir abandonner leur prétendu pouvoir."
Page 44
J'acquiesçais, et le Maître continua. "En 1945 et par la suite, nous avons essayer de contacter votre race, mais nos efforts n'ont rencontrés qu''hostilité, et nos Flugelrads furent mitraillés. Oui, et même poursuivis avec malice et animosité par vos avions de combat. Aussi , maintenant, je vous le dis vous, mon fils, il y a un grand orage se concentrant sur votre monde, une fureur noire qui subsistera elle même pour beaucoup d'années. Il n'y aura aucune possibilité de réponse de la part de vos armées, il n'y aura aucune protection de la part de votre science. Cette fureur fera rage jusqu'à ce que chaque fleur de votre culture soit piétinée, et que toutes choses humaines soient plongées dans un vaste chaos.”
Page 45
"Votre récente guerre n'était seulement qu'un prélude de ce que doit encore advenir à votre race. Nous ici le voyons plus clairement à chaque heure.. .Pensez-vous que je me trompe ?" "Pas du tout” , répondis-je; " C'est arrivé déjà autrefois, que ces sombres périodes viennent et subsistent pendant plus de cinq cent années."
Page 46
"Oui, mon fils," répondit le Maître, "les périodes sombres qui viendront maintenant pour votre race couvriront la Terre comme un voile, mais je crois qu'une certaine partie de votre peuple traversera cet orage au delà de ce que je ne peux pas exprimer. Nous voyons dans un avenir très loin, un nouveau monde renaissant des ruines de votre race, cherchant ses trésors perdus et légendaires et qui seront ici, mon fils, grâce à notre sauvegarde. Quand ce temps arrivera, nous viendrons à nouveau aider votre culture et votre race à revivre.”
Page 47
"Peut-être, alors, vous aurez appris la futilité de la guerres et de ses conflits... et après ce temps, certains points de la culture et la science de votre race réapparaîtrons de nouveau. Vous, mon fils, devez retrouver le Monde de la Surface pour lui confier ce message..”..Avec ces derniers mots , notre réunion sembla arriver à son terme. Je restais, un moment comme dans un rêve.. mais, une fois de plus , je savais que tout cela était la réalité et pour une raison étrange, je me prosternai légèrement, soit par respect ou soit par humilité, je ne saurai le dire..
Page 48
Soudainement, je pris conscience que les deux hôtes magnifiques qui m'avaient amené ici, se situaient encore à mon côté. "Par ici , Amiral," mentionna un. Je me retournai une fois de plus avant de partir et regardai en arrière vers le Maître. Un sourire doux était gravé sur son visage ancien et délicat. "Adieu, mon fils," Il parlait, et avait le geste exquis et svelte qui donne une impression de paix et notre réunion fut véritablement terminée.
Page 49
Rapidement, nous sommes retournés jusqu'à la grande porte de chambre du Maître et une fois de plus nous sommes entrés dans l'ascenseur. La porte glissa silencieusement vers le bas nous sommes immédiatement monté. Un de mes hôtes dit encore, "Nous devons maintenant faire vite, Amiral, car le Maître ne voudrait pas vous retarder plus longtemps dans votre emploi du temps et vous devez retourner porter son message à votre peuple."
Page 50
Je dis rien, tout cela étant presque incroyable, et une fois de plus , mes pensées furent interrompues quand nous nous sommes arrêtés. J'entrai dans la pièce et retrouvai mon opérateur-radio. Il avait une expression anxieuse sur son visage.Comme j'approchais je lui dis, "Tout est OK, Howie, Tout est OK". Les deux êtres nous dirigèrent , vers le véhicule qui nous attendait et nous y sommes montés et nous retrouvâmes bientôt à notre avion.
Page 51
Les moteurs tournaient au ralenti et nous nous embarquâmes aussitôt. La situation semblait relever un certain caractère d'urgence. Dès que la porte de la cale fut fermée l'avion fut immédiatement soulevé par cette force invisible jusqu'à ce que nous atteignîmes une altitude de 2700 pieds. Deux appareils nous escortèrent sur une certaine distance, nous faisant glisser en nous orientant sur notre chemin de retour. Je dois déclarer ici, que notre indicateur de vitesse n'enregistrait aucune information, bien que nous nous déplacions à une allure très rapide.
Photo page 52
Le Gouverneur Jean G. Pollard de Virginie présente à L'Amiral Byrd , une Epée Cérémonielle, en tant que Fils le plus Célèbre des USA.
Photo page 53
L'Amiral Byrd plante le drapeau américain au Pôle.
Page 54
Vint alors un message de radio. "Nous vous quittons maintenant Amiral, vos appareils de contrôles sont libérés. Auf Wiedersehen ( au revoir en allemand) !!!!" Nous voyons encore un moment les flugelrads disparaître du ciel bleu pâle.
L'avion soudainement plonge comme s'il était pris dans un étroit trou d'air pendant un moment. Nous réussissons rapidement à le contrôler. Nous ne parlons pas pendant un certain temps, chaque homme entretient ses pensées.
Carnet de vol est ouvert
Page 55 : heure non précisée
Nous retrouvons à nouveau de vastes superficies de glace et neige, et sommes approximativement à 27 minutes de camp de base. Nous les appelons, ils répondent. Nous rapportons que toutes les conditions sont normales ...normales. Le camp de base exprime son soulagement pour le rétablissement du contact.
Page 56 : heure non précisée
Nous atterrissons doucement au camp de base.
J'ai une mission....
Les notes du carnet de bord se terminent ici.
Photo page 57
Les signes d'un "Grand bouleversement” au Pôle sud sont montrés dans cette dramatique photo de 1929 montrant une cassure là-bas sur la Ross Barrière: c'est au-delà de ce point que le climat change soudainement et une entrée peut être trouvée vers l'intérieur de la Terre.
Carte page 58 .
On devrait noter que des expéditions
au Pôle et au pôle Sud ont officiellement
contourné au moins l'ouverture, évitant entièrement
la superficie où Byrd a pénétré.
Voici une carte qui montre l'itinéraire prise par Lincold
Ellsworth en 1930.
Photo page 59
11 Mars , 1947.
Je viens d' assister à une réunion d' un personnel du Pentagone. J'ai énoncé pleinement ma découverte et le message du Maître. Tout a été dûment enregistré. Le Président a été averti. Je suis maintenant retenu pour plusieurs d'heures (six heures, trente - neuf minutes pour être exact). je suis interviewé spécifiquement par les Forces de Sécurité et une équipe médicale. Ce fut éprouvant !!!
Page 60
Je suis placé sous strict contrôle
par la Centrale de Prévision de Sécurité Nationale
de ces États-Unis d'Amérique. On m'ordonne de RESTER SILENCIEUX
au sujet de TOUT CE QUE J'AI APPRIS, au NOM de l'HUMANITE
!!!
Incroyable! Je me suis rappelé
que j'étais un militaire et j’ai dû obéir
aux ordres.
Page 61
30/12/1956:
ENTREE FINALE
Ces quelques dernières années
qui se sont écoulées depuis 1947, n' ont pas
été agréables.. J'inscris maintenant ma
note finale dans ce singulier carnet de vol. En le fermant, je dois
dire que j'ai fidèlement gardé toutes ces années
cette affaire secrète, comme il me l'avait été
demandée. Cela a été complètement à
l'encontre mes convictions de droit moral. Maintenant, je sens
venir sur moi, la longue nuit et ce secret ne mourra pas
avec moi, mais comme toute vérité qui s’'impose un
jour , il triomphera lui aussi .
Page 62
Cela peut être la seul espérance pour l'humanité. J'ai vu la vérité et cela a stimulé mon esprit et je suis désormais libre! J'ai fait mon devoir envers le monstrueux complexe industriel militaire. Maintenant; la nuit longue commence à approcher, et il y aura une fin. Tout comme la nuit longue des confins arctiques, le brillant soleil de vérité reviendra encore, et ceux-là qui sont dans l'obscurité seront inondés de sa lumière ...
Car j'ai vu "Cette
Terre Au-delà du Pôle, Ce Centre du Grand
Inconnu."
- Amiral Richard .E.Byrd .,United States Nation ,
24 Dec 1956
Fin de la Traduction
Que pouvons nous ajouter de plus, si ce n'est que ce document , (dans le cas où il serait authentique et il faut tout faire pour le savoir) apporte, une fois de plus , un troublant témoignage sur un incroyable secret que très peu, sans doute, de ceux qui détiennent en mains les destinées de la planète, ont gardé, très habilement, sous le boisseau pour des raisons que chacun pourra déterminer aisément.
Nous avons appris de l'internaute :
Enki Apsu , le 20 /07/01 le message suivant: "Ce qui m'avais surpris était
ce nom de new Schwabland pour un pays comme l'Antarctique.
En passant, "Flugelrad" ne rien
dire en allemand, mais par contre "Flügelrad" signifie littéralement
"roues à ailes ". Une sorte d'hélice ou de réacteur
peut-être."
Donc, comme vous le voyez, nous n'avons pas su écrire, correctement, le terme en question avec son tréma sur le u.
Prolongement révélateur:
Le 01/02/2001 à 16h heures de Guadeloupe en recherchant un objet particulier dans la chambre de notre fils, nous avons trouvé au fond d'un tiroir l'ouvrage intitulé " Contes et légendes des cités disparues " de Laurence Camiglieri publié chez Nathan en Avril 1979. En voulant replacer cet ouvrage dans notre bibliothèque, à côté d'ouvrages de même format, nous y avons découvert un "dictionnaire des explorations" de 1967 publié chez Larousse édité d'après le copyright d'Augié, Hollier etc.. de 1966 et dictionnaire que nous avions complètement oublié dans le petit coin où il se trouvait. Nous nous sommes vite précipités pour lire ce que l'on disait de l'amiral Byrd. Pages 52 à 54, on y parle de toutes ses expéditions scientifiques classiques sans faire aucunement allusion à ses voyages au-delà des pôles, mais, alors que nous allions nous désespérer d'y trouver quelque chose d'intéressant, juste à la fin, de la dernière page, nous avons relevé, tout de même, la phrase:
" Mentionnons, enfin, l'étrange découverte, par 104° E., d'une " Oasis de lacs temporaires peuplés d'algues et d'animaux inférieurs ..." ".
Notez bien les mots "Oasis de lacs temporaires" et surtout les "trois points de suspension" précédents, ils valent, sans doute, leur pesant d'or. Évidemment les oasis temporaires disparaissent utilement, après un certain temps, pour que l'on n'ait pas à en parler plus tard. A vous donc de juger tout cela ...et encore merci à "super hasard" qui nous a fait découvrir cette information, in situ, car nous qui n'avons pas pour l'instant, l'opportunité d'aller au USA pour retrouver les journaux de l'époque parlant de cette incroyable aventure de Byrd, voila, que nous découvrons chez nous même, la preuve édifiée par des spécialistes de dictionnaires, que Byrd a bien eu une aventure insolite dans une "pseudo oasis", bien entendu, le mot "pseudo", ne nous concerne pas, mais, bien sûr, correspond à ce qu'en pensent ces spécialistes....affaire à suivre donc.
Volet n°2.
Au mois de Décembre 2000, la revue "Ciel & espace", a sorti son n° 367, en spécifiant qu'il était "exceptionnel", car il représente, nous dit-on le "journal du siècle en Astronomie". Il convient donc de ne pas louper ce numéros ou nous avons cependant noté certaines anomalies que nous avons signalé déjà dans notre article intitulé (remue-ménage cosmique). A la page 41 de cette revue, concernant notre Soleil, nous notons le texte suivant: " Retour vers le futur: Plus de 50 ans après, on ne connaît toujours pas le mécanisme précis du chauffage de la couronne. Il semble que Hans Alfvèn ( Prix Nobel de Physique en 1970) soit le plus proche de la réalité. Certaines ondes dites "magnétohydrodynamiques" se propageraient dans la couronne et la chaufferaient. les satellites d'observation du Soleil, comme Yohkod, Soho, ou Trace, ont mesuré sa température : Elle dépasse les 2 millions de degrés! "
Vous avez bien lu : "On ne connaît pas encore le mécanisme du chauffage de la couronne".
Certaines personnes rejettent " la théorie de la Terre creuse" pour cause d'explosions atomiques impossibles à la surface du petit soleil formant le noyau central, et qui devrait, parait-il, d'abord atteindre une certaine masse critique, pour que se déclenchent toute réaction en chaîne. (Remarque: Dans un article intitulé "Quand la Terre était creuse" paru dans le n° 135 de la revue Science & Vie Junior de Décembre 2000, Pierre Lagrange, le champion des détracteurs d'ovnis, affirme page 87, que le soleil central ne peut exister, car il devrait avoir une taille au moins 15 fois égale à celle de Jupiter ).
Donc, nous laissons aux spécialistes, le soin de discuter de tout ceci, et surtout de ce que nous allons vous révéler ci-dessous, car nous n'avons pas la compétence requise pour savoir si cela est vrai ou non. Notre rôle se résume, nous l'avons déjà exprimé ailleurs, à montrer des documents qui n'ont pas connu, en leur temps, la publicité qu'ils auraient dû normalement avoir. (Autre remarque: Dans l'article précédent de Pierre Lagrange, cet auteur parle de Raymond Bernard, dont il connaît même, parait-il, le nom véritable, qui serait Walter Siegmeister, et il oublie volontairement de citer le nom de l' ouvrage de ce dernier paru en 1964, sans doute sans valeur pour lui. Mais, il oublie aussi, étrangement, surtout de citer, de quelque manière que ce soit, l'Amiral Byrd, ce pionnier des pôles, et l'un des militaires les plus titrés des USA, dont les déclarations hors normes, sont à l'origine de nos deux articles. Soit, ces déclarations sont fausses et l'auteur devrait le dire à grand fracas, soit elles sont authentiques et ce même auteur par honnêteté devrait nous le révéler, "même entre parenthèses", en faisant passer au moins, l'Amiral Byrd, pour un vrai psychopathe. A vous donc de juger. )
Première déclaration: A la page 289 d'un livre remarquable intitulé " La barrière du temps" d'Andrew Tomas, nous lisons la phrase attribuée vers 1882 aux "Mahatmas" :" Le Soleil n'est ni un corps solide, ni un liquide. Ce n'est pas cependant un gaz incandescent mais une boule gigantesque de force électromagnétique, le réservoir de la vie et du mouvement universel".
Deuxième déclaration :
A la page 144 du livre de Desmond Leslie
et de G. Adamski, "Les soucoupes volantes ont atterri ", publié
aux Editions J'AI LU, au début 1971avec le numéro
A 260, nous lisons le texte surprenant suivant écrit par Desmond
Leslie ex-pilote d'avion et neveu de Winston Churchill: "Les textes anciens
nous apprennent que le Soleil produit une énergie irradiante
mais pas de chaleur, telle que nous la connaissons que cette chaleur n'est
qu'un sous produit de l'énergie soumise à la friction de
notre atmosphère. Dans ce cas , cela expliquerait la ceinture
d'air chaud récemment découverte à 60 km d'altitude
où toute vie serait impossible dans ces températures
avoisinant les 170 ° ". Curieux n'est-ce pas ??. Si donc un aimable
internaute pouvait nous donner quelques informations sur cette étrange
ceinture à 170°, nous lui serions infiniment reconnaissant...
Troisième déclaration :
De même, dans un ouvrage (non traduit en français officiellement, mais dont nous avons pu avoir une traduction privée extrêmement précieuse et sans doute introuvable actuellement) de G. Adamsky "Flying saucers Farwell ", nous lisons chapitre II (intitulé " l'activité de l'espace dans notre système solaire) page 32:
" La première chose à réaliser
est que le Soleil n'émet pas de la lumière et de la chaleur
sous la forme que nous observons sur terre. La radiation du Soleil ne se
manifeste comme lumière et chaleur que lorsqu'elle pénètre
dans l'atmosphère des planètes elles-mêmes. L'espace
extérieur est dépourvu de lumière, telle que nous
la connaissons. Dans l'espace extérieur la lumière est une
lumière froide, causé par la phosphorescence de vastes nuages
de particules et de gaz, répondant à la radiation émise
par le Soleil. Pour un observateur humain, l'espace extérieur parait
être un vaste vide obscur, rempli de billions de billions de minuscules
étincelles de lumière multicolore. Toutes ces minuscules
lumières sont en état de mouvement continuel et d'activité.
Tout le chapitre est pratiquement consacré
à la lumière et l'espace. Nous signalons cependant
que les premiers astronautes comme Glenn et Carpenter ont bel et bien été
confrontés à ce problème de particules lumineuses
dansant devant leur hublot, et particules d'Adamski avait lui même
qualifié, bien avant eux, de "lucioles" voir "France Soir" du 25/05/62
ou Paris-Presse l'Intransigeant , même date.
Quatrième déclaration :
Voici ce que déclare Dino
Kraspédon dans un ouvrage publié à Londres en 1959
et intitulé "Mon contact avec les ET " à la suite de
la question suivante qu'il fait à l'extraterrestre:
"Certains disent que la chaleur présente
dans l'atmosphère terrestre vient du soleil. Y-a-t-il du vrai dans
cette affirmation ?"
réponse de l'extraterrestre:
" la chaleur vient du Soleil, mais sous forme
d'ondes hautes fréquences qui sont converties en rayonnement calorifiques.
Cette conversion se produit dans l'atmosphère des planètes.
il ne viennent pas du soleil sous cette forme car la chaleur ne peut pas
voyager dans le vide. Même la chaleur du soleil est supportable car
il n'est qu'un champ générateur de force électriques.
Un générateur est froid, mais les courants qu'il engendre
peuvent produire de hautes températures. Il est absurde d'affirmer
que des températures de plusieurs millions de degrés existent
sur le Soleil. Sa luminosité n'a rien de commun avec sa chaleur.
Sur terre, on peut trouver des sources de lumière froide . La lumière
d'un néon n'est pas chaude. Nombre d'insectes produisent de la lumière
froide, de même que certains légumes sous une action bactériologique.
Comme vous le constatez mon ami, votre science regorge d'erreurs. je n'en
suis pas surpris, car les choses de la vie sont jugées par les vérités
qu'elles peuvent avoir, pas par leurs erreurs."
C'est encore très surprenant
n'est-ce pas?
Cinquième déclaration
Voici enfin un texte que nous possédons
depuis Mars 1973 et que nous avons soigneusement jusqu'à présent
éviter de divulguer, sur notre site pourtant réservé
à l'insolite. Encore une fois nous ne sommes pas en mesure de savoir
si cela est scientifiquement démontrable..
VOYAGE EN OVNI : le système solaire
extrait de la revue Ondes Vives n°83 de Mars 1973
Nous avons pris contact avec un groupe de Bologne
(Italie) qui reçoit des messages télépathiques d'Extra-Terrestres.
Ce groupe présente l'immense intérêt d'avoir des relations
directes avec eux. De ce lait le témoignage des sens exclut toute
fantaisie imaginative. Voici un résumé d'une de ces entrevues
qui eut lieu le 15/10/62. C’était la 7e rencontre. Ondes Vives :
(Itacar et Saki sont deux extraterrestres)
Le 15 Aout 1962, à 23 heures, appelé télépathiquement comme d'habitude, je me rendis au lieu de rencontre. Itacar et Saki m'y attendaient et m’embrassèrent. Nous entrâmes dans la soucoupe volante. Itakar, passant la main sur le triangle, démarra. Quelques minutes plus tard nous étions arrivés. Nous sortîmes et je vis que nous étions dans un grand cratère volcanique dont le fond poli servait de base d'atterrissage. Itacar me dit que nous étions sur le satellite de la Terre, c'est-à-dire la Lune. J'eus tout loisir d'examiner l'installation avec ses grandes portes en arche, éclairées comme en plein jour. Nous entrâmes par l'une d'elle et suivîmes un corridor de 4 m de large et 400 m de long, éclairé par le plafond, mais on ne voyait pas de lampes. De part et d'autre il y avait des portes surmontées de signes géométriques. Nous entrâmes dans l'une qui portait comme sigle un cercle avec un point rouge au centre. Je vis une chambre circulaire de 20 m de diamètre avec, au centre, une table ronde aussi, de 3 mètres de diamètre, entourée de sièges. Itacar et moi nous nous assîmes tandis que Saki sortait.
Bientôt entra un homme que je connaissais déjà. Je me levai et lui serrai la main. Il me dit:
"Je suis POMAR, de la planète ATOUN. Me trouvant sur la Terre où je devais passer plusieurs jours, je pensais te revoir et te parler de choses que tu ne sais pas et que tu ne comprendras peut-être pas maintenant. Néanmoins, imprime-les bien dans ta pensée afin de t'en souvenir et de les répéter à tes frères. Donc écoute:
"Nous appelons votre Terre SARAS, d'un mot chaldéen ancien:SHAN-RAN (SHAN la Croix, RA cercle) Saras fait partie du Système solaire en vertu du mouvement qui l'anime. Si ce mouvement venait à cesser, il en résulterait une rupture d'équilibre qui affecterait l'harmonie de la Création et bouleverserait les lois précises qui la gouvernent. La Terre ne pourrait plus exister comme telle. Il lui faut donc, pour subsister, continuer son mouvement qui lui permet non seulement de parcourir son orbite définie, mais de se mouvoir selon les calculs extrêmement exacts de la nature, en synchronisme avec tout le reste du Cosmos.
Dans l'espace compris entre tes mondes "matériels", il existe un immense filet éthérique, un océan éthérique ces mondes naviguent avec leurs satellites. Le Cosmos où nos mondes orbitent est TRINO parce qu'il représente la totalité des formes "intérieures". La nature est conforme à la loi binaire parce qu'elle est la manifestation des formes "extérieures". L'un est le point de départ, l'autre le point d'arrivée. Les deux sont reliés au cercle éternel des phases dualistes naturelles, d'évolution ou d'arrêt. Ce dualisme trouve sa réplique dans divers symboles. En fait, sur ta Terre, l'axe vertical symbolise l'ascension, la vie, la flamme montant vers le haut, le principe, la levée. Au contraire l'axe horizontal représente l'assise, la fin, l'eau, l'immobilité, le sommeil, la mort.
L'union et l'équilibre de ces deux lignes, verticale et horizontale, forme la CROIX, symbole métaphysique des événements de la nature dans son dualisme , accouplement des deux forces fondamentales qui générèrent l'équilibre des quatre éléments représentés par les quatre bras de la croix.
Vos savants se sont-ils demandé la véritable signification du symbole de la croix ? Jamais, parce qu'ils sont athées ou semi-athées. Cela veut dire que, n'ayant pas foi en Dieu et ne connaissant pas à fond la métaphysique, ils ne réussiront jamais à comprendre les lois cosmiques multiples qui règlent les mondes et leurs évolution. Vos hommes de science n'ont jamais pensé à ce que deviendrait l'existence humaine si ces lois venaient à faillir ne serait-ce qu'un instant. Eh bien, cela pourrait se produire, pour absurde que cette hypothèse puisse sembler à la suite de multiples explosions atomiques. L'astre solaire, étincelle de la création est par rapport à l'Univers comme l'Esprit est au corps. De même que l'Esprit vivifie la matière, le Soleil anime tout le système solaire. S'il vous était donné de le regarder hors de votre atmosphère vous seriez stupéfaits de le voir comme une balle violette aux reflets verts opaques, parfois iridescents d'une multitude de couleur où domine le bleu profond. Vous auriez aussi pour la première fois l'impression que le Soleil est "obscur" et que par l'énergie de chaleur et de lumière qui semble émaner de lui, n'est qu'un aspect de la radiation effective de l'astre.
"Combien de conceptions erronées ont été émises par vos savants, et combien de doutes les assaillent ! Tout cela parce qu'ils marchent sans foi dans une voie fausse. En fait, le Soleil ne représente pas autre chose qu'un centre d'émanation une source d'ultra-micro-ondes radioactives à une fréquence extrêmement haute concentrant un potentiel de haute valeur.
Tel quel, il ne peut donc être qu’absolument
froid, ce qui est contraire aux conclusions de vos savants qui attribuent
au soleil une chaleur de millions de degrés, tentant d'établir
la valeur thermique de l'astre. -Se peut-il que la loi de Wien soit fausse
? La sensibilité des bolomètres serait-elle en défaut
? Rien de tout cela et cependant le Soleil est froid en réalité.
L'erreur est dans le principe, sans lequel il est inutile de formuler une
théorie. Il faut rechercher la cause de la lumière et de
la chaleur dans les phénomènes qui se manifestent dans le
non parcours ou encore mieux dans la "réaction" de résistance
que son énergie suscite loin du centre d'émanation. Les vibrations
radiantes projetées par le soleil dans l'espace, sont reçues
par l'éther qui n'est pas le vide absolu, mais bien un ensemble
d'espaces qui s'étendent de planéte à planète
et qui les unissent comme le ferait une mer dont les substances éthériques
agissent comme des conducteurs d'énergie.
La résultante de ces oscillations n'est pas la lumière mais un "rayon" inconnu de vous, qui part du Soleil et se propage dans le Cosmos en vertu du vide éthérique et par conséquent porteur d'une charge électrique à corpuscules radioactives, grâce auxquelles il acquiert la puissance radiante.
"Vous connaissez déjà quelques-unes des propriétés du radium par les simples applications que vous en faites et vous savez combien est mystérieuse cette substance qui émet une incalculable énergie soit sous forme radioactive, soit en pouvoir dissociant et consumant (dûs tous deux à des propriétés positives et négatives complexes et inconnues de vous).
Vous avez fait des expériences avec
le radium et vous avez constaté que tout objet soumis à son
action ne peut que bruler ou devenir lumineux. Le même phénomène
se produit dans le Cosmos et les radiations du Soleil bien que froides
et obscures, peuvent donner, en des points déterminés "d'arrivée",
lumière et chaleur. En fait, le rayon obscur qui traverse l'espace
acquiert cette propriété ignorée de vous, selon la
planète sur laquelle il est projeté. Son effet étant
en rapport avec l'atmosphère déterminée qu'il traverse.
L'émanation radioactive obscure à l’origine, et transportée à travers le Cosmos, se transforme donc en rayons lumineux au contact de l'atmosphère qui peut être plus ou mois dense et volumineuse. Il se produit en ce cas une réaction entre l' énergie "d'arrivée" et les composants gazeux de l'air. Il en résulte une production de micro-ondes lumière dont l'intensité augmente à mesure qu’elle approche de la croûte de la planète lorsqu'il y a des substances gazeuses toujours plus raréfiées. Un rapport analogue entre puissance irradiante et radiation se trouve dans votre lumière électrique que vous ne connaissez pas encore à fond. L'énergie est produite dans une lointaine centrale hydroélectrique alors que l'effet lumineux à travers le filament conducteur se manifeste à distance, dans un ballon de verre où existe une ambiance idoine pour porter le filament à l’incandescence.
La Terre est comme une énorme lampe lorsqu’on la voit dans la nuit éthérique. Elle illumine une partie infinitésimale de l'infini et ce faisant, elle brille. Le cercle d'illumination en montre diamètre alors que la ligne équatoriale en symbolise la résistance. C'est maintenant compréhensible parce que règne la plus profonde obscurité dans les espaces sidéraux infinis. Ce phénomène est vérifiable, bien qu'il soit en contradiction avec les conclusions de toutes vos recherches scientifiques. Il est donc tout simplement absurde de formuler un principe selon lequel la chaleur est inversement proportionnelle à la distance. Il s'ensuivrait pour vous, terriens, comme résultat logique, que Mercure devrait être une fonderie de bismuth et de plomb, alors qu'au contraire Mercure possède les mêmes éléments que la Terre et il est le centre radio de notre système habité par des hommes physiologiquement et spirituellement plus élevés que vous. Donc votre science erronée est en contradiction avec la leur en tant qu’ils obéissent aux lois universelles de l'Esprit Créateur: Dieu.
Il y a aussi un autre fait qui contribue à démolir les théories scolastico-scientifiques grâce à la giration de la Terre autour du Soleil vous avez l’été lorsque vous êtes au point le plus éloigné du Soleil, et l’hiver quand vous en êtes au plus près. Pour justifier l'anomalie votre science a émis l'hypothèse de l'obliquité des rayons et de la durée des jours. Cela est vrai, mais en fait c'est dû à l'action des rayons obscurs qui viennent du soleil. S'il en était autrement, l'énorme accroissement de température que la Terre devrait subir au périhélie ne pourrait expliquer le retour cyclique de votre pâle et froid soleil des journées d'hiver. Je chercherai plus tard à vous confirmer le principe que je viens d'exposer : plus grande est la densité des stratifications atmosphériques traversées, plus grande est la chaleur des rayons. Comme toute autre planète, votre Terre, dans son mouvement de rotation autour de son axe, doit entraîner la rotation de l'atmosphère qui prend de ce fait un aspect parabolique. Elle se dispose donc sous une forme ellipsoïde avec le petit axe superposé à celui de la Terre. Il s'ensuit que le rayon solaire traversant l'équateur trouvera une plus grande épaisseur atmosphérique et par conséquent produira plus de chaleur qu'aux pôles. Voilà pourquoi la zone équatoriale est brûlante alors qu'en zone polaire règne la glace. En conclusion il faut se convaincre de l'erreur de vos savants qui font du Soleil ce distributeur d'énergie, une gigantesque pile infernale qui devrait être aussi la cause des valeurs hyperboliques de la température des étoiles.
Ceci est une autre théorie bâtie par vous, terriens, avec vos fausses convictions qui amènent des conclusions inexactes à cause de l'insuffisance du préjugé initial. L'orgueil de nier l'Esprit Créateur et Ses lois dans le crépuscule où vous êtes, vous fait approcher toujours davantage de minuit. Que celui qui a des oreilles entende; que celui qui a des yeux les ouvre à la lumière "
Pomar se tut. Je me sentais étrangement léger de corps et d'âme. Je comprenais parfaitement tout cela comme je l'avais toujours su. Je fus coupé de mes réflexions par Pomar qui me dit:
"D'ici peu tu connaîtras d'autres frères de SARAS qui croient et qui travaillent selon leurs possibilités, mais avec foi. Ils t'aideront en tout ce dont tu auras besoin pour continuer ta vie. Beaucoup d'obligations te sont réservées et tu seras instruit en conséquence. Maintenant je dois partir "
Il se leva, me tendit la main et dit "j'ai vite appris ta langue . Donc nous nous reverrons bientôt."
Il partit. Nous sortîmes de la salle et nous rejoignîmes la soucoupe où Saki nous attendait. Nous décollâmes à la verticale et, en peu de minutes je fus déposé à l'endroit habituel. Nous nous saluâmes..
De retour \à la maison, je m'aperçus qu'il était 3 heures du matin. J'étais resté avec eux pendant 4 heures. Par bonheur tout le monde dormait à la maison. Personne, même ma femme, ne s'aperçut de mon absence.
NOTA : Lors de son voyage à Catane, en Octobre 1972, J.C.Salémi (le redacteur en chef et directeur de la revue Ondes Vives) a présenté ce récit à Eugénio SIRAGUSA pour lui demander s'il était authentique, puisqu'Eugenio a des rapports avec les E.T. depuis 22 ans et qu'il a lui-même voyagé en Soucoupe Volante. Eugénio a répondu que c'est bien ainsi que les choses se passent. Ondes Vives
Fin du texte de la revue Ondes Vives
Sixième déclaration :
Dans son ouvrage extraordinaire d' Howard Menger "Mes amis les hommes de l'espace", paru aux Editions DERVY-LIVRES en Juillet 1965 , nous lisons page 220, la phrase suivante qui témoigne bien de la grande modestie de l'auteur:
"Ma première réaction quand je me levai fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir ou nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boules rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi il n'était pas brillant."
Surprenant n'est-ce pas? Reste à savoir, si tout cela était vrai, ce que sont vraiment les protubérances solaires qui jaillissent de l'astre périodiquement et aussi la fameuse couronne dont on a parlé plus haut, et qui apparaît lors des éclipses totales du Soleil.
D'autre part, dans l'ouvrage remarquable de Philippe Lheureux "Lumières sur la Lune", paru en fin d'année 2000, l'auteur présente à la page 58, une incroyable photographie de la Nasa, référencée sous le N° AS14-66-9306 de la mission Apollo 14, où pour la première fois nous avons vu le soleil filmé entièrement de la Lune. Nous n'avions jamais observé une telle photo dans les médias habituels et nous y notons avec un grand étonnement, un halo caractéristique autour de "l'astre du Jour". Halo qui nous invite évidemment à nous poser dès lors de nombreuses questions. Y a-t-il vraiment une atmosphère sur la Lune comme le prétendent certains (Voir page 217 à 240 du " livre Jaune n°6", deuxième trimestre 2000, aux Editions Félix dont l'adresse web est www.leseditionfelix.com, Cette atmosphère serait-elle, la responsable de ce halo ? Ou bien encore cette photo a t-elle été prise sur la Terre et truquée par la suite pour faire croire qu'elle avait été prise sur la Lune? A vous de choisir...!
III Conclusion.
Quelle explication sensée peut-on
donner à tout cela ? Alice, qui nous accompagnait virtuellement
dans cette exploration, n'est-elle pas là , bien arrivée
aux pays des merveilles ? A vous d'en juger...! Mais si tout cela
s'averrait un jour authentique, ne penseriez-vous pas, encore un
fois de plus, "que la réalité dépasserait de très
loin la fiction" ?
Article mis en page le 21/12/2000 et revu le 24/07/2001
IDYLLE Fred
fred.idylle@wanadoo.fr